Dissertation corrigée sur travail et repos en CPGE scientifique
Œuvres morales - Plutarque (5 – 125 ap. J-C)
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Sujet de dissertation : travail et technique
Vous trouverez ci-dessous une dissertation rédigée sur le thème du travail et repos en CPGE. Ce sujet est proche des sujets donnés chaque année aux élèves de MP, PC, PSI ou encore MPI et PT aux concours Centrale Supelec, Mines Ponts, CCINP ou encore Polytechnique et ENS.
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« Que l’on y réfléchisse : toute l’existence est une alternance de repos et de travail ». A la lumière des œuvres au programme, vous vous interrogerez sur cette réflexion (in Œuvres morales) de l’historien antique Plutarque (5 – 125 ap. J-C).
Accroche de la dissertation : Pour Blaise Pascal, « tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre » (in Pensées) : car sans occupations, l’on repense à la mortalité, la précarité, la « misère de l’homme sans Dieu » pour ce philosophe janséniste. De là vient que le travail n’est ainsi plus une torture : il est justement ce qui peut nous éviter de nous torturer l’esprit. L’alternance entre « repos » et « travail », telle que mise en avant par Plutarque, est-elle alors non seulement du domaine du possible, mais encore du désirable ?
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Définition des termes du sujet de dissertation – travail et repos
Nous noterons d’emblée le ton péremptoire et convaincu de Plutarque : en effet, l’historien antique, l’auteur des Vies parallèles, dresse justement un parallélisme clair entre « repos » et « travail » : les deux courbes ne seraient censées jamais se croiser. Ce ton péremptoire se signale par plusieurs marques stylistiques : l’usage du subjonctif à valeur impérative (« que l’on… ») traduit une exhortation pressante pour le lecteur ; l’adjectif indéfini « toute » (« toute l’existence ») signale que Plutarque ne trouverait aucune exception à son propos ; cette conviction est d’ailleurs renforcée par l’usage du présent de vérité générale « est », qui traduit un énoncé à portée universelle, relevant quasiment d’une vérité scientifique établie.
En quoi Plutarque aurait-il, en effet, des raisons d’être bien convaincu que « toute l’existence est une alternance de repos et de travail » ? Les frontières entre « repos » et « travail » semblent certes a priori, bien établies. D’un côté le repos traduit l’idée d’arrêt, de halte, d’immobilité – de même qu’un muscle est au repos, quand il ne bouge pas. Il s’agit du « fait d’interrompre un travail professionnel pour se reposer » ou de manière plus moderne, du « temps accordé réglementairement ou légalement au cours du temps de travail » (CNRTL). C’est ainsi qu’en 1906, par la loi, a été instauré un repos obligatoire hebdomadaire de 24 heures en France (en même temps qu’était créé le Ministère du Travail).
D’un autre côté, l’antonyme du « repos » serait le « mouvement » et cette idée d’agitation frénétique rejoindrait plutôt la conception commune du travail. Le travail semble être en effet marqué du sceau de l’activité ; le travail traduit, par exemple dans les acceptions antiques de labor ou de negotium, une vision d’une forte dépense ne serait-ce qu’énergétique, mais aussi mentale, pour réaliser les activités et objectifs nécessaires ; le travail est un mouvement, une dynamique, si bien que le CNRTL le définit comme « une activité humaine exigeant un effort soutenu qui vise à la modification des éléments naturels, à la création et/ou à la production ». Il y aurait bien ainsi une nette opposition à dresser entre repos et travail, ce qu’indique le concept « d’alternance » : l’alternance est aussi un thème agricole (l’alternance des cultures) qui décrit la succession non contemporaine de deux actes ou deux activités.
Le travail et le repos seraient ainsi deux états de fait qui s’excluraient mutuellement : ou bien l’on travaille, ou bien l’on se repose, mais jamais concomitamment. Cette alternance est-elle cependant si nette, si stricte que cela ? L’alternance ne peut-elle pas laisser la place à la cohabitation contemporaine ? Autrement dit, les frontières entre repos et travail sont-elles si bien établies que cela ? C’est ce que nous pourrions aussi nous demander.
Pour commencer, rappelons que le spectre du travail, pour un latin comme Plutarque, était plus large que notre conception englobante et unifiée du travail : il y avait aussi pour l’historien latin l’otium, l’oisiveté créative, la pratique de l’art, de la philosophie, de la politique. Mais l’otium (la création littéraire, celle-là même à laquelle procède notre auteur) ne pourrait-elle pas être aussi considérée comme une forme de repos ? De détente intellectuelle ? Ou bien de travail ? Nous nous interrogerons ainsi, avec le recul de l’étymologie et du temps, sur les possibles présupposés subjectifs présents dans l’outillage mental de Plutarque, forcément influencé par cette tripartition otium/labor/negotium de son temps.
De surcroît, Alain Corbin, dans son Histoire du repos, a montré que les frontières entre repos et travail étaient plus floues qu’on ne pourrait penser : en effet, le repos est toujours un temps encadré légalement par le droit du travail (par exemple le repos des ouvriers, « les 3×8 », n’existe que parce qu’il est encadré par le temps du travail, qui conditionne son existence à travers le contrat de travail) ; de même le repos dominical n’était pas vraiment un temps d’inactivité, mais plutôt d’activité consacrée à la religion. C’est ainsi que l’on peut distinguer le repos, ou le temps de cessation temporaire du travail dans lequel l’univers mental ou juridique du travail reste pourtant présent ; de la paresse, qui est bien elle le temps de l’inactivité absolue. N’aurait-il pas été ainsi plus juste de dire que l’alternance véritable est entre travail et paresse ? Le travail n’est-il pas aussi « mentalement » présent dans les temps du repos (y a-t-il une véritable déprise mentale ?) ?
Division de la vie entre temps de travail et temps de repos
Pour l’historien antique Plutarque, la vie se divise selon une dichotomie bien nette et claire entre temps de travail et temps de repos.
Enfin, tout en relativisant ainsi les propos de Plutarque, nous nous demanderons aussi si cette « alternance » ne serait tout de même pas souhaitable à installer, dans la mesure où il s’agirait d’assurer à l’humanité une « existence » véritable : et cela, dans le sens fort de « l’existence », non pas simplement dans le seul fait de persévérer biologiquement dans son être, mais dans le fait de se « tenir au-dessus de son être, de s’élever au-dessus de soi» (ex-sisto) ; dans le sens d’une dimension plus noble de l’existence, celle qui peut et doit donner une certaine grandeur, une dignité à l’être humain. Une « existence » véritable ne supposerait-elle pas ainsi de réaffirmer une frontière nette entre travail et repos ? Si oui, dans quelles conditions ?
Problématisation par rapport aux œuvres de CPGE
Nous nous demanderons ainsi si les frontières entre travail et repos sont délimitées d’une manière aussi franche, nette et précise que Plutarque semble nous l’indiquer : d’un côté, l’alternance des temps de travail et de repos reprend une conception classique de l’organisation du temps de l’existence ; cependant d’un autre côté, puisque le repos n’est pas paresse, ne faut-il pas complexifier, brouiller ou relativiser ces frontières du repos et du travail, pour parvenir à « l’extension du domaine du travail » ? Faut-il encore se résigner à cette perspective peut-être peu enthousiasmante
Annonce des axes de la dissertation en prépa
- Il apparaît en première instance que Plutarque reprend ou se fait l’écho d’une vision classique de l’organisation du temps de vie des travailleurs – une organisation délimitant clairement les frontières entre repos et travail, indispensable pour la résilience mentale et physique du travailleur (mais aussi pour sa productivité).
- La distinction entre temps de repos et temps de travail n’est cependant pas aussi nette qu’on pourrait le penser. La contamination mentale du temps de repos par l’environnement de travail stressant peut brouiller ou éliminer cette distinction. De plus, le « temps libre » ne doit pas être confondu avec le « temps de repos » pour le travailleur, car les deux ne sont pas nécessairement synonymes.
- En dernière instance, pour mettre en valeur la grandeur et la dignité de l’âme humaine comme « ex-sistence », il nous semble à la fois nécessaire de réformer les temps de travail (en les rendant moins aliénants, moins animalisants) et les temps de repos (en les rendant plus proches, non pas d’une pure paresse potentiellement plus triviale, mais de l’otium antique).
La réalité de l’existence de la phrase : je suis, j’existe
« Je suis, j’existe » a pu dire Descartes. Mais quelle est la réalité de cette existence, son intensité, sa qualité ?
L’alternance entre périodes de repos et de travail est clairement définie dans la structure traditionnelle de l’organisation temporelle des sociétés. Cette bipartition standardisée est même considérée comme un élément fondamental pour assurer le bon fonctionnement des sociétés et la productivité des entreprises, Plutarque se faisant l’écho de cette vision relativement prosaïque.
L’alternance entre temps de repos et de travail balisée dans l’organisation classique
L’alternance entre temps de repos et temps de travail est bien balisée dans l’organisation « classique » du temps de vie : il s’agirait a priori d’un des piliers évidents de la bonne marche des sociétés, si bien qu’il n’est pas surprenant de voir Plutarque considérer comme certaine ou bien assurée, cette bipartition standardisée.
Exemple : Le temps du repos pour le laboureur de Virgile est ainsi bien délimité – par exemple les saisons. L’hiver est la saison du repos, indique Virgile, ne serait-ce que pour des contraintes physiques que l’on comprend bien à la lumière de cette citation : « Mets-toi nu pour labourer, mets-toi nu pour semer : l’hiver, le cultivateur se repose. » Ce repos est aussi délimité dans les âges de la vie ; il vaut même pour le cheval : « lorsque, appesanti par la maladie ou déjà ralenti par les ans, il a des défaillances, enferme-le au logis et sois indulgent à une vieillesse qui ne le déshonore pas. » (Livre III). Enfin, ce temps du repos est bien délimité dans le temps même de la journée, selon une alternance claire : quand on se repose, on ne travaille pas. C’est le cas du repos des abeilles le soir, un temps sacré qui est aussi un temps collectivement partagé : « Toutes se reposent de leurs travaux en même temps, toutes reprennent leur travail en même temps. Le matin, elles se ruent hors des portes ; aucune ne reste en arrière ; puis quand le soir les invite à quitter enfin les plaines où elles butinent, alors elles regagnent leurs logis, alors elles réparent leurs forces » (Livre IV). Il ne semble ainsi pas y avoir de confusion possible entre temps de repos et temps de travail.
Transition : Nous pouvons par suite nous interroger sur les raisons fondamentales expliquant l’installation de cette bipolarisation entre temps de travail et temps de repos : en quoi est-elle indispensable pour le travailleur ? Quels en sont les fondements, que permet-elle ?
L’entreprise elle-même, comme dans l’œuvre de Michel Vinaver, peut trouver opportun d’organiser des temps de « détente » dans l’univers du travail. Mais est-ce vraiment du « repos » ?
Cette alternance entre repos et travail est nécessaire aussi bien physiquement que mentalement pour le travailleur : le repos conditionne ainsi l’efficacité dans les temps de travail. Nous comprenons donc d’autant mieux pourquoi il s’agit d’un « topos » (lieu commun) de l’organisation des sociétés, topos que reprend Plutarque.
Exemple : Cette nécessité est ainsi d’abord physique pour les ouvriers, dont le sort est décrit par Simone Weil dans La condition ouvrière. Elle explique ainsi, dans « La rationalisation », que les patrons ont bien compris que leur intérêt était d’accorder des temps de repos au travailleur, afin qu’il soit plus productif la journée : « En effet, il y a une limite à la journée de travail, (…) aussi parce que, au bout d’un certain nombre d’heures de travail, la production ne progresse plus. Par exemple, un ouvrier ne produit pas plus en dix-sept heures qu’en quinze heures, parce que son organisme est plus fatigué et qu’automatiquement il va moins vite. Il y a donc une limite de la production qu’on atteint assez facilement par l’augmentation de la journée de travail, tandis qu’on ne l’atteint pas en augmentant son intensité. C’est une découverte sensationnelle du patronat. » Cette nécessité de repos n’est pas que physique : elle est aussi mentale. La perspective des temps de repos réglementaires, par exemple les congés, permet dès lors à l’ouvrier de « tenir bon » dans les moments de souffrance ; il s’agit là d’une perspective heureuse aidant à sa résilience. C’est par exemple la pensée stimulante des congés payés qui donne du baume au cœur à Simone Weil (dans « Trois lettres à Albertine Thévenon ») : « je nous vois toutes les deux, pendant les vacances, avec quelques sous en poche, marchant le long des routes, des chemins et des champs, sac au dos. On coucherait des fois dans les granges… ».
Exemple 2 : C’est d’ailleurs parce que ces temps de repos sont indispensables que l’entreprise peut les organiser même au cœur du travail. C’est ainsi que Ravoire et Dehaze organise une tombola que présente Livier : « Je vous rappelle que le premier grand prix de notre tombola est ce beau transistor que voilà avec modulation de fréquence et prise de pick-up… ». Et c’est ainsi que le « cocu de Lubin » tire le gros lot avec le numéro 84 !
Transition : Ce dernier exemple doit nous conduire à nous interroger : si l’entreprise organise elle-même des temps de déprise, de détente, dans l’univers du temps de travail, cela ne veut-il pas nous signifier aussi que les frontières, entre l’univers du travail et l’univers du repos, ne sont pas plus floues qu’on ne le pense ? L’usage de l’adjectif indéfini par Plutarque (« toute ») ou bien du présent de vérité générale (« est ») n’est-il pas par trop prononcé ? Cette opposition entre travail et repos est-elle si nette et assurée qu’il ne semble ?
Toute la vie est-elle une alternance totale entre travail et repos ?
L’alternance entre temps de repos et temps de travail n’est cependant pas aussi claire ou nette qu’on ne voudrait ne le croire, ou qu’il ne faudrait. La contamination mentale du temps de repos par l’univers harassant du travail, nuance voire abolit cette distinction ; il ne faut pas, de surcroît, confondre « temps libre » et « temps de repos » du travailleur, le premier n’étant pas forcément le synonyme du second.
la possibilité du repos sous l’emprise de la dureté du travail
L’existence en effet, même dans les temps de repos, est comme contaminée ou compromise par les conséquences physiques ou psychiques de la souffrance au travail : la possibilité du repos est sous l’emprise de la dureté du travail, dont les effets se ressentent au-delà même du simple « temps de travail. »
Exemple : Cette contamination mentale du repos par le travail est bien ressentie et décrite par Simone Weil. Dans une « Lettre à Simone Gibert », Simone Weil explique la portée de cette contamination physique et mentale : « Quant aux heures de loisir, théoriquement on en a pas mal, avec la journée de 8 heures ; pratiquement elles sont absorbées par une fatigue qui va souvent jusqu’à l’abrutissement ». Dans « La Rationalisation », elle rappelle de surcroît que « l’oppression de la classe ouvrière sur le lieu du travail qui se traduit par des souffrances prolongées, selon le cas, 48 heures ou 40 heures par semaine, mais qui peuvent se prolonger encore au-delà de l’usine sur les 24 heures de la journée ». Il n’y a ainsi pas d’alternance véritable entre repos et travail, mais persistance de l’un dans l’autre.
Transition : Cependant prenons le cas d’un travail qui ne prendrait pas la forme d’un « labor » harassant : dans l’hypothèse où le travail ne contaminerait pas mentalement le temps de repos, cette alternance deviendrait-elle heureusement plus clairement établie ?
Les temps de « non-travail »
Toutefois même dans cette hypothèse, l’alternance entre temps de repos et temps de travail n’est pas aussi claire. Car les temps de « non-travail », en dehors de l’occupation professionnelle, ne sont pas cependant, et inévitablement, des temps de repos. Sur son « temps libre », le travailleur peut en effet devoir effectuer des tâches qui ne relèvent pas du divertissement pur, mais également des tâches ménagères – une autre sorte de travail.
Exemple : C’est ainsi que le temps libre n’est pas forcément un temps de repos absolu (de paresse) ; mais se consacre à une autre forme d’activité qui sans relever forcément de l’activité purement professionnelle, est tout aussi ennuyeux ou harassant. A titre d’illustration, Joelle décrit ainsi, dans Par-dessus bord, son agenda durant son « temps libre » : « — C’est surtout au lit que je suis avec mon mari le reste du temps le boulot le ménage encore le boulot le bistrot et puis vous savez il bricole ». Le ménage, le bricolage, tant de tâches quotidiennes qui ne sont ainsi pas forcément synonymes de « repos ». Dans ce contexte, même l’occupation la plus libre possible, l’amour, doit être planifiée, au même titre qu’une activité professionnelle. Ce dialogue entre Margerie et Benoît en témoigne : « MARGERIE : Manger, travailler, dormir // BENOÎT : Faire l’amour // MARGERIE : Deux fois par semaine ». En somme, même les « temps de repos » ne sont pas forcément des temps de paresse : mais bien, des temps d’occupations et de corvées.
Transition : Dans ces conditions d’alternance plus floue entre temps de repos et temps de travail, la possibilité d’une « ex-sistence » au sens plein et digne, comme nous l’avons défini (c’est-à-dire une existence qui permet de sortir de la simple persistance biologique, pour disposer d’une certaine dimension intellectuelle, dans le prolongement de la pensée humaniste proclamant la dignité et la grandeur de l’existence humaine), semble inaccessible. Est-ce cependant une fatalité ? Si le travail doit même contaminer le temps de repos, n’est-il pas possible, soit de rétablir une alternance claire, soit, au moins, de rendre le travail plus digne d’une véritable « ex-sistence » ? C’est ainsi que Simone Weil écrit dans une lettre à Jacques Lafitte : « Il ne faut pas tendre à réduire indéfiniment la part du travail dans la vie humaine au profit d’un loisir qui ne satisferait aucune des hautes aspirations de l’homme »
L’oppression du travailleur par des machines n’est pas une fatalité
La suite de la dissertation corrigée (partie 3 et conclusion) sur le travail, Œuvres morales de Plutarque en prépa scientifique, se trouve dans notre application mobile PrepApp. Notre appli mobile est gratuite en téléchargement sur Google Play ou Apple store.
Voici le plan de la partie 3 et de la conclusion que vous retrouverez dans l’application PrepApp entièrement corrigées :
L’instauration d’un « droit à la paresse »
Rétablir une alternance claire entre temps de travail et temps de repos
L’occupation de l’esprit
Conclusion du thème : travail et repos
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