Dissertation sur le thème du travail corrigée en prépa
Le travail un mal nécessaire - Mark Twain (1835-1910)
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Sujet de dissertation : Le travail, un mal nécessaire
Vous trouverez ci-dessous une dissertation rédigée sur le thème du travail en CPGE. Ce sujet est proche des sujets donnés chaque année aux élèves de MP, PC, PSI ou encore MPI et PT aux concours Centrale Supelec, Mines Ponts, CCINP ou encore Polytechnique et ENS.
« Le travail est un mal nécessaire » a écrit le romancier états-unien Mark Twain (1835-1910). À la lumière des œuvres au programme, vous discuterez ce propos.
Accroche de la dissertation : « A la sueur de ton front, tu mangeras du pain jusqu’à ce que tu retournes à la terre puisque tu en es tiré, car poussière tu es et à la poussière tu retourneras ». Le travail serait-il une malédiction divine ? Quoi qu’il en soit, l’Ancien Testament paraît présenter la « naissance » du travail comme une conséquence nuisible de la rupture du pacte édénique par Adam et Eve. De là découle une partie de l’héritage occidental, repris par Mark Twain, présentant le travail comme un des maux structurels de l’humanité – mais indépassable pour pouvoir « manger du pain », se nourrir, exister.
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Définition dynamique des termes du sujet de dissertation
Cette idée de travail-souffrance, de travail éreintant (« à la sueur de ton front ») était en partie partagé par les Antiques, qui distinguaient, dans cet ensemble « d’activités » que nous regroupons aujourd’hui sous le terme « travail », entre le labor, le negotium et l’otium. Le labor semble être le terme le plus propre à s’inscrire dans cette idée de « mal nécessaire » : il s’agissait du travail manuel physique, fatiguant, voire dégradant (notamment le travail de l’esclave) ; le travail de « bête de somme » qui est celui des ouvriers dans les écrits de Simone Weil. Le negotium est l’activité commerçante, celle de l’artisan ou du marchand, le « gagne-pain » quotidien qui n’avait pas non plus bonne presse dans l’aristocratie antique et médiévale. Celle-ci se consacrait de préférence à l’otium, cette oisiveté créatrice et productrice conduisant à la pratique de l’art, de la philosophie ou de la politique.
D’emblée, il nous faudra donc nous demander si le propos de Mark Twain ne concerne pas, peut-être, davantage le labor. Il est d’ailleurs possible d’y percevoir, sinon un biais subjectif, du moins l’influence du contexte historique et économique dans lequel écrit Mark Twain (la révolution industrielle qui provoque mille souffrances, avec un « labor » confinant au supplice pour bien des ouvriers). Peut-être pourra-t-on cependant élargir le propos à l’ensemble du spectre du « travail », défini comme « une activité humaine exigeant un effort soutenu qui vise à la modification des éléments naturels, à la création et/ou à la production ». Twain emploie par ailleurs l’article défini « le » travail (non l’article indéfini « un ») : il aurait ainsi une vision englobante du travail, sans distinguer la diversité foisonnante de tout ce que l’on peut recouvrir sous ce terme « travail ». [N.B. il peut être utile de glisser des analyses grammaticales portant sur les « petits mots » du sujet comme l’article défini « le » travail]. Cette unification du travail, nous l’avons vu, n’est pas celle convoyée par l’étymologie.
Nous nous demanderons également si le « travail » relève du registre tragique – en ce qu’il est comme inévitable, conduit par une certaine fatalité ; s’il est « nécessaire » ou bien dispensable et futile. La nécessité relève presque des lois de la physique (il est nécessaire que la pomme tombe de l’arbre), et s’oppose à ce qui est dispensable. L’usage du présent de vérité générale par Twain (« est » nécessaire) signale bien cette dimension de vérité scientifique universalisable (le sens d’emploi classique du présent de vérité générale, au même titre que « La Terre tourne autour du Soleil »). Plus que de physique, Mark Twain semble tout de même parler davantage de nécessité pratique : le travail est nécessaire pour la subsistance de l’existence, en somme pour manger. Nous nous demanderons donc si ce travail est « nécessaire » à l’échelle de chaque individu ou de la société ; et si cette nécessité est forcément également un « mal », dans le sens de ce qui est dommageable, néfaste ou nuisible à l’humain (« malum » signifiait d’ailleurs « pomme » également en latin, nous renvoyant à cette vision vétérotestamentaire). Le travail ne peut-il pas naître aussi du plaisir ou du désir ? La paresse est-elle forcément un « bien enviable » ?
En somme, il s’agira de se demander également si le travail est damné à rester dans le domaine du nuisible imposé – ou si, en changeant la contrainte (imposée de l’extérieur) en obligation (imposée par soi-même), il n’est pas possible de voir le travail autrement que sous le prisme du « mal », mais comme un moyen donné à l’humain de se libérer, de transformer le monde, d’objectiver sa conscience de soi.
Le travail et la pénibilité coexistent, comme disait Mark Twain ?
Problématisation par rapport aux œuvres
Nous sommes donc face à un paradoxe : le travail est une alternative qui n’est pas souhaitable mais indépassable ; un mal nécessaire que l’on ne peut éviter. Il est vrai que le travail peut apparaitre comme une nécessité matérielle, voire morale, indispensable ou bénéfique à plusieurs égards ; cependant d’un autre côté, en conservant ces bienfaits n’est-il pas possible de changer la contrainte en obligation, et de passer d’un travail aliénant à un travail libérateur, à un travail non-nécessaire, mais accompli et volontaire ? (Ou bien : peut-on concilier la nécessité de subsistance du travail avec la perspective d’un travail qui ne soit ni pénible ni aliénant pour l’humain, et qui transforme la nécessité ou la contrainte en travail libérateur et accomplissant ?)
Annonce des axes
En quoi le travail peut-il être en première instance qualifiée de nécessité néfaste ? Nous verrons que cette nécessité peut s’établir non seulement sous l’angle matériel, mais encore sous l’angle de la nécessité morale et métaphysique ; et que c’est de cette nécessité que découle la pénibilité, le caractère « mauvais » voire « maléfique » du travail.
- Nous nous demanderons pourtant si ce travail est d’une universelle nécessité, pour chaque catégorie d’humains, notamment pour les riches, les rois, les artistes ; et si les temps de repos ne permettent pas de soulager ce caractère néfaste du travail (nous verrons pourtant qu’ils sont eux-mêmes contaminés par les conséquences négatives du travail).
- En dernière instance, nous montrerons que si les contraintes d’un travail pénible peuvent être allégées par l’otium du contemplatif ou les progrès de la technique, le travail demeure un horizon souhaitable pour l’humanité – à condition qu’il relève davantage de la contrainte que de l’obligation, il peut être un « bien » désirable plus qu’un mal nécessaire.
Ne perdons pas de vue que Mark Twain écrit dans le contexte de la Révolution industrielle, marquée par l’exode rural et la dégradation des conditions de vie des ouvriers.
L’activité de travail nécessaire pour l’être humain.
L’activité travailleuse paraît bien être en premier lieu un horizon indépassable et nécessaire pour l’humanité. Cette nécessité est également nuisible et néfaste, « mauvaise », pour le dire avec Twain, confinant d’ailleurs peut-être plus à la servilité qu’à la simple pénibilité.
Travail, besoins matériels humains et présence physique
Le travail est une nécessité matérielle pour l’humain en termes de subsistance physique : il lui est nécessaire pour satisfaire des besoins primaires. Ceux-ci ne peuvent être comblés que par la force de travail permettant à l’humanité de disposer des conditions de sa survie élémentaire. Si selon le mot de Molière, il ne faut pas « vivre pour manger » mais « manger pour vivre », il est également nécessaire de « travailler pour manger ». Il y a ainsi une nécessité universelle du recours au travail pour l’humanité afin de persévérer dans ses fonctions biologiques.
Exemple : Cette nécessité ancienne et universelle du travail pour se nourrir et survivre est reconnue par Simone Weil dans la Condition ouvrière (y compris dans le chapitre pourtant nommé « Condition première d’un travail non servile »). En effet, dans ce chapitre Simone Weil souligne que le travail est « gouverné par la nécessité, non par la finalité » (nous soulignons). Et de compléter : « On l’exécute à cause d’un besoin, non en vue d’un bien ; « parce qu’on a besoin de gagner sa vie », comme disent ceux qui y passent leur existence ». Pour Simone Weil, le travail, ainsi marqué du sceau de la nécessité, procède dès lors de la « servitude, que même une parfaite équité sociale n’effacerait pas ». Dès lors, plus qu’un mal nécessaire encore, le travail est pour Simone Weil est une servitude semble-t-il nécessaire.
Transition : De cette nécessité du travail découle peut-être son caractère « mauvais » (« mal »), sa pénibilité.
Relation entre nécessité de travail et pénibilité du travail
Nécessité et pénibilité du travail paraissent liées entre elles et comme marquées du sceau de la fatalité. Un raisonnement par l’absurde peut le prouver : dès lors que le travail n’est plus marqué par la nécessité, l’humain cherche à en éviter la pénibilité intrinsèque. Le travail apparaît dès lors comme une contrainte (imposée par l’extérieur) et non comme une obligation (imposée par soi-même).
Exemple : Ce raisonnement par l’absurde se perçoit avec le mythe de l’âge d’or chez Virgile au Livre I. Avant Jupiter, durant l’âge d’or de Saturne, « les récoltes étaient mises en commun, et la terre produisait tout d’elle-même, librement, sans contrainte » ; et les humains, qui n’étaient pas tenus de travailler pour survivre, ne travaillaient pas même pour le plaisir. Le travail, note Virgile, est même à l’origine de plusieurs « maux modernes » si l’on se place du moins dans une perspective rousseauiste, notamment l’apparition de la propriété privée et des querelles de propriété : « Avant Jupiter, point de colon qui domptât les guérets ; il n’était même pas permis de borner ou de partager les champs par une bordure » écrit-il – comme regrettant la fin de l’unité et de la « mise en commun » du temps de l’âge d’or.
Transition : Le travail n’est-il cependant pas plus qu’un « mal » dans ces conditions de nécessité inévitable ? Le terme « mal » tel qu’employé par Twain est en effet quelque peu générique et peut renvoyer à des degrés très divers de gravité : bien plus que d’être un « mal », le travail ne peut-il pas être aussi considéré comme l’une des principales causes d’asservissement et de dégradation de la condition humaine ?
Le travail et la déshumanisation
Le travail peut être non seulement pénible, mais encore aliénant et déshumanisant ; il peut ainsi non pas se résumer à un simple « mal nécessaire », mais à une des conditions premières de la servilité humaine : est-il « un mal », ou « le Mal » ?
Exemple : Une telle vision aussi extrêmement négative du travail se perçoit dans la description faite par Simone Weil des conséquences physiques, et surtout mentales, imposées sur son être par l’expérience chez Alstom et Renault. Le travail non seulement pour Simone Weil est aliénant dans une perspective marxiste (il existe une distance radicale entre le travailleur et le fruit de son travail). Mais encore est-il proprement déshumanisant, atteignant la dignité de l’être humain et le transformant en « bête de somme », la comparaison revenant souvent dans le recueil. « Les choses jouent le rôle des hommes, les hommes jouent le rôle des choses ; c’est la racine du mal » écrit-elle aussi dans « Expérience de la vie d’usine ». Elle évoque encore (dans les « Lettres à Albertine Thévenon ») un travail « inhumain » réalisé à l’usine, se demandant « comment tout cela peut devenir humain ». L’ouvrier pour Simone Weil a donc une « tentation » omniprésente, « celle de renoncer tout à fait à penser », la pensée étant pourtant le propre de l’humanité.
Le travail n’existe pas, n’est pas une nécessité : un idéal utopique ?
Transition : Dès lors, l’usage du présent de vérité générale par Mark Twain (le travail est un mal nécessaire) paraît justifié : il s’agirait d’une vérité presque scientifique et universalisable. Mais cette assertion résiste-t-elle à l’examen de contre-exemples possibles ? Mark Twain n’aurait-il pas dû accoler un adverbe de temps (« parfois ») à son présent de vérité générale ? Nous allons étudier cette question, en nous demandant réellement si pour tout homme et en toute condition sociale, le travail est un horizon indépassable de l’existence.
Le travail est-il un « mal nécessaire » ou bien un « Mal » majuscule, bien plus envahissant et déshumanisant pour l’homme ? C’est cette perte de dignité humaine par le travail moderne que décrit Simone Weil.
Qu’en est-il d’abord du travail de l’artiste ?
N’y a-t-il pas chez lui une échappatoire possible au caractère non seulement nécessaire mais encore néfaste du travail ? En vérité, et en première instance, il apparaît que pas même pour le génie, pas même pour celui qui pratique l’otium, cette nécessité du labeur éreintant ne peut être écartée a priori.
Exemple : Il est ainsi frappant de voir Virgile, dans les Géorgiques, décrire son travail poétique à plusieurs reprises par le champ lexical du labor. Le travail poétique, note en particulier Maurice Rat dans ses notes critiques à l’édition au programme, est désigné non pas sous le terme otium (ce que l’on attendrait), mais par le terme labor. Ainsi au Livre IV, Virgile se dit arrivé bientôt « à la fin de [s]es peines », en employant le terme labor qui renvoie également à l’idée de « mal » ou de souffrance nuisible mais nécessaire pour le poète. C’est seulement lorsqu’il évoque sa composition précédente (Les Bucoliques) que Virgile emploie le terme de « jeu », pour mieux mettre en valeur la dureté supposée de son travail ayant abouti à l’écriture des Géorgiques.
Transition : Nous avons vu, dans les deux exemples précédents de Simone Weil et de Virgile, que le travail était un mal nécessaire parce qu’il était sous-conduit et orienté en vue d’une finalité : se nourrir (premier cas) ou bien écrire et produire une œuvre de l’esprit exigeante (deuxième cas). Cependant, le travail est-il toujours lié à la finalité, est-il toujours un moyen nécessaire, mais pénible pour atteindre un but que l’on se fixe ? Pour les personnes n’ayant peut-être pas le besoin de travailler (un riche homme qui ne voudrait produire aucune œuvre), le travail n’est-il pas une nécessité, mais une futilité ?
Pascal fait du travail, englobé sous le concept de divertissement, qui recoupe aussi la guerre, les loisirs, et l’activité travailleuse, un moyen d’échapper à la « misère » de la condition humaine. Le travail n’est ainsi pas qu’une nécessité physique et matérielle – mais également une nécessité morale et métaphysique.
Le divertissement pascalien
Or pour des raisons liées au « divertissement pascalien », pour fuir l’ennui, le travail paraît aussi être une nécessité même pour les riches et les rois. Le travail est en effet également une nécessité morale et métaphysique – même sans finalité désirable apparente, même pour le riche ou le roi. Telle est l’utilité du travail décrite par Pascal : celle du « divertissement » (divertere, « détourner »). L’occupation, l’activité travailleuse, la guerre, la politique, la chasse, permettent, selon Pascal, au roi de ne plus penser à la condition misérable de l’existence humaine et à sa finitude : par conséquent, un « roi sans divertissement est un homme plein de misères ». Ainsi même sans nécessité matérielle apparente, le travail demeure nécessaire des points de vue moraux et métaphysiques.
Exemple : C’est quelque peu la même attitude qu’adoptent Olivier et Benoît à la reprise de Ravoire et Dehaze. Les deux héritiers n’ont pas tant un besoin matériel que cela de travailler : ils pourraient vendre leur entreprise au plus offrant et couler de beaux jours. Mais pour Oliver, il s’agit d’abord de se montrer fidèle à l’héritage paternel ; tandis que pour Benoît, la nécessité de devenir un forçat du travail en reprenant l’entreprise, résulte d’un certain désir d’aventure, pour donner sens à sa vie. « Le redressement est encore possible mais il exige une attitude absolument nouvelle partir de zéro vivre une aventure avec tout ce que cela comporte de rigueur de don de soi » lance-t-il ainsi, avant de reprendre la comparaison avec l’aventure quelques lignes plus loin : « ça me passionnerait de me jeter dans cette aventure-là et je me crois capable de réussir ». Le travail est dès lors, non une nécessité, mais une « aventure » pour donner sens à son existence, pour s’occuper ; c’est une question de passion morale.
Transition : Mais en dehors des plages de temps de travail, l’activité travailleuse n’est-elle pas rendue davantage supportable par la respiration offerte par le repos ? Dès lors, le travail peut-il, grâce à ces temps de non-travail, devenir plus acceptable, tendant vers le « moindre mal » et non vers le « mal majuscule » ? Nous allons voir que tel n’est pas forcément le cas…
Les effets négatifs du travail
Or, il peut être constaté que le travail a des effets négatifs, « mauvais » pour reprendre la terminologie de Twain, y compris sur les temps de non-travail – car il contamine l’univers mental de l’humain et en particulier les temps de repos. Le travail est ainsi non seulement un « mal majuscule » mais omniprésent, envahissant.
Exemple : Cette contamination totale de la pensée humaine par l’univers du travail est par exemple décrite par Simone Weil. Dans « La Rationalisation », elle explique ainsi que « l’oppression de la classe ouvrière sur le lieu du travail (…) se traduit par des souffrances prolongées, selon le cas, 48 heures ou 40 heures par semaine, mais qui peuvent se prolonger encore au-delà de l’usine, sur les 24 heures de la journée ». Une semblable contamination temporelle et mentale se lit aussi dans la description de son quotidien faite par Joëlle dans Par-dessus bord : elle décrit notamment une vie de famille et de loisir réduite au simple minimum, le travail du ménage prenant le relais du « travail-boulot » (« C’est surtout au lit que je suis avec mon mari le reste du temps le boulot le ménage encore le boulot le bistrot et puis vous savez il bricole »).
Le travail : séparation à vie ou inéluctabilité ?
La suite de la dissertation corrigée (partie 3 et conclusion) sur le travail, un mal nécessaire en prépa scientifique, se trouve dans notre application mobile PrepApp. Notre appli mobile est gratuite en téléchargement sur Google Play ou Apple store.
Voici le plan de la partie 3 et de la conclusion que vous retrouverez dans l’application PrepApp entièrement corrigées :
Passer d’un travail comme contrainte à un travail facultatif
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Conclusion du thème : le travail un mal est nécessaire
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