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Cours en ligne sur la raison en philosophie en terminale
Cours en ligne de Philosophie en Terminale
Ce cours en ligne est consacré au chapitre de la raison du programme de philosophie en terminale. Il aborde les notions de raison en philosophie, l’utilité de la raison, les citations sur la raison. Vous trouverez aussi des exercices avec leurs corrigés pour vous préparer efficacement en vue de l’épreuve du bac en philosophie. En complément de ce cours en ligne, vous avez aussi la possibilité de bénéficier d’un accompagnement sur mesure avec un prof particulier en philosophie via Groupe Réussite.
I – Introduction à la notion de raison en philosophie
Définition de la raison : La raison peut être définie comme une faculté de l’esprit, grâce à laquelle un homme est capable de raisonner, de formuler des idées et de comprendre le milieu qui l’entoure.
Définition du raisonnement : Le raisonnement est une faculté de la raison qui permet d’établir des rapprochements entre deux ou plusieurs idées et d’en tirer des conclusions.
Définition de la logique : La logique peut être définie comme la faculté qu’a l’homme de raisonner de manière cohérente.
Définition des opérations de la raison : Les opérations de la raison peuvent être définies comme des raisonnements logiques établis par la raison. Figurent notamment parmi ces raisonnements logiques l’opération de déduction et l’opération d’induction.
- L’opération de déduction : La déduction peut être définie comme le fait d’avoir la faculté de démontrer qu’un fait est la conséquence d’un autre ou de plusieurs autres faits.
- L’opération d’induction ou inférence : L’induction, à la différence de la déduction, peut être définie comme le fait d’avoir la faculté de démontrer qu’un fait ou plusieurs sont la cause d’un autre fait.
Définition de la folie : La folie est traditionnellement définie comme le fait pour l’homme d’avoir perdu la raison en adoptant un comportement qui n’est pas compréhensible et qui n’est pas en accord avec le milieu dans lequel il vit.
Définition de la déraison : La déraison peut être définie comme le fait pour un individu d’être raisonné, mais de ne pas en faire usage, notamment en adoptant un comportement qui s’y oppose.
Définition de la sensation : La sensation est la faculté qu’a l’homme de pouvoir, par l’intermédiaire de son corps et de ses sens, identifier ce qui l’affecte (sensation de froid, de colère, de tristesse, etc.)

II – Les termes clés de la notion de raison en philosophie
- Raisonnement
- Raisonnement cohérent
- Faculté de connaître
- Principe de non-contradiction
- Délibérer
- Modération des passions et des désirs
- Bon usage de la raison
- Jugements de la raison se fondant sur l’expérience et jugements de la raison ne se fondant par sur l’expérience
- Erreur
- Illusion de la raison
- Impressions de sensations et impressions de réflexion
III – Leçons sur le raison : A quoi sert la raison ?
(Introduction) (Définition des termes du sujet) (Définition du premier terme) La raison peut être définie comme une faculté de l’esprit grâce à laquelle l’homme est capable de raisonner, de formuler des idées et de comprendre les hommes et le milieu qui l’entoure. Traditionnellement, la raison s’oppose au corps, car le corps, à la différence de la raison, est un instrument qui lui permet de se nourrir, de marcher, de fonctionner, c’est-à-dire de se maintenir en vie. (Définition du seconde terme du sujet) Affirmer qu’une chose sert à quelque chose consiste à lui reconnaître une utilité. (Mise en relation des termes) La raison est, à ce titre, un instrument qui sert aux hommes qui en disposent, à l’inverse de ceux atteints de folie, et, à la différence de ceux qui adoptent un comportement s’y opposant contraire (déraison). (Annonce de la problématique) Dès lors cependant, qu’à la différence du corps, la raison ne permet de répondre à aucun des besoins essentiels de l’homme, en quoi la faculté de raisonner ou de formuler peut-elle avoir encore une quelconque utilité pour l’homme ?La technique moderne représente un danger pour l’homme
I. (Première idée) La raison est très utile à l’homme
A. (Argument premier) La raison nous permet de comprendre le monde qui nous entoure
(Développement de l’argument) La raison permet à l’homme de comprendre le monde et les hommes qui l’entourent. Le raisonnement, qui est une faculté de la raison, permet d’expliquer pourquoi les choses qui nous entourent sont telles qu’elles sont. (Référence philosophique) David Hume (Enquête sur l’entendement humain) montre, à ce titre, que la raison est essentielle à la compréhension de notre environnement. C’est notamment grâce aux opérations de la raison, la déduction, qu’il nous est possible de comprendre notre environnement. L’opération de déduction est une opération réalisée par la raison grâce à laquelle il est possible, à partir d’un événement dont on connaît les causes, d’en tirer les conséquences. (Exemple) Hume prend l’exemple du coucher du soleil. La faculté que les hommes ont à pouvoir raisonner permet de déduire que le soleil se couche à l’Ouest. En effet, notre esprit effectue une opération de déduction : en constatant que le soleil se lève à l’Est, nous en déduisons qu’il se couche à l’Ouest. C’est donc parce qu’il se lève à l’Est qu’il se couche à l’Ouest. (Conclusion du raisonnement) Ainsi, la raison est cette faculté de raisonnement qui permet, notamment, d’établir des liens de cause à effet entre plusieurs événements et, ainsi, de les comprendre.
B. (Argument second) La raison permet de connaitre
(Développement de l’argument) Grâce à notre raison, il nous est possible de connaître le monde qui nous entoure. Connaître, c’est observer une chose, effectuer un raisonnement à partir des observations que nous avons faites sur la chose, et en tirer des conclusions. Or, afin que les raisonnements soient valides et la connaissance possible, les raisonnements que nous formulons à partir des observations que nous faisons sur les choses doivent être cohérents. Un raisonnement cohérent repose sur le principe de non-contradiction. (Référence philosophique) Aristote, à ce titre, affirme (Métaphysique) que le principe de non-contradiction est un principe qui permet de formuler des raisonnements cohérents. Un raisonnement cohérent, selon le principe de non-contradiction, est un raisonnement qui ne peut dire, en même temps, une chose et son contraire. (Exemple) Par exemple, dans le cas où nous affirmons que le soleil se couche à l’Ouest, nous ne pouvons affirmer, au même moment, que celui-ci se couche à l’Est. Autrement, nous nous contredirions, c’est-à-dire que nous affirmerions, en même temps, une chose et son contraire. Or si nous choisissons d’affirmer une chose (ce qu’elle est), c’est parce que nous l’avons choisi, et qu’ainsi, nous ne voulons pas affirmer son contraire (ce qu’elle n’est pas). Grâce au principe de non-contradiction, il est possible aux hommes de mener des raisonnements cohérents sur le monde qu’ils observent et de tirer, de ces raisonnements, des conclusions cohérentes sur ce même monde. (Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la raison est une faculté de notre esprit qui nous permet de mener des raisonnements cohérents et de connaître le monde qui nous entoure.

C. (Argument troisième) La raison permet de maîtriser nos passions et nos désirs
(Développement de l’argument) L’homme est mû par des désirs et des passions qu’il ne peut maîtriser que grâce à sa raison. Les passions peuvent être définies comme des sentiments intenses et incontrôlés qui nous poussent à agir dans le but de les satisfaire. Le désir, quant à lui, peut être défini comme une quête que nous entreprenons en vue de nous satisfaire et de nous donner du plaisir. La raison nous permet, lorsque nous sommes agités par un désir ou des passions intenses, de délibérer, c’est-à-dire d’entretenir un dialogue intérieur et de mesurer le poids des actions que nous serions prêts à entreprendre.
(Référence philosophique) Descartes (Correspondances avec Élisabeth) insiste particulièrement sur le fait que les passions et désirs des hommes, sans l’action de la raison, ne seraient pas modérés. En effet, selon ce dernier, les passions et désirs, parce qu’ils ont pour objet de nous satisfaire, nous porteraient à croire que leur satisfaction nous procurerait du bien. La raison, dès lors qu’elle a la faculté d’évaluer le bon du moins bon, est à même de nous diriger vers le bon et de modérer nos passions.
(Exemple littéraire) Par exemple, dans Amok de Stefan Zweig, le personnage principal du roman s’éprend de passion pour une Anglaise, épouse d’un marchand hollandais, jusqu’à sacrifier sa carrière ainsi que sa retraite pour satisfaire les dernières volontés de cette femme. Au regard des dernières volontés de cette femme, les sacrifices du médecin épris de passion sont bien trop extrêmes et irraisonnés, jusqu’à entraîner des conséquences qui sont, pour lui, néfastes.
(Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la raison, en évaluant et jugeant du bon et du mauvais, nous permet d’agir sur nos passions et nos désirs.
(Transition) (Conclusion de la première partie) À la différence du corps, que les animaux possèdent également, la raison est seule, pour l’homme, un outil dont il peut faire usage afin de discriminer le bon du mauvais, de comprendre et de connaître le milieu et les hommes qui l’entourent.
(Nouvelle problématisation) Cependant, si la raison peut être pour l’homme un outil lui permettant de mieux appréhender le monde et d’agir en adéquation avec celui-ci, la raison est définie comme une faculté de l’esprit, indépendante du corps. Cette indépendance du corps et de la raison s’avère problématique dès lors que l’homme ne peut être réduit à cette faculté de l’esprit dont il dispose.
(Référence littéraire) Par exemple, dans Le Parfum de Patrick Süskind, Grenouille, le personnage principal, a la faculté exceptionnelle, grâce à son odorat, de composer des parfums grâce aux odeurs qui l’entourent. La raison peut-elle toujours être, pour l’homme, un outil dont il peut faire efficacement usage, dès lors qu’elle n’est en elle-même qu’une simple faculté de l’esprit ?
II. (Seconde idée) Notre seule raison est insuffisante
A. (Argument premier) Nous n’en faisons pas suffisamment bon usage
(Développement de l’argument) Tous les hommes sont doués de raison, mais tous n’en font pas suffisamment un bon usage. Il se peut, en effet, que nous ne nous servions pas toujours de notre raison et que celle-ci ne nous serve pas toujours dans nos actions. Il arrive que, bien souvent, ce soient d’autres traits de caractère qui déterminent nos actions.
(Référence philosophique) C’est ce que montre particulièrement Hobbes dans le Léviathan. Celui-ci met en lumière la différence existante entre l’usage de la raison dans les domaines scientifiques, où celle-ci est nécessaire, et son usage dans la vie courante, où les hommes en font bien moins usage.
(Exemple philosophique) Hobbes prend pour exemple la politique. Dans le milieu politique, où il existe une hiérarchie entre les gouvernants et les gouvernés, ce n’est pas la raison qui guide les hommes dans leurs actions, mais l’expérience, la fortune des uns ou encore la malchance des autres. La raison n’est donc pas forcément ce qui pousse les hommes à agir, et d’autres facteurs, tels que les circonstances extérieures ou encore les caractères, sont à l’origine de nos comportements. User de sa raison au cours de sa vie et au travers de nos actions serait une activité qui ne serait exercée que par peu.
(Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la raison, bien qu’elle est présente en chacun de nous, ne guide pas toujours nos actions, qui restent majoritairement déterminées par d’autres facteurs.
B. (Argument second) La raison peut être source d’erreur
(Développement de l’argument) La raison, au lieu de nous conduire vers la connaissance grâce notamment à notre faculté de raisonnement, nous conduirait vers l’erreur. L’erreur peut être définie comme le fait de formuler une opinion ou un jugement erroné sur une chose. Or, les jugements que nous formulons grâce à notre raison ne sont pas toujours vrais, mais peuvent s’avérer erronés.
(Référence philosophique) Kant, dans la Critique de la Raison Pure, montre avec précision que parce que nous formulons des jugements par le biais de notre raison, nous croyons que ceux-ci sont justes, alors que certains de ces jugements sont sources d’erreur et ne nous permettent pas d’accéder à la connaissance. Doivent être distingués les jugements qui se fondent sur l’expérience de ceux qui ne se fondent pas sur l’expérience (métaphysique). La métaphysique peut être définie comme une discipline qui porte sur des choses qui sont au-delà de la réalité physique. Elle propose, ainsi, de connaître les choses indépendamment de l’expérience que nous en avons et grâce aux seules facultés de notre raison. Or, la raison a besoin de l’expérience pour accéder à la connaissance des choses, car notre connaissance porte sur des choses qui font partie de notre réalité physique. Notre raison, si elle a cette faculté à pouvoir formuler des jugements sur les choses qui nous entourent, est une source d’illusion dès lors que les jugements que nous formulons sont trop éloignés de notre réalité physique, de telle sorte que, lorsque nous les formulons, ils en font abstraction.
(Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la raison, à elle seule, est une source d’erreur qui ne conduit pas à la connaissance dès lors que l’homme en fait un usage excessif qui le détourne de l’expérience.
C. (Argument troisième) La raison a besoin de nos sens pour fonctionner
(Développement de l’argument) La raison est définie comme une faculté de l’esprit. En tant que faculté de l’esprit, elle n’est pas une faculté du corps. Le corps peut être défini comme l’ensemble des fonctions sensibles et motrices d’un être vivant qui lui permet de vivre et de se reproduire. Tandis que l’esprit permettrait à l’homme de raisonner, le corps, quant à lui, permettrait à l’homme de se maintenir en vie. Or, sans le corps, la raison n’est rien. En effet, le corps est un appareil qui nous permet de sentir, grâce à nos cinq sens (la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher, le goût), le monde et les choses qui nous entourent. C’est parce que nous pouvons sentir qu’il nous est possible d’avoir une impression vive des choses qui nous entourent, et donc de nous les représenter.
(Référence philosophique) David Hume (Enquête sur l’entendement) distingue les impressions vives qui nous frappent directement lorsque nous voyons/touchons/goûtons/entendons/sentons une chose des impressions moins vives que nous avons de la chose. Les secondes, à la différence des premières qui sont des impressions de sensations, sont des impressions de réflexion. En effet, en premier lieu, ce sont nos sens qui sont frappés par les objets qui nous entourent (premières impressions). Ces impressions, par la suite, s’impriment en nous et frappent notre esprit. Moins vives, elles nous permettent de nous représenter l’objet, c’est-à-dire de rendre présent à notre esprit l’objet que nous venons juste de percevoir par nos sens. Cette représentation de l’objet à l’esprit est une idée, c’est-à-dire, une impression moins vive que celle qui a en premier lieu frappé nos sens.
(Exemple philosophique) Hume prend pour exemple le centaure, animal mi-homme mi-cheval qui n’a jamais existé dans la réalité. L’idée du centaure existe dans notre esprit parce qu’il est l’association de deux idées ou impressions moins vives : la première est celle d’un homme, la seconde est celle d’un cheval. Dès lors, toute idée, quand bien même elle est formulée par la raison, ne peut exister sans l’entremise de notre corps, et plus particulièrement de nos sens, qui sont impressionnés par les objets qu’ils perçoivent.
(Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la raison ne peut fonctionner sans l’aide du corps qui la sert.
IV – Citations sur la notion de raison en philosophie
- « Tout bien et tout mal réside dans la sensation. » Épicure, Lettre à Ménécée, IIIᵉ s. av. J.-C.
- « Il n’y a point d’objet qui manifeste, par ses qualités sensibles, les causes qui l’ont produit, ni les effets qu’il produira à son tour. » Hume, Enquête sur l’entendement humain, 1748
- « La raison ne voit que ce qu’elle produit elle-même. » Kant, Critique de la Raison pure
- « C’est aux principes rationnels qu’il revient de commander. » Platon, La République
V – Pour aller plus loin sur la raison en philosophie…
- Aristote, La Physique, P. Pellegrin (éd.), Paris, Garnier-Flammarion, 2000
- Aristote, La Métaphysique
- Descartes, Discours de la méthode
- Leibniz, Nouveaux Essais sur l’entendement humain
- Husserl, Les Recherches logiques
- Spinoza, Éthique
- Platon, Théétète
VI – Vers le bac : Les grands axes de la notion de raison
- La raison et ses limites : “La raison peut-elle rendre raison de tout ?” “Peut-on être sûr d’avoir raison ?” “Est-il raisonnable de vouloir tout démontrer ? ”
- Raison & Désir & passion : “Le désir nous rend-il déraisonnable ?” “N’y a-t-il que des passions déraisonnables ? ”
- Raison & expérience : “L’expérience rend-elle raisonnable ?” “La raison est-elle plus fiable que l’expérience ? ”
- Raison & croyance : “Croire, est-ce renoncer à la raison ?” “La raison s’oppose-t-elle à toute forme de croyance ? ”
VII – Exercice de dissertation sur la raison en philosophie
Consigne : À partir de la problématique suivante :
- Formuler deux idées permettant de répondre à la problématique
- Soutenir chaque idée par deux arguments personnels
- Appuyer chaque argument personnel par une référence philosophique
Sujet : « Peut-on être trop raisonnable ? »
Problématique : La raison est-elle une vertu qu’il faut cultiver sans limites, ou existe-t-il un point où l’excès de rationalité devient un frein à l’épanouissement humain ?
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VIII – Correction exercice sur la raison en philosophie
Idée 1 : I.) Il est nécessaire de cultiver la raison
- Argument personnel 1: A) (Car) La raison nous permet d’être heureux
- Référence philosophique : Le Manuel D’Epictete, Epictete : Faire usage de sa raison nous permet de faire la distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous, et d’éviter d’être malheureux lorsque des événements qui ne dépendent pas de nous nous affectent.
- Argument personnel 2 :B) (Car) La raison nous permet d’être tempéré
- Référence philosophique : Platon, La République : La raison permet de modérer les désirs et d’harmoniser l’âme (tempérance)
Idée 2 : II.) Cet excès de raison peut cependant devenir un frein à notre épanouissement
- Argument personnel 1 : A) (Car) La raison nous éloigne de notre sensibilité
- Référence philosophique : Pascal, Les pensées : L’usage de la raison est insuffisant et nous avons également besoin de notre « esprit de finesse », qui se définit par l’usage de notre sensibilité et de notre intuition, afin de comprendre le monde qui nous entoure.
- Argument personnel 2 : B) (Car) La raison peut nous empêcher d’agir
- Référence philosophique : Kierkegaard, Le Concept d’Angoisse : Faire un usage excessif de la raison peut être paralysant face aux choix que nous devons faire et vont affecter notre existence (choix existentiels
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