Ancien prépa ECS actuellement à HEC donne cours

Chaque cours commence par un rapide contrôle de cours. Il me semble en effet que l'essentiel des "blocages" scolaires sont très souvent liés à une incompréhension ou une approximation du cours. J'en ai moi-même fait les frais. C'est en rentrant au lycée qu'un professeur m'a contraint à apprendre et que j'ai pu progresser. C'est donc naturellement le premier levier à activer pour faire progresser l'élève. Ces "tests" seront pensés de manière ludique pour que l'élève ait envie d'apprendre.

En seconde place vient la confiance en soi. Un élève en difficulté manque cruellement de confiance en lui et c'est un facteur clé de son épanouissement personnel et scolaire. C'est pour cette raison qu'une reprise de copie, un tableau de progression ainsi que divers outils de suivi seront mis en place avec l'élève pour qu'il se sente progresser. Travailler les matières dures (au sens mathématique) est exigeant est bien souvent ingrat. Il n'est d'ailleurs pas rare que les progrès arrivent plus tard qu'on le souhaitait. Pourtant, ce laps de temps est mentalement destructeur pour l'élève qui choisit parfois d'abandonner. Là entre en jeu le professeur qui doit motiver l'élève, transformer son sentiment d'injustice en envie d'avancer. Cette étape de prise d'assurance s'effectuera à chaque cours et même en dehors à distance dès lors que l'élève en ressentira le besoin.

Une fois le cours maîtrisé, place à la pratique. Au cours d'exercices - préparés en amont par l'élève pour certains, ensemble pour d'autres - l'élève acquerra la méthode qui manque à tant de lycéens et préparationnaires. Que ce soit en dissertation, en thème, en version, en mathématiques, la méthode existe mais n'est que rarement maîtrisée. C'est pourtant la clé de la réussite de tout examen/concours. Chacun des exercices permettra de voir une méthode de résolution particulière et d'approfondir les notions nécessaires à la réussite de l'élève.