Dissertation corrigée sur le thème de l'enfance en CPGE
Sujet corrigé sur “ la raison des enfants”
cours particuliers
Cours particuliers de français
Les œuvres utilisées pour cette dissertation sur l’enfance
L’enfance est le thème des œuvres étudiées en cours de français en prépa PTSI, BCPST, MP2I, MPSI, PCSI, PC, PSI, MP et PT. Toutes les œuvres au programme de français en prépa doivent être étudiées et utilisées lors des épreuves, les voici :
- Aké les années d’enfance de Wole Soyinka (réédition attendue aux éditions Belfond)
- Emile (Livres 1 et 2) de Jean-Jacques Rousseau
- Contes d’Andersen, traduction par Marc Auchet (Livre de Poche classique n°16113)
Si vous cherchez un accompagnement personnalisé pour aborder ces œuvres de manière approfondie, améliorer vos compétences en analyse littéraire et vous préparer efficacement aux épreuves de français en prépa, envisager des professeurs particuliers de français spécialisés dans la préparation aux concours en prépa scientifique peut être un atout précieux pour votre réussite académique.
Lire encore : Analyse du thème de français de prépa scientifique sur l’enfance
PROFS DE FRANCAIS A PROXIMITE
Réservez les meilleurs profs de français
S’améliorer et viser l’excellence
Avis Google France ★★★★★ 4,8 sur 5
Introduction de la dissertation sur le thème de l’enfance en CPGE
Pour entamer une dissertation, il convient de commencer par une introduction. Une introduction complète comprend : une accroche, une définition du sujet, une problématique ainsi qu’une annonce de plan. Voici une proposition d’introduction pour votre dissertation sur le thème de l’enfance en CPGE.
Sujet : « C’est une cruelle chose que la déraison des enfants » fait dire Choderlos de Laclos à Mme de Volanges, dans le roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses (fin du 18e siècle). Dans quelle mesure cette réflexion de la mère de Cécile de Volanges, une jeune fille naïve, induite en erreur et trompée par son amant, fait-elle écho à votre lecture des œuvres au programme ?
Dans les Principes de la philosophie, le philosophe René Descartes fait de l’enfance une métaphore de la déraison, de la naïveté, au point que l’enfance, pour lui, devient le synonyme d’erreur – l’enfance étant l’état d’avant le cogito, première certitude absolue découverte par le philosophe. « Comme nous avons été enfants avant que d’être hommes, et que nous avons jugé tantôt bien et tantôt mal des choses qui se sont présentées à nos sens, lorsque nous n’avions pas encore l’usage entier de notre raison, plusieurs jugements ainsi précipités nous empêchent de parvenir à la connaissance de la vérité (…) » écrit ainsi Descartes.
L’enfance serait-elle dès lors une métonymie de l’erreur ? La citation présente, extraite du roman épistolaire de Choderlos de Laclos, pourrait nous le faire accroire – notons bien ainsi que ce n’est donc pas Laclos qui retrace sa pensée, mais bien la mère de Cécile de Volanges, jeune fille trompée, figure de la candeur, dégradée moralement et physiquement par le couple infernal Valmont-Merteuil (N.B. il n’est pas nécessaire d’avoir lu Les Liaisons pour examiner cette citation). Mme de Volanges emploie ainsi le démonstratif « c’ » ainsi que le présent de vérité générale (« c’est ») (N.B. il est très utile de signaler des pistes d’analyse grammaticale en introduction, notamment en étudiant les mots qui paraissent, à tort, les plus anecdotiques). Il y a pour elle, une sorte de généralisation de la déraison des enfants, comme s’il s’agissait d’une vérité scientifique établie, d’un consensus certain – ce dont nous pourrons débattre bien entendu. Autant l’usage du présent de vérité générale renvoie à une vérité d’ordre universel, autant l’usage du nom commun « chose » renvoie lui à un élément vague. Est-ce à dire que Mme de Volanges fait part d’un constat général ? D’un fait ? Certes oui si l’on suit la définition de « chose » selon le CNRTL : une chose est « ce qui est, ce qui existe, une réalité de toute espèce, envisagée indépendamment de la durée ». Mais il semble curieux de parler des enfants comme d’une « chose » : nous aurions ainsi affaire à une réification indirecte des enfants, momentanément privés de leur identité humaine, comme privés de tout sentiment. Cependant, une autre explication, d’ordre plus psychologique et personnel, éclaire l’usage du mot « chose » : en effet il s’agirait d’une litote, Mme de Volanges n’arrivant pas à assumer la réalité des conséquences de la déraison de son enfant, à savoir, une perte de virginité avant le mariage en raison des actes du vicomte de Valmont, et un déshonneur familial.
En effet les conséquences de la déraison de Cécile Volanges seraient bien cruelles, au premier sens de particulièrement négatives. Ce n’est pas pour rien que « cruor » en latin voulait dire le sang et par extension, le massacre : et en effet dans les Liaisons, les pires drames arrivent, jusqu’à la mort de Valmont, parmi d’autres personnages, et la retraite définitive de Cécile de Volanges au couvent.
Cependant l’adjectif qualitatif « cruel » doit également recouvrir deux autres conditions. La première condition est celle du caractère volontaire du mal causé (définition du CNRTL : « Cruel : Qui prend plaisir à provoquer volontairement la souffrance physique ou morale d’autrui »). Cela signifierait-il que les enfants soient déraisonnables volontairement ? Cela, de même, sera à débattre. La deuxième condition de la cruauté est l’insensibilité au mal, à la souffrance, aux malheurs d’autrui. Cela suppose d’être en capacité de pouvoir distinguer le bien du mal. Il y a donc un certain sens actif à la cruauté. Il s’agira donc de distinguer l’acte de l’auteur. Sont-ce les enfants qui sont, en soi, cruels ? Ou les conséquences de leurs actes ? Quelle est la part de l’insensibilité, de la volonté, dans leurs actes déraisonnables ? Mais qu’est-ce d’ailleurs que la déraison ? Nous la définirons comme le manque de jugement, l’incapacité à disposer de la faculté de bien juger, de discerner le vrai du faux, le bien du mal ; comme l’ensemble des qualités de celui ou de celle qui sait se rendre maître de ses impulsions, de son imagination, notamment dans son comportement.
Ainsi la raison et la cruauté semblent-elles s’opposer : car pour être cruel, il faut être doté de raison, au sens de pouvoir être en capacité de commettre des actes nuisibles délibérés et d’en apprécier les conséquences. Les enfants, introduits ici par l’adjectif indéfini « des », en sont-ils seulement capables ? Du reste notons que Mme de Volanges parle ici d’une « enfant », sa fille, âgée de 16 ans environ. Ne perdons pas de vue le caractère subjectif, énonciatif, de ce point de vue : il s’agit du commentaire d’une mère déçue. N’a-t-elle pas été elle aussi, Mme de Volanges, naïve, déraisonnable, candide, au point de rapprocher même sa fille d’une confidente en réalité traîtresse, la marquise de Merteuil ?
Ce commentaire est-il donc objectif ou recouvre-t-il aussi, du point de vue subjectif, le miroir amer d’une mère trompée ? Ainsi, si certes le temps de l’enfance n’est pas celui de la raison comme le dit Descartes, les enfants, par leur incapacité supposée à faire le mal de manière sensible ou volontaire, sont-ils en capacité même de se montrer cruels ? N’est-ce pas au contraire déraisonnable de les croire capables de cruauté ? Il s’agira aussi de dissocier l’enfance en soi de l’enfance jugée, en ne perdant pas de vue le point de vue potentiellement biaisé d’une mère déçue. Si l’enfance n’est pas un âge de raison, comment pourrait-elle être un âge de cruauté ? C’est donc ce balancement que nous étudierons par conséquent.
Si pour suivre Descartes, l’enfance est un âge naturellement plus susceptible de déraison, alors il semble bien que les conséquences des actes marqués du sceau de l’irrationalité puissent être cruels : cependant, nous verrons qu’il faut distinguer l’acte de l’auteur, puisque si l’enfant agit cruellement, c’est parfois par ignorance du mal. Du reste, la cruauté des enfants, si elle existait, serait au moins aussi importante que la cruauté des adultes – qui serait elle-même plus répréhensible pour des êtres supposés plus rationnels. Mais nous verrons enfin que la rationalité, l’intelligence des enfants, est incomprise des adultes comme Mme de Volanges, parce qu’elle en réalité autre, différente : et c’est justement cette forme de rationalité alternative enfantine qui permet de dégager les impasses et les ombres du monde des adultes, de mettre en lumière leur irrationalité profonde, faisant apparaître ainsi la subjectivité du jugement d’une mère trompée.
I. L’enfance, une période où l’enfant construit sa raison
L’enfance, période marquée par l’incomplétude de la formation et de l’éducation à la raison, pourrait être naturellement incline à la déraison ; ce sont ainsi, non peut-être les enfants en soi, mais bien plus les conséquences de leurs actes déraisonnables qui peuvent être qualifiées de cruelles.
A. L’enfance, un âge de la déraison ?
Pour faire preuve de cruauté déraisonnable, la première condition, pour les enfants, est ainsi d’être en soi déraisonnables : la déraison est-elle alors une marque propre de l’enfance ? Nous pourrions dans un premier temps le croire. Car en effet pour le dire avec Descartes, l’enfance paraît bien être le temps où la formation, l’éducation à la raison, ne sont pas encore terminées. Dès lors l’enfance a plus de probabilités d’être un âge marqué par l’âge de la déraison, de l’erreur et de l’errance.
C’est ce que semble en particulier penser Tinu dans Aké ou les années d’enfance. Lorsque le jeune Wole lui fait part de son point de vue sur les esprits des morts (les egungun) – selon Wole, ils ne parlent qu’Anglais – Tinu lui répond ceci de manière éloquente (P.71 de l’édition au programme) : « Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu n’es qu’un enfant ». La négation restrictive ici employée renvoie définitivement l’enfance dans les cordes de l’insouciance et de la naïveté, au mieux, de l’erreur fondamentale, plus sûrement. Les termes de « raison » et « d’enfant » semblent ainsi être antithétiques. C’est aussi ce que pense Jean-Jacques Rousseau, lorsqu’il explique dans le livre II de l’Émile son opposition à Locke : « Raisonner avec les enfants était la grande maxime de Locke ; c’est la plus en vogue aujourd’hui ; son succès ne me paraît pourtant pas fort propre à la mettre en crédit ; et pour moi je ne vois rien de plus sot que ces enfants avec qui l’on a tant raisonné. De toutes les facultés de l’homme, la raison, qui n’est, pour ainsi dire, qu’un composé de toutes les autres, est celle qui se développe le plus difficilement et le plus tard ; et c’est de celle-là qu’on veut se servir pour développer les premières. (…) ; j’aimerais autant exiger qu’un enfant eût cinq pieds de haut, que du jugement à dix ans » écrit ainsi Jean-Jacques Rousseau.
PRENDRE DES COURS PARTICULIERS DE FRANÇAIS
C’est reprendre le contrôle
B. L’enfance, une période marquée par la cruauté
Cette déraison fondamentale des enfants peut-elle alors avoir des conséquences « cruelles » au sens de particulièrement nuisibles et négatives ? Si l’enfance est un âge de la déraison, les enfants ne seraient alors pas en capacité de mesurer les conséquences délétères de leurs actes, aboutissant à ce que l’on peut craindre.
À titre d’illustration dans les œuvres au programme, nous pouvons bien sûr penser au traitement reçu par le « vilain petit canard » ; mais encore à la violence de l’enfant que décrit Andersen dans « Le vaillant soldat de plomb » (P.93). Un des garçons du conte prend en effet le soldat, « le jeta dans le poêle, sans dire pourquoi il faisait cela ». Cet extrait est d’autant plus intéressant en soulignant bien que l’enfant réalise cet acte cruel sans même s’en rendre compte, avec une violence inexpliquée : il s’agit ici d’un acte de déraison pur. La cruauté est gratuite et irrationnelle.
C. L’enfant et la notion du mal
Ce point nous amène à nous interroger sur le sens profond de cette violence cruelle des enfants. Quelle est en est l’origine ? Est-ce parce que l’enfance est une période de la vie intrinsèquement marquée par la cruauté ? Or nous pouvons dégager cet apparent paradoxe : les enfants font le mal, certes, mais peut-être, comme l’exemple plus haut nous l’indique, justement en raison de cette cruauté ; ils font le mal, mais ne savent pas ce qu’est le mal. En somme, si les actes des enfants peuvent être cruels par leurs conséquences, ce ne seraient pas les enfants qui seraient en soi cruels, mais simplement les résultats de leur déraison – il faut distinguer ici l’acte de l’auteur.
Cette incapacité à distinguer le bien du mal est celle que dégage par exemple Jean-Jacques Rousseau. Dans le Livre I de son ouvrage, il écrit que la violence est consubstantielle aux enfants, mais précise immédiatement que ce n’est pas par cruauté intrinsèque : « Un enfant veut déranger tout ce qu’il voit : il casse, il brise tout ce qu’il peut atteindre ; il empoigne un oiseau comme il empoignerait une pierre, et l’étouffe sans savoir ce qu’il fait. (…) ; qu’il change l’état des choses, et tout changement est une action. Que s’il semble avoir plus de penchant à détruire, ce n’est point par méchanceté, c’est que l’action qui forme est toujours lente, et que celle qui détruit, étant plus rapide, convient mieux à sa vivacité. » L’acte de cruauté viendrait donc non d’une méchanceté consubstantielle aux enfants, mais d’une certaine intolérance à la lenteur.
Jean-Jacques Rousseau livre une explication plus profonde encore de cet état de fait dans le Livre II : « Connaître le bien et le mal, sentir la raison des devoirs de l’homme, n’est pas l’affaire d’un enfant » écrit-il. En somme pour Jean-Jacques Rousseau, les enfants seraient dénués de la « perversité originelle dans le cœur humain ».
Nous voyons ici le nœud du problème : les actes des enfants, entraînés par leur certaine déraison, peuvent être cruels, mais non pas en raison de la cruauté intrinsèque des enfants ; Mme de Volanges pourrait ainsi avoir raison quand elle suppose que les actes des enfants sont cruels. Mais ne peut-on pas relativiser son point de vue ? Si les enfants ne réalisent pas le mal qu’ils font, peuvent ils être qualifiés de cruels ? Et de plus, cette déraison des enfants est-elle vraiment universelle ou propre à l’enfance ?
II. L’enfant, un être irrationnel
Il apparaît pourtant que la cruauté des adultes est tout aussi répandue que celle des enfants ; du reste les enfants, disposant en réalité d’une certaine capacité à distinguer le bien du mal dans certains cas, sont aussi à même de refuser, volontairement, la cruauté pour la bonté, manifestant par là qu’ils ne sont peut-être, ni cruels, ni irrationnels.
A. L’âge adulte est-il plus condamnable que l’âge enfant?
Admettons même que la cruauté des enfants soit une « chose » établie, ce dont nous pourrons discuter plus avant. Mais est-elle cependant le propre de l’enfance ? Il apparaît au contraire que l’âge adulte est, tout autant que l’âge de l’enfance, un âge de cruauté – peut-être plus encore condamnable car il s’agirait d’une cruauté sinon raisonnable, du moins volontaire, conscientisée.
Une illustration frappante, dans tous les sens du terme, de cette violence gratuite des adultes, marque tout particulièrement l’imagination du jeune Wole. C’est celle de la violence gratuite de « Mme B. » : alors que sa servante apparaît incontinente, « le fouet s’abattait sur la pauvresse en larmes » (P.73) écrit Wole Soyinka. Et l’auteur d’ajouter : « Ce fut peut-être la seule circonstance où j’adressais des reproches silencieux à l’aimable Mme B. »
B. Les enfants discernent le bien du mal
Ce dernier jugement du jeune Wole Soyinka nous montre que les enfants sont capables de discerner le bien du mal ; certes, cela pourrait donner raison dans un premier temps à l’assertion de Mme de Volanges, car la cruauté suppose la capacité de distinguer le bien du mal, pour le faire volontairement ; mais à l’inverse, si les enfants sont bien capables d’émettre des jugements axiologiques, cela voudrait dire aussi qu’ils sont capables de faire le bien ; que leur cruauté supposée est loin d’être une caractéristique fondamentale et universelle, ainsi que semble y tendre Mme de Volanges. La déraison des enfants pourrait-elle alors se faire, non cruelle, mais utile et logique ?
Cette direction axiologique de la violence, par les enfants, se remarque par exemple dans le conte d’Andersen « La petite sirène » (p.80). Il y a une certaine logique rationnelle dans le comportement des « filles de l’air » ici présentées qui pleurent les méchants, et récompensent les bons, tels des anges bibliques : « nous pénétrons sans être vues dans les maisons des hommes où il y a des enfants, et à chaque fois que nous trouvons un enfant gentil qui cause de la joie à ses parents et qui mérite leur amour, dieu écourte notre temps d’épreuve », raconte une de ces filles de l’air. Et de poursuivre : « l’enfant ne le sait pas quand nous volons au travers de la pièce et si la joie qu’il nous inspire nous fait sourire, nos trois cents ans sont abrégés d’une enfant, mais si nous voyons un enfant vilain et méchant, nous sommes obligées de verser des larmes de chagrin et chaque larme ajoute un jour à notre temps d’épreuve ». En somme cette capacité à distinguer le bien du mal des enfants, justifierait même leurs actes aux conséquences parfois dures : mais l’on ne parlerait pas ici de punition cruelle, mais de juste réprobation.
C. La rationalité peut-elle être qualifiée de cruelle chez l’enfant ?
Puisque les enfants peuvent repousser la cruauté en étant capable de distinguer le bien du mal, ne faut-il pas refuser l’idée même que les enfants soient, en tout point et en tout lieu, marqués fondamentalement par la déraison, l’irrationalité et la naïveté ?
Le conte d’Andersen « La clef de la porte d’entrée » nous donne (P.409) un exemple de cette intelligence des enfants. Le pharmacien, dans son récit, évoque la perspicacité des enfants qui ont compris la vie des esprits, leur sens profond : « Deux enfants intelligents avaient vu leurs parents réveiller l’esprit dans une grande table de salle à manger » remarque ainsi le narrateur ; dès lors les enfants auraient bien aussi une forme de rationalité. Mais quelle est cette forme de rationalité plus précisément ?
Si cette rationalité provoque le scepticisme apparent de Mme de Volanges, n’est-ce pas aussi parce qu’il s’agit d’une autre forme de rationalité ? D’une rationalité autre ou propre à l’enfance ? Est-ce parce que Mme de Volanges ne comprend pas cette forme de rationalité qu’elle l’appelle par ce mot vague de « chose » ? Dès lors, il s’agit d’essayer de cerner les contours de cette rationalité alternative des enfants et de voir si elle peut, ou non, être qualifiée de cruelle ?
Pour découvrir la suite de la dissertation sur la raison de l’enfant, nous vous invitons à télécharger notre application gratuite PrepApp. Pour cela, il vous suffit de cliquer sur le bouton ci-dessous (AppStore ou PlayStore).
Ces articles pourraient vous intéresser :