Chapitres Philosophie en Terminale
Cours en ligne sur la science en philosophie en terminale
Cours en ligne de Philosophie en Terminale
Ce cours en ligne porte sur le chapitre de la science du programme de philosophie en terminale. Il aborde les notions de science en philosophie, les différentes sortes de sciences, les citations et grands axes sur la notion de science en philosophie. Vous avez aussi des exercices avec leurs corrigés pour vous préparer efficacement à l’épreuve du bac en philosophie. En complément de ce cours en ligne, vous avez aussi la possibilité de bénéficier d’un accompagnement sur mesure avec des cours de philosophie via Groupe Réussite.
I – Introduction à la notion de science en philosophie
- Définition de la science : De manière générale, la science peut être définie comme l’ensemble des connaissances humaines régies par des lois et qui peuvent être prouvées par les faits sur lesquels elles reposent.
- Définition de la science d’un individu : La science d’un individu peut être définie, quant à elle, comme l’ensemble des connaissances qu’un individu possède, que celui-ci a acquises par l’expérience, par la réflexion ou par l’étude.
- Définition d’une science : À la différence de la science, une science peut être définie comme l’ensemble des connaissances pratiques et théoriques acquises sur un domaine ou un objet particulier.
II – Les termes clés de la notion de science en philosophie
- Sciences formelles et sciences du réel
- Sciences expérimentales et sciences humaines
- Objectivité et subjectivité
- Loi universelle
- Théories vérifiables par l’expérience
- Empirique
- Hypothèse
- Induction
- Vérité scientifique
- État scientifique
- Singularité
- Vérité intérieure
CONFORT DES COURS A DOMICILE EN PHILO
Une interaction directe entre le prof et l'élève
Points méthodes réguliers
Avis Google France ★★★★★ 4,9 sur 5
III – Focus : Les différentes sortes de sciences en philosophie
Traditionnellement, dans les sciences, l’on distingue deux grandes catégories de sciences : les sciences du réel et les sciences formelles.
Les sciences formelles
Les sciences formelles, telles que les mathématiques et la logique, sont des sciences qui sont établies sans, en les établissant, que l’homme ait recours à l’expérience. Elles s’appuient sur des axiomes, c’est-à-dire des principes intangibles à partir desquels sont élaborées les démonstrations scientifiques, et des déductions.
Les sciences du réel
Parmi les sciences du réel se trouvent les sciences expérimentales ou empiriques et les sciences humaines.
Les sciences expérimentales ou empiriques, telles que la physique, la chimie, la biologie, la médecine, les sciences de la nature, sont des sciences qui, pour être établies, ont besoin d’être expérimentées. Elles décrivent les relations entre les phénomènes physiques et leur validité doit être attestée par l’expérience (contrôles expérimentaux).
Les sciences humaines, telles que la psychologie, la philosophie, l’histoire, la linguistique, la politique, etc., ont pour objet d’étudier l’homme.

IV – Leçon sur la notion de science : La science a-t-elle le monopole de la vérité ?
(Introduction)(Définition des termes)(Définition du premier terme du sujet) De manière générale, la science peut être définie comme l’ensemble des connaissances humaines régies par des lois, une méthode rigoureuse et qui peuvent être prouvées par les faits sur lesquels elles reposent. (Définition du deuxième terme du sujet) La vérité, quant à elle, peut être définie comme la conformité d’un énoncé sur les choses à ce qu’elles sont dans la réalité. (Définition du troisième terme du sujet) Un monopole peut être défini comme le fait, pour un acteur, d’être le seul acteur reconnu dans le domaine dans lequel il exerce ainsi que de mettre tous les moyens en œuvre pour le rester. (Mise en relation des termes) La science est donc une discipline rigoureuse qui possède un ensemble de méthodes lui permettant d’élaborer des lois générales qui sont confirmées soit par l’expérience dont elles dépendent, soit par les faits sur lesquels elles reposent. Dans le même temps, tous les domaines de notre vie ne peuvent pas être régis par la science (l’art, la foi, la morale, l’éthique, etc.). (Annonce de la problématique) Dès lors que tous les domaines de notre vie ne peuvent pas être régis par la science, la science peut-elle encore prétendre pouvoir être la seule à pouvoir détenir la vérité ? La vérité n’est-elle qu’une vérité scientifique ?
- I. (Première idée) La science permet d’accéder à la vérité
- A. (Argument premier) La science est objective et non subjective
(Développement de l’argument) Parce que la science est objective, et non subjective, elle nous permet de connaître les choses réellement et telles qu’elles sont, indépendamment de la manière dont nous les percevons à titre personnel. L’objectivité peut être définie comme le fait d’adopter un point de vue neutre sur un sujet ou une chose indépendamment de notre point de vue personnel et de nos expériences. L’objectivité s’oppose à la subjectivité, qui peut être définie, quant à elle, comme le fait d’avoir sur un sujet ou sur une chose un point de vue uniquement personnel, façonné par nos expériences et notre sensibilité. La science est objective. (Référence sociologique) Selon Durkheim (Les règles de la méthode sociologique), c’est précisément l’une des missions premières de la science. Cette mission que doit poursuivre la science est celle de l’objectivité. Selon celui-ci, l’objectivité consiste à ne plus se conformer aux préjugés traditionnels qui s’inscrivent dans nos habitudes. (Exemple) Durkheim prend notamment l’exemple du suicide. Selon le sens commun, le suicide est considéré comme un acte uniquement individuel qui fait suite à la détresse dans laquelle se trouve une personne. Or, le suicide n’est pas purement individuel, la sociologie montrant à ce titre que celui-ci peut être dû à des causes sociales objectives (par ex. le manque d’intégration sociale, les crises économiques et sociales, etc.). (Conclusion de l’argumentation) Ainsi, c’est parce que la science est objective que celle-ci permet de connaître réellement les choses.
-
- B. (Argument second) La science repose sur des lois universelles et des théories scientifiques établies par l’observation de faits tirés de l’expérience
(Développement de l’argument) Les lois universelles établies par la science reposent sur des faits tirés de l’expérience qui permettent de prouver leur validité. Une loi universelle peut être définie comme une loi qui s’applique indépendamment des particularités des faits sur lesquels elle repose. Lorsque la science ne repose pas sur des lois universelles, elle repose sur des théories vérifiables par l’expérience. Les théories vérifiables par l’expérience sont des théories qui peuvent être vérifiées par l’observation ou l’expérimentation. (Argumentation personnelle) En premier lieu, donc, les théories et lois universelles sont directement établies à partir de l’observation de faits tirés de l’expérience elle-même : elles sont des théories et des lois empiriques. À partir de l’observation des faits directement tirés de l’expérience, les scientifiques vont formuler des hypothèses, c’est-à-dire proposer des explications possibles. De la formulation d’hypothèses suit l’expérimentation. Dans ce cas-là, les scientifiques conçoivent des expériences pour tester leur hypothèse. Enfin, si ces hypothèses sont confirmées grâce aux résultats des expérimentations, elles sont acceptées et peuvent devenir des lois ou théories scientifiques. Le procédé sur lequel reposent ces lois et ces théories est celui de l’induction. Le procédé de l’induction est un procédé qui permet de formuler un énoncé général à partir d’un ensemble d’énoncés particuliers. Ainsi, à partir de l’observation des faits tirés de l’expérience (ensemble d’énoncés particuliers), sont induites des théories et lois universelles (énoncé général). (Exemple)Par exemple, la loi de la relativité restreinte d’Albert Einstein (1905), selon laquelle l’énergie et la masse sont équivalentes et peuvent être converties l’une en l’autre (E=mc^2), peut être vérifiée par l’expérience, notamment dans les accélérateurs de particules, où les électrons et les neutrons nécessitent une énergie croissante pour accélérer à des vitesses proches de la lumière. (Conclusion de l’argumentation) Ainsi, la science repose sur une méthode rigoureuse, dont les lois et théories peuvent être vérifiées directement par l’expérience.
- II. (Seconde idée) Mais la science prétendrait que la vérité lui serait propre
- A. (Argument premier) Une prétention de la science à la vérité et à la connaissance absolue
(Développement de l’argument) Étant objective et reposant sur une méthode rigoureuse, le risque est celui que la science s’accapare l’accès à la vérité. C’est notamment le cas du scientisme, qui est une doctrine qui considère que la connaissance scientifique est à l’origine de toutes les autres connaissances possibles et prétend également pouvoir résoudre tous les problèmes possibles, tels que les problèmes philosophiques, les problèmes sociaux, les problèmes politiques, etc. (Référence philosophique)Auguste Comte, dans son ouvrage Cours de philosophie positive, affirme que l’humanité passe par trois états : un état, d’abord, théologique, puis métaphysique, et enfin scientifique. L’état scientifique, selon Comte, est le dernier stade de l’évolution intellectuelle de l’humanité. Dans cet état, la science repose uniquement sur l’observation, l’expérience et les lois scientifiques. La science est la seule méthode valable qui peut expliquer les phénomènes naturels et les phénomènes sociaux. En faisant de la science la seule méthode valable qui peut expliquer les phénomènes naturels et sociaux, Auguste Comte affirme ainsi que tous les phénomènes, y compris les phénomènes humains, peuvent être mesurés et évalués selon des méthodes scientifiques. Or, certains phénomènes échappent à la science. (Exemple) Bergson, dans L’Évolution créatrice, prend l’exemple du temps en montrant que celui-ci, bien qu’il puisse être mesuré (en heures, minutes, secondes, etc.), il n’est aussi pas mesurable, chacun l’éprouvant à sa manière (« ne pas voir passer le temps »). (Conclusion de l’argumentation) C’est pourquoi la science n’est pas le seul moyen de connaître les choses réellement.
-
- B. (Argument second) Focus : La science et la volonté de vérité (Nietzsche, Le Gai Savoir)
La science est considérée comme neutre car elle repose sur une méthode rigoureuse et objective, visant à décrire et expliquer le monde sans parti pris ni influence.
-
-
- 1. La science n’est pas neutre
-
Or, Nietzsche, dans Le Gai Savoir, montre justement que, contrairement à ce que l’on peut croire, la science n’est pas neutre. Au contraire, celle-ci repose sur une conviction. Une conviction peut être définie comme le fait de prendre parti pour quelque chose auquel on croit fermement.
Nietzsche montre à ce titre que la science repose sur la croyance selon laquelle la vérité importerait plus que toute autre chose. Cette croyance selon laquelle la vérité importerait plus qu’autre chose repose sur le fait de « ne pas vouloir être trompé » et sur la croyance selon laquelle la vérité vaudrait mieux que l’illusion.
Montrer que la science n’est pas neutre, mais qu’elle résulte, au contraire, d’une conviction profonde selon laquelle nous voulons absolument connaître la vérité, en la préférant à l’illusion, permet à Nietzsche de montrer que la science n’est pas une science rationnelle, telle qu’on le prétend, mais que celle-ci repose sur des croyances profondes.
-
-
- 2. La volonté de vérité repose sur des croyances profondes
-
Les croyances profondes sur lesquelles elle repose sont héritées de la métaphysique et du christianisme. Par exemple, une croyance héritée de la métaphysique, particulièrement de Platon, est celle selon laquelle la vérité serait un « bien en soi », immuable et auquel il ne nous serait pas possible d’accéder par l’intermédiaire de nos sens. Selon l’auteur, il s’agit bien d’une croyance, car aucune explication n’a permis d’expliquer et de prouver « pourquoi » la vérité est un bien en soi. Ainsi, selon Nietzsche, la science ne serait pas neutre et rationnelle, mais reposerait sur une foi en la vérité qui n’a jamais été remise en question.
- III. (Troisième idée) Toute vérité n’est pas scientifique
- A. (Argument premier) L’art permet de dévoiler la vérité
(Développement de l’argument) L’art est une discipline qui permet aux hommes d’exprimer ce qu’ils ressentent, ce qu’ils perçoivent, pensent ou encore imaginent par le biais de supports et d’outils. C’est grâce à l’art qu’il est donc possible aux hommes de s’exprimer et de partager leurs œuvres aux autres. Il devient le moyen par lequel il nous est possible non seulement de nous exprimer, mais aussi de nous reconnaître dans les œuvres des artistes qui parviennent à exprimer ce que l’on ressent ou ce qui se recèle au sein de notre imagination. (Référence philosophique) Bergson (Le Rire ; La Pensée et le Mouvement) va plus loin, en montrant que l’art permet de révéler la singularité, c’est-à-dire le caractère unique et spécifique, de la réalité qui nous entoure (émotions, pensées, objets). En effet, notre quotidien nous montre une réalité voilée, car nous ne voyons la réalité que sous un angle pratique. (Exemple) Bergson prend l’exemple du peintre impressionniste. Celui-ci ne produit pas la nature telle que nous la voyons habituellement. Au contraire, il met en évidence des jeux de lumières, des nuances de couleurs que nous ne percevons pas au quotidien. (Conclusion de l’argumentation) L’art dévoile ainsi une réalité plus profonde du monde qui nous entoure et que nous ne pouvons pas percevoir dans notre quotidien.

-
- B. (Argument second) La vérité est aussi intérieure
(Développement de l’argument) La vérité n’est pas qu’une vérité scientifique, qui est découverte grâce à une méthode rigoureuse et une perception objective des choses qui nous entourent. La vérité est aussi intérieure. Une vérité intérieure peut être définie comme une vérité qui ne dépend pas du monde extérieur ou de faits empiriques, mais qui est accessible par la connaissance de soi, l’introspection, la conscience, le vécu, etc. (Référence philosophique) Dans Post-scriptum, Kierkegaard affirme que la vérité la plus importante n’est pas la vérité objective et impersonnelle. Selon lui, en effet, c’est la manière dont un individu vit la vérité qui importe le plus. L’auteur accorde une place fondamentale à la subjectivité et au lien que chacun entretient avec celle-ci. (Exemple)Kierkegaard (Crainte et tremblements) prend l’exemple d’Abraham qui accepte d’obéir à Dieu en sacrifiant son fils. Objectivement, l’ordre reçu par Abraham est absurde, car il consiste à donner la mort à un être cher sans justification ni explication, et il est contraire à la morale, car il consiste à faire du mal à autrui. Or, nous montre l’auteur, si Abraham accepte de sacrifier son fils, c’est parce qu’il a foi en Dieu. En sacrifiant son fils, il montre que la foi qu’il porte en Dieu n’est pas une simple idée, mais qu’il la vit et la met à l’épreuve au travers de son existence. (Conclusion de l’argumentation) La vérité n’est pas qu’objective ; elle est aussi subjective et propre à la manière dont chacun la vit.
V – Citations sur la notion de science en philosophie
- « Une théorie qui n’est réfutable par aucun événement qui puisse se concevoir est dépourvue de caractère scientifique. Pour les théories, l’irréfutabilité n’est pas (comme on l’imagine souvent) une vertu mais un défaut », Karl Popper, Conjonctures et Réfutations
- « Le commencement de toutes les sciences, c’est l’étonnement de ce que les choses sont ce qu’elles sont » Aristote, Métaphysique
- « Une expérience scientifique est une expérience qui contredit l’expérience commune », Bachelard, La Formation de l’esprit scientifique
- « Toute science est connaissance certaine et évidente », Descartes, Règles pour la direction de l’esprit
- « Savoir pour prévoir, afin de pouvoir », Auguste Comte, Cours de philosophie positive
VI – Pour aller plus loin …
- Aristote, Physique
- Aristote, Métaphysique (IVe siècle av. J.-C.)
- Descartes, Discours de la méthode
- Henri Poincaré, La Science et l’Hypothèse
- Platon, Timée
- Thomas Kuhn, La Structure des révolutions scientifiques
- Pierre Duhem, La Théorie physique : son objet et sa structure
VII – Vers le bac : Les grands axes de la notion de science
- Science & Croyance : “La science peut-elle produire des croyances ?” “La science est-elle une croyance injustifiée ?”
- La science et ses objets : “L’esprit peut-il être l’objet de la science ? L’histoire peut-elle être une science ?” “La politique est-elle une science ou un art ?”
- Science & Vérité : “La science a-t-elle le monopole de la vérité ?” “La science relève-t-elle du seul désir de vérité ?”
VIII – Exercice Dissertation sur la science en philosophie
Consigne : À partir de la problématique suivante :
- Formuler deux idées permettant de répondre à la question ;
- Soutenir chacune des idées par la formulation de deux arguments personnels ;
- Appuyer chaque argument personnel par une référence philosophique ;
- Prouver chaque argument personnel par la mobilisation d’un exemple.
Sujet : Science et religion s’opposent-elles ?
Problématique : « La science et religion sont condamnées à s’affronter en raison de méthodes et de principes inconciliables, ou si elles peuvent, malgré leurs différences, entretenir un dialogue et répondre à des aspirations complémentaires de l’humanité ?»
IX – Correction exercice sur la science en philosophie
- Idée 1 : I.) La science et la religion s’opposent radicalement
- Argument personnel 1: A) (Car) La science et la religion reposent sur des méthodes opposées
- Référence philosophique : Karl Popper, La logique de la recherche scientifique : Karl Popper oppose la science, fondée sur la falsifiabilité, à la religion, qui repose sur des dogmes non réfutables.
- Exemple : La théorie de l’évolution de Darwin, fondée sur l’observation et la sélection naturelle, s’oppose au créationnisme, qui repose sur une interprétation littérale des textes religieux.
- Argument personnel 2 : B) (Car) La science et la religion ne reposent pas sur les mêmes principes
- Référence philosophique : Auguste Compte, Cours de philosophie positive : Auguste Comte montre, par sa loi des trois états, que la religion repose sur des causes surnaturelles tandis que la science s’appuie sur l’observation et la raison.
- Exemple : La médecine moderne, fondée sur la biologie et l’expérimentation, diffère des pratiques de guérison religieuses basées sur la prière et la foi.
- Argument personnel 1: A) (Car) La science et la religion reposent sur des méthodes opposées
- Idée 2 : II.) Cependant la science et la religion entretiennent des similitudes
- Argument personnel 1 : A) (Car) la science et la religion recherchent la vérité
- Référence philosophique : Pascal, Les pensées : L’usage de la raison est insuffisant et nous avons également besoin de notre « esprit de finesse », qui se caractérisé par l’usage de notre sensibilité et de notre intuition, afin de comprendre le monde qui nous entoure.
- Exemple : La cosmologie scientifique cherche à expliquer l’origine de l’univers par le Big Bang, tandis que les récits religieux, comme la Genèse, proposent une vérité fondée sur la création divine.
- Argument personnel 2 : B) (Car) La science et la religion font appel à notre expérience
- Référence philosophique : William James, Le Sacré et le profane : William James montre que, si la science repose sur l’observation et l’expérimentation, la religion s’appuie sur l’expérience mystique, offrant ainsi deux modes d’exploration du réel.
- Exemple : La science s’appuie sur l’expérience sensible et l’expérimentation, comme en physique avec la gravitation, tandis que la religion repose sur l’expérience mystique, comme les révélations ou les extases spirituelles.
- Argument personnel 1 : A) (Car) la science et la religion recherchent la vérité
Découvrez d’autres cours en ligne sur les différents chapitres du programme de philosophie ci-dessous :
