Les métiers du journalisme
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Le journalisme, est-ce pour moi ?
On peut souhaiter devenir journaliste pour de très nombreuses raisons : le goût d’informer ou d’être informé, la volonté de sensibiliser les autres aux enjeux actuels, politiques, économiques, internationaux ou même sportifs. Il s’agit d’un métier créatif, dans lequel chaque journaliste peut exprimer sa singularité. Pour autant, tous les journalistes ne font pas la même chose et n’abordent pas tous les mêmes thèmes.
Les journalistes sont véritablement indispensables au bon fonctionnement de nos sociétés démocratiques : ils incarnent le “4e pouvoir”. En effet, ils permettent à chacun de s’informer et de se forger des convictions, en rapportant les faits et en confrontant des invités aux opinions différentes.
Le pouvoir médiatique constitue un contre-pouvoir. Dans une démocratie, la liberté de la presse permet aux journalistes de s’exprimer relativement librement, sans craindre de représailles de la part de l’État. Cependant, dans un régime autoritaire, ils sont la cible privilégiée du pouvoir, l’information délivrée par les journalistes pouvant déstabiliser les dirigeants du pays. Ainsi, en 2020, 50 journalistes ont été tués pour avoir exercé cette mission d’information d’après le rapport de Reporters sans frontières. 84% d’entre eux ont été sciemment visés. Tout cela montre que les journalistes, en particulier les journalistes d’investigation, sont indispensables dans une démocratie, ce qui explique qu’ils soient autant visés. Dès lors, tout aspirant journaliste se doit d’être conscient de cette mission d’information et de connaître les risques du métier, notamment dans certains domaines du journalisme (reporter de guerre, grand reporter…).
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Le journalisme : qu’est-ce que c’est ?
Le journaliste recueille des informations, les vérifie et les rend accessibles au public. Le métier de journaliste présente de très nombreuses facettes. Le journaliste peut travailler sur des sujets généraux, ou au contraire très spécifiques. Certains travaillent dans le domaine de la politique. Ils rapportent l’actualité politique, interviewent des invités politiques. Les journalistes économiques interviennent sur les questions économiques, invitant grands patrons, représentants de syndicats ou rédigeant des articles d’analyse économique. Le journaliste sportif raconte l’actualité sportive, analysant la performance de tel ou tel club ou joueur. Dès lors, tous les journalistes n’exercent pas de la même façon.
De très nombreux profils peuvent donc devenir journalistes. Une personne passionnée de sport peut se spécialiser dans le journalisme sportif. Un diplômé en économie constitue le profil parfait pour un journaliste économique.
Cependant, peu importe le domaine de spécialisation, tous les métiers dans le monde du journalisme ont des points communs. Être journaliste nécessite d’être curieux et ouvert sur le monde, passionné du domaine dans lequel on se spécialise. Par exemple, il peut être rébarbatif de devenir journaliste sportif pour quelqu’un qui ne serait pas passionné par le sport. Le journaliste est curieux du monde qui l’entoure, toujours prêt à en apprendre plus. Par ailleurs, il se tient informé des actualités les plus récentes. Le journaliste est en prise directe avec les évolutions de la société. Il en rend compte dans son travail et les observe. Dans certains cas, il peut même participer à des mouvements de société pour mettre en avant les revendications du mouvement.
Travailler dans le domaine du journalisme nécessite d’être prêt à partir à l’aventure dans tous les sens du terme. Il lui faut être capable de se remettre en question et de remettre en question ce qu’il pensait immuable. Il doit pouvoir travailler sur des sujets dont il ne connaît rien, tout en fournissant un contenu de qualité. Enfin, il peut être amené à se déplacer, en fonction de l’actualité, sur des terrains plus ou moins favorables, voire extrêmement difficiles.
Certains journalistes sont spécialisés pour aller sur des zones de guerre (les grands reporters et reporters de guerre). Dans ce cas, ils rapportent les principales actualités concernant la ou les guerres. Ce faisant, il se met en danger et peut être pris pour cible. Ainsi, 32% des journalistes tués en 2020 l’ont été sur une zone de guerre selon Reporters sans Frontières, soit 16 journalistes. Même si tous les journalistes ne travaillent pas sur des terrains aussi difficiles, il doit être prêt à prendre des risques, à aller à la rencontre des autres et à échanger ou faire échanger des personnes ayant des points de vue parfois radicalement différents. Il leur est nécessaire d’avoir une bonne capacité de rédaction et de synthèse. Selon les médias dans lesquels ils travaillent, leur capacité de communication orale ou écrite peut également être cruciale.
Quels sont les métiers possibles dans le monde du journalisme ?
Nous l’avons vu, devenir journaliste permet de travailler sur de très nombreux sujets : politiques, économiques, sociaux, sportifs, artistiques… . Chaque journaliste qui souhaite se spécialiser trouve un domaine susceptible de l’intéresser et un format qui lui plait (internet, télévision, radio, presse écrite).
Le métier de journaliste chroniqueur
Le journaliste chroniqueur a pour charge de rédiger une chronique portant sur un domaine d’actualité. La chronique a pour caractéristique d’être régulière et personnelle. La chronique de ce journaliste peut être diffusée sur Internet, à la télévision, à la radio, ou alors constituer un article de presse d’un journal. Les chroniques peuvent porter sur des thèmes extrêmement variés et dépendent de la spécialisation éventuelle du journaliste. Un journaliste économique fait une chronique économique, un journaliste politique produit une chronique politique, un journaliste spécialisé dans les relations internationales et la géopolitique rédige une chronique sur l’actualité diplomatique. Le chroniqueur traite un sujet de façon originale, personnelle et dans le cas d’un “Edito”, peut exprimer son point de vue.
Aucune formation n’est recommandée pour devenir journaliste chroniqueur. Cependant, disposer d’un diplôme en journalisme peut être extrêmement utile pour exercer ce métier, ainsi qu’une formation en sciences sociales (histoire, économie, sciences politiques, relations internationales…). Les formations de Sciences Po en journalisme ou celles des écoles de journalisme de niveau bac +5 sont extrêmement pertinentes pour devenir chroniqueur.
Le métier de journaliste d’enquête
Le journalisme d’enquête est une forme de journalisme particulière, qui se caractérise par un travail de recherche approfondi sur des sujets délicats. En effet, le journaliste d’enquête travaille sur des questions politiques ou encore économiques très sensibles. Il est souvent à l’origine de scandales médiatiques, aux conséquences majeures. Le scandale du Watergate en est un bon exemple. En 1972, des cambrioleurs sont arrêtés dans les locaux du parti démocrate américain, le grand rival du parti républicain, dans l’immeuble du Watergate. Dans un premier temps, cette affaire ne fait que très peu de bruit. Cependant, deux journalistes du Washington Post décident d’étudier de façon plus approfondie cette affaire, aidés par un informateur. Malgré les nombreuses menaces, un article révélant les abus de pouvoir du Président américain de l’époque, membre du parti républicain, Richard Nixon, est publié à la fin de l’année 1972. De là démarre une longue enquête du Sénat américain, qui conduit finalement à la démission du même Président en 1974.
Les journalistes d’enquête ont un rôle essentiel en démocratie. En effet, ils révèlent au grand public les pratiques cachées des dirigeants politiques et économiques (abus de pouvoir, corruption, évasion fiscale…). La présence de ces journalistes peut dissuader les dirigeants d’adopter des pratiques immorales et/ou illégales, par crainte de voir son nom sali dans une affaire. Cependant, comme ils s’attaquent aux puissants, les journalistes d’enquête sont très régulièrement menacés, verbalement ou même physiquement. Pour devenir journaliste d’enquête, il ne faut donc pas avoir peur de subir la pression, d’aller à l’affrontement. Un diplôme en journalisme ainsi qu’une formation en économie ou en sciences politiques avec une ou plusieurs spécialisations est indispensable.
Le métier de journaliste correspondant de guerre
Être correspondant de guerre est un métier extrêmement dangereux. Celui-ci est envoyé dans des zones de guerre rapporter les faits relatifs d’un conflit militaire. Dans les zones de conflits, il peut échanger avec les civils, les combattants ou les autorités civiles ou militaires des différents pays impliqués. Le correspondant de guerre étudie les dimensions militaires, politiques et géopolitiques d’un conflit. Il est le témoin privilégié d’un conflit, il mène l’enquête sur le terrain, mais il manque de recul sur les événements qu’il raconte. Il vit la guerre au quotidien et fait vivre la guerre au jour le jour à ceux qui le lisent ou à ceux qui l’écoutent.
Le correspondant de guerre est soumis à de très nombreuses pressions. En effet, tous les acteurs du conflit n’ont pas forcément intérêt à ce que la vérité soit connue. Comme le disait le sénateur Hiram W. Johnson en 1917, “la première victime d’une guerre, c’est la vérité”. Cette affirmation reflète bien le dilemme auquel les reporters sont soumis. Ils peuvent utiliser les sources officielles pour raconter la guerre, mais dans ce cas, ils peuvent se faire manipuler par un ou plusieurs acteurs du conflit. Cela peut l’amener à faire, involontairement, de la propagande en faveur d’un camp et en diabolisant l’autre, ou à ne pas remarquer ou à ne pas vouloir remarquer certains crimes commis (massacres, génocides…). S’il part chercher l’information de lui-même, en ne prenant pas pour acquis les sources officielles, et en partant lui-même enquêter, il peut donner une image plus fidèle de la réalité. Cependant, cela peut le mettre en danger et il peut subir des représailles des autorités civiles ou militaires.
Pour devenir correspondant de guerre, un diplôme de journalisme est indispensable. Par ailleurs, une formation en géopolitique et en relations internationales est un atout pour mieux comprendre l’origine et le déroulement des conflits. Une bonne résistance à la difficulté est nécessaire.
Le métier de journaliste sportif
Le journaliste sportif informe le public des événements sportifs auxquels il assiste. Passionné par le sport, il connaît bien le monde du sport, ses pratiques et les règlements. Il peut choisir de se spécialiser dans certains sports (foot, rugby, tennis, natation…), ou alors de rester plus généraliste. Il intervient dans les grands événements sportifs, le plus prestigieux étant les Jeux olympiques.
Ce métier fait rêver les passionnés de sport, mais les places sont rares. Pour devenir journaliste sportif, obtenir un diplôme de journalisme est nécessaire. Il est également indispensable d’aimer faire du sport ou d’en être passionné. Certaines écoles de journalisme proposent des spécialisations en sport, comme l’École supérieure de journalisme de Lille ou le Centre de formation des journalistes de Paris. Certains sportifs ou anciens sportifs peuvent aussi devenir journalistes sportifs.
Le métier de présentateur de journal
Ce métier s’exerce exclusivement à la radio, à la télévision ou sur internet. Il a pour mission de présenter le journal, en abordant les sujets choisis au cours de la conférence de rédaction. Il se nourrit du travail des chroniqueurs et d’autres journalistes pour présenter son journal. Il doit présenter les actualités de façon rigoureuse, mais aussi avoir un format suffisamment attractif pour attirer davantage de spectateurs que ses concurrents. Le présentateur de journal assure la bonne mise en scène du journal. Il peut aussi être amené à interroger des invités ou des chroniqueurs.
Pour devenir présentateur, une expérience préalable à la radio, à la télévision ou sur internet est nécessaire, en tant que chroniqueur par exemple. Le présentateur de journal se doit d’avoir un diplôme en journalisme pour exercer. Des talents en mise en scène sont un atout pour ce métier.
Le métier de rédacteur en chef
Le rédacteur en chef, aussi appelé rédac-chef, coordonne une équipe de rédaction et gère la ligne éditoriale. Il a pour rôle de proposer des sujets à traiter, de recueillir des propositions de sujets. Il est aussi chargé d’assurer la coordination avec la direction et les autres services (administratifs et techniques) précise Basile Kougblenou.
Un rédacteur en chef est souvent un ancien rédacteur, un ancien chroniqueur. Cette expérience lui est particulièrement utile pour trouver des sujets pertinents. Les rédacteurs en chef sont présents dans tous les médias, presse écrite, radio, télévision et même dans les médias fonctionnant sur internet. Les rédacteurs en chef ont un rôle central : ils sont chargés de choisir les sujets à traiter. Ils représentent l’image du journal et doivent respecter sa ligne éditoriale. Cependant, chaque rédacteur en chef a un angle d’analyse spécifique. Pour devenir rédacteur en chef, il est nécessaire d’avoir suivi une formation en journalisme (école de journalisme ou institut d’études politiques). Par ailleurs, une expérience longue dans une rédaction est impérative.
Salaire du métier du journalisme
Le salaire des journalistes est extrêmement variable, au vu de la diversité des missions qu’ils peuvent avoir. Un journaliste peut gagner entre 1500 et 5000 euros en moyenne par mois. Cependant, son salaire peut être bien plus élevé, s’il a un vaste réseau, occupe des fonctions de management ou s’il est connu et donc recherché. Les journalistes les plus connus, ceux des journaux télévisés en heure de grande écoute gagnent pour certains jusqu’à 40000 euros bruts par mois. Néanmoins, le salaire de ces journalistes n’est pas représentatif du monde du journalisme. Ainsi, de nombreux journalistes ont un statut extrêmement précaire, en particulier les pigistes : de jeunes journalistes rémunérés à l’article. En début de carrière, un journaliste doit donc accepter de travailler beaucoup, sur des sujets très variés. Toutefois, à mesure qu’il gagne en expérience et en relations, son travail peut se spécialiser.
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Quelles sont les études conseillées pour devenir journaliste ?
Sciences Po : une formation idéale pour devenir journaliste
Une voie royale pour devenir journaliste, notamment journaliste politique, en France est de passer par un des Sciences Po ou par un Institut d’études politiques (IEP). Il existe dix Instituts d’études politiques en France, le plus connu et prestigieux étant celui de Paris. Les neuf autres sont situés à Lille, Lyon, Aix, Bordeaux, Grenoble, Saint-Germain-en-Laye, Rennes, Strasbourg, Toulouse.
Les Sciences Po recrutent à bac 0 ou à bac + 3. Le premier cycle (du niveau bac à bac +3) est relativement similaire dans tous les IEP. Il consiste en une formation multidisciplinaire en droit, économie, histoire, sciences politiques et sociologie. Des cours d’ouverture (philosophie, civilisation japonaise, arabe…) et des cours de langues sont également proposés. En 3e année, les étudiants partent à l’étranger dans une prestigieuse université partenaire (Keio au Japon, Columbia aux États-Unis, la Freie Universität en Allemagne…). À la fin de cette troisième année, les étudiants entrent en cycle Master. Ils sont rejoints par des étudiants recrutés au niveau bac + 3. Ils choisissent une spécialisation, comme les Affaires Publiques, le droit ou encore le journalisme. Les masters de Sciences Po sont d’excellent niveau et permettent une très bonne insertion professionnelle, grâce à leur bonne formation théorique exigeante et à de nombreux stages dans le domaine de spécialisation.
Les diplômés de Sciences Po sont extrêmement recherchés dans le monde du journalisme. De très nombreux journalistes comme David Pujadas, Gilles Bouleau, Edwy Plenel ou encore Hugo Travers (HugoDécrypte) sont diplômés d’une de ces écoles. Sciences Po Paris propose un Master en Journalisme où les étudiants suivent des cours académiques sur les grands enjeux contemporains (géopolitique, économie, environnement…), mais aussi des cours pratiques (chercher et vérifier des informations, produire un reportage en images, en sons, codes et technologies pour les journalistes de demain…). Cette association de cours théoriques de haut niveau et de cours pratiques donne une très grande valeur aux diplômés en journalisme de Sciences Po, car ils sont capables de fournir des analyses extrêmement pertinentes de l’actualité. Les autres Instituts d’études politiques (IEP) proposent aussi des formations de très haut niveau en journalisme. En particulier, l’IEP de Lille propose un double-diplôme avec l’ESJ Lille (Ecole supérieure de journalisme de Lille), l’une des meilleures écoles de journalisme en France. Les étudiants sélectionnés reçoivent une formation “polymédia” (presse, télévision, radio, internet) et bénéficient d’un enseignement assuré par des professionnels, en histoire des médias, droit du journalisme, associé à des cours plus théoriques en sciences politiques ou en économie.
La formation des Sciences Po est idéale pour devenir journaliste, car elle permet au futur journaliste d’acquérir de nombreuses compétences pratiques, tout en renforçant sa culture générale et sa connaissance des grands enjeux contemporains.
L’école de journalisme : un bon moyen pour devenir journaliste
Intégrer une école de journalisme : l’ESJ Lille ou le CFJ (Centre de formation des journalistes) sont deux écoles de journalisme extrêmement reconnues et classées parmi les meilleures de France. Ces écoles recrutent à bac + 3, à l’issue de concours sélectifs. Chaque année, le CFJ attire plus de 1000 candidats pour environ 50 places. D’autres écoles sont aussi amenées à recruter à bac 0, comme l’ESJ Paris.
Les écoles de journalisme constituent une très bonne formation pour ceux qui souhaitent devenir journaliste. En effet, elles associent, tout comme Sciences Po, de nombreux cours théoriques visant à renforcer la culture générale des étudiants avec des enseignements pratiques. Les diplômés connaissent donc tous les secrets du métier de journaliste et ont une très large culture générale, leur permettant ainsi de bien comprendre l’actualité qu’ils décryptent.
Cependant, il faut savoir que toutes les écoles de journalisme ne bénéficient pas d’une reconnaissance officielle. Concrètement, la Commission paritaire nationale de l’emploi des journalistes (CPNEJ), une organisation constituée des syndicats de journalistes et des représentants des employeurs, reconnaît officiellement 14 formations, notamment celles du CFJ, de l’ESJ Lille, de l’Institut pratique du journalisme de Paris Dauphine. Intégrer une formation reconnue par la profession est un atout très précieux pour devenir journaliste. En effet, les diplômés de ces écoles doivent faire un stage d’un an pour accéder au titre de journaliste titulaire, contre deux pour une personne qui n’est pas diplômée d’une telle école. Toutefois, ne pas avoir suivi une école de journalisme reconnue par la profession n’est pas rédhibitoire pour être journaliste. La sélection est par ailleurs moins forte pour intégrer des écoles de ce type.
Dans tous les cas, il faut vérifier si la formation que l’on souhaite intégrer est reconnue par la profession et si elle ne l’est pas, s’assurer du sérieux d’une telle formation. En France, l’accès au journalisme n’est conditionné à aucun diplôme. Il est donc nécessaire de bien voir si la formation est de qualité, qu’elle soit reconnue par la profession ou non.
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