Comment analyser l’incipit d’un roman ?
Étudier un incipit en 1ère - Roman au bac de français
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Les œuvres romanesques : le début d’un roman
Dans une œuvre romanesque, certaines scènes sont des passages canoniques auxquels on ne peut pas échapper. Ainsi, le début d’un roman est un attendu qu’on ne peut éviter. On peut alors décider de le traiter selon les codes conventionnels ou d’essayer une approche originale. Ces scènes sont assez faciles à analyser dès qu’on a compris les éléments qui les caractérisent.
Tout au long de l’année de terminale, vous allez découvrir de multiples notions sur le roman au bac de français. Ces notions, apprises en cours de français au lycée, sont à utiliser lors de l’analyse d’un texte romanesque au bac de français. Il convient aussi de maîtriser l’incipit, voici donc quelques éléments pour construire et comprendre un incipit.
Cependant, si vous ressentez le besoin d’un soutien supplémentaire pour approfondir ces notions et développer vos compétences en analyse de texte, envisager un prof particuliers de français peut s’avérer particulièrement bénéfique. Ces cours vous offriront l’opportunité de travailler en profondeur sur les concepts du roman et de l’incipit, tout en recevant des conseils adaptés à vos besoins spécifiques pour réussir brillamment votre épreuve de français au bac.
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Qu’est-ce qu’un incipit ?
On appelle incipit les premières pages d’un roman ou d’une nouvelle. C’est un terme issu du verbe latin incipere qui signifie “commencer”.
Il s’agit d’un passage important, car il est la porte d’entrée par laquelle le lecteur va découvrir l’œuvre écrite par l’auteur.
Les fonctions de l’incipit
L’incipit traditionnel est reconnaissable, car il doit remplir différentes fonctions.
Un pacte de lecture
La lecture de l’incipit doit d’emblée aiguiller le lecteur sur le genre ou le sous-genre de l’œuvre qu’il lit (roman, nouvelle, conte, roman policier, roman d’éducation…), mais aussi sur les choix narratifs établis par l’auteur (narrateur externe, interne, omniscient, registre de langue…)
Lire aussi : les genres narratifs en français.
Une fonction informative
Ensuite, l’incipit doit donner des informations essentielles sur le monde que l’auteur a créé et dans lequel le lecteur va évoluer tout au long de sa lecture. Ainsi, il doit présenter les personnages principaux et les relations qu’ils entretiennent les uns avec les autres (bien sûr, tous les personnages ne sont pas nécessairement présentés au moment de l’incipit) et le cadre spatio-temporel (lieu et temps). Ce dernier peut être fictif ou réaliste.
Une fonction dramatique
L’incipit doit aussi commencer à nouer une intrigue, ou du moins lancer les grandes pistes qui vont la construire. Il peut aussi être programmatique de la suite de l’histoire et annoncer par des éléments symboliques le destin du personnage principal.
Une fonction séductrice
Enfin, l’incipit doit donner envie au lecteur de lire la suite de l’histoire. Il peut donc tenter de séduire le lecteur en piquant sa curiosité, par exemple par la mise en place d’une intrigue palpitante, mais aussi par une entrée en matière dynamique.
Lire aussi : la fonction dramatique.
Les différents types d’incipit
On peut distinguer 4 types d’incipit :
L’incipit statique
Il y a peu d’action dans cet incipit, qui favorise plutôt la description. Il commence donc par peindre un décor avec précision, par décrire un contexte historique ou social ou encore par faire le portrait d’un personnage. Il est assez courant dans les récits réalistes.
L’incipit progressif
Cet incipit donne quelques informations, mais il ne répond pas à toutes les questions du lecteur, ce qui peut créer un certain suspens.
L’incipit dynamique (in médias res)
Cet incipit commence au milieu d’une action (in médias res : littéralement “au milieu des choses”). Il bouscule le lecteur car ce dernier doit prendre l’histoire en route alors que l’incipit ne lui donne aucune information directe sur les personnages ou le contexte.
L’incipit suspensif
Il donne très peu d’informations et ne rentre pas dans l’action. Il a tendance à dérouter le lecteur.
Analyser un incipit en français
Pour analyser un incipit, il s’agit donc de se demander si ce dernier répond aux 4 fonctions de l’incipit traditionnel, puis d’identifier s’il se rapproche d’un des 4 types d’incipit.
Si l’incipit remplit les fonctions attendues, il s’agit d’un incipit traditionnel et votre commentaire doit reprendre l’analyse de ces fonctions. Il se rapprochera sûrement d’un incipit descriptif ou dynamique. Si ces fonctions ne sont pas remplies, alors votre commentaire devra mettre l’accent sur l’originalité de l’incipit. Il s’agira sûrement d’un incipit progressif ou suspensif.
La problématique peut donc souvent se formuler comme telle : en quoi s’agit-il d’un incipit traditionnel / original ?
Un incipit traditionnel
Exemple : Incipit de Bel-Ami, Guy de Maupassant (1885)
Georges Duroy est un beau garçon, ancien sous-officier, qui cherche à se faire une place dans la société parisienne. En quête de fortune, il parviendra à gravir les échelons de la société notamment grâce aux femmes qu’il séduit.
Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant.
Comme il portait beau par nature et par pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier.
Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe.
Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche trois francs quarante pour finir le mois. Cela représentait deux dîners sans déjeuners, ou deux déjeuners sans dîners, au choix. Il réfléchit que les repas du matin étant de vingt-deux sous, au lieu de trente que coûtaient ceux du soir, il lui resterait, en se contentant des déjeuners, un franc vingt centimes de boni, ce qui représentait encore deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C’était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits ; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette.
Il marchait ainsi qu’au temps où il portait l’uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s’il venait de descendre de cheval ; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l’oreille son chapeau à haute forme assez défraîchi, et battait le pavé de son talon. Il avait l’air de toujours défier quelqu’un, les passants, les maisons, la ville entière, par chic de beau soldat tombé dans le civil.
Analyse :
Dans cet incipit, les 4 fonctions sont respectées.
Tout d’abord, l’incipit donne des informations précises sur le cadre spatio-temporel : si la date n’est pas indiquée, du moins nous savons que l’action se déroule le 28 juin dans la soirée. De même, la mention de la rue “Notre-Dame-de-Lorette” nous permet de situer l’action à Paris. Le personnage principal est également développé : nous connaissons d’emblée son nom (Georges Duroy), son physique (il porte la moustache et est joli garçon) ainsi que sa situation (il s’agit d’un ancien sous-officier servant dans le régiment de cavalerie des hussards et il a peu d’argent).
Par conséquent, l’intrigue semble se dessiner : il s’agit pour Georges Duroy de trouver un moyen de faire fortune, de s’élever dans la société, comme le montre le dernier paragraphe qui n’hésite pas à insister sur la rudesse de Georges Duroy pour se faire un chemin parmi la foule, et donc symboliquement un chemin parmi le monde : “il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route.”. En outre, l’incipit se veut programmatique du destin de Georges Duroy surnommé plus tard “bel-ami”. En effet, pour gravir les échelons de la société, l’ancien sous-officier n’hésitera pas à bousculer ceux qui lui feront de l’ombre. Cet “air de toujours défier quelqu’un” mentionné à la fin de l’extrait annonce donc son ambition. Sa réussite se fera notamment par les femmes, comme le sous-entend le troisième paragraphe qui montre à quel point bel-ami a du succès auprès de la gente. Enfin, Georges Duroy vise avant tout l’argent. C’est pourquoi l’incipit commence sur le détail de la monnaie rendue sur la pièce de cent sous, puis se poursuit sur les calculs financiers pour gérer ses maigres revenus.
Un jeune-homme qui veut réussir en montant à Paris alors qu’il n’a ni argent ni connaissance du monde est un type de roman bien particulier : il s’agit d’un roman d’éducation, assez courant au XIXème siècle. D’ailleurs, le cadre spatio-temporel précis et le nom de l’auteur nous amènent à penser que c’est également un récit réaliste, fait par un narrateur omniscient. Le pacte de lecture apparaît donc clairement.
Enfin, cet incipit est séduisant. D’une part parce que son personnage principal l’est aussi et qu’il intrigue le lecteur. On a envie de savoir ce qui va arriver à Georges Duroy. D’autre part parce que cet incipit est dynamique. En effet, le narrateur nous décrit une scène en mouvement comme en attestent les verbes d’action qui rythment le récit : “Georges Duroy sortit du restaurant” ; “il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette” ; “il avançait brutalement dans la rue”. L’incipit donne donc envie de suivre Georges Duroy pour connaître ses futures aventures.
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Un incipit original
Exemple : incipit de Jacques le Fataliste, Denis Diderot (1796)
Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils? Que vous importe ? D’où venaient-ils? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien; et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut.
LE MAÎTRE : C’est un grand mot que cela.
JACQUES : Mon capitaine ajoutait que chaque balle qui partait d’un fusil avait son billet.
LE MAÎTRE : Et il avait raison…
Après une courte pause, Jacques s’écria : « Que le diable emporte le cabaretier et son cabaret !
LE MAÎTRE : Pourquoi donner au diable son prochain ? Cela n’est pas chrétien.
JACQUES : C’est que, tandis que je m’enivre de son mauvais vin, j’oublie de mener nos chevaux à l’abreuvoir. Mon père s’en aperçoit ; il se fâche. Je hoche de la tête; il prend un bâton et m’en frotte un peu durement les épaules. Un régiment passait pour aller au camp devant Fontenoy; de dépit je m’enrôle. Nous arrivons; la bataille se donne.
LE MAÎTRE : Et tu reçois la balle à ton adresse.
JACQUES : Vous l’avez deviné ; un coup de feu au genou ; et Dieu sait les bonnes et mauvaises aventures amenées par ce coup de feu. Elles se tiennent ni plus ni moins que les chaînons d’une gourmette. Sans ce coup de feu, par exemple, je crois que je n’aurais été amoureux de ma vie, ni boiteux.
LE MAÎTRE : Tu as donc été amoureux ?
JACQUES : Si je l’ai été !
LE MAÎTRE : Et cela par un coup de feu ?
JACQUES : Par un coup de feu.
LE MAÎTRE : Tu ne m’en as jamais dit un mot.
JACQUES : Je le crois bien.
LE MAÎTRE : Et pourquoi cela ?
JACQUES : C’est que cela ne pouvait être dit ni plus tôt ni plus tard.
LE MAÎTRE : Et le moment d’apprendre ces amours est-il venu ?
JACQUES : Qui le sait ?
LE MAÎTRE : A tout hasard, commence toujours… »
Jacques commença l’histoire de ses amours. C’était l’après-dîner : il faisait un temps lourd; son maître s’endormit. La nuit les surprit au milieu des champs; les voilà fourvoyés. Voilà le maître dans une colère terrible et tombant à grands coups de fouet sur son valet, et le pauvre diable disant à chaque coup: « Celui-là était apparemment encore écrit là-haut… »
Vous voyez, lecteur, que je suis en beau chemin, et qu’il ne tiendrait qu’à moi de vous faire attendre un an, deux ans, trois ans, le récit des amours de Jacques, en le séparant de son maître et en leur faisant courir à chacun tous les hasards qu’il me plairait. Qu’est-ce qui m’empêcherait de marier le maître et de le faire cocu ? d’embarquer Jacques pour les îles ? d’y conduire son maître ? de les ramener tous les deux en France sur le même vaisseau ? Qu’il est facile de faire des contes ! Mais ils en seront quittes l’un et l’autre pour une mauvaise nuit, et vous pour ce délai.
Analyse :
Contrairement à l’incipit de Bel-Ami, le début de Jacques le fataliste de Diderot respecte beaucoup moins les fonctions attendues.
Tout d’abord, cet incipit donne peu d’informations au lecteur. Ainsi, le cadre spatio-temporel n’est pas précisé (on sait seulement que c’est “l’après-dîner”, dans “les champs » et qu’il fait “un temps lourd”) et les personnages sont peu développés : on connaît le nom de “Jacques” (et encore il s’agit d’un nom courant pour désigner un valet), mais non celui du maître qui est uniquement désigné par sa fonction hiérarchique. On apprend également quelques éléments de la vie de Jacques (qu’il a fait partie de l’armée et qu’il a été amoureux) ainsi que la philosophie qu’il a pour principe (“ tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas [est] écrit là-haut”). Plus encore, le narrateur décide sciemment de faire de la rétention d’information : “Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ?”. Ainsi Diderot déjoue explicitement les codes de l’incipit en évitant de répondre aux questions attendues d’un lecteur.
Par conséquent, l’intrigue est également floue : nous ne savons pas pourquoi Jacques et son maître chevauchent ensemble et la conversation passe du coq à l’âne. Une ébauche d’intrigue semble alors se nouer autour des amours de Jacques : “LE MAÎTRE : Et le moment d’apprendre ces amours est-il venu ? / JACQUES : Qui le sait ? / LE MAÎTRE : A tout hasard, commence toujours…”. Pour autant, le sujet est interrompu. Une fois encore, le narrateur se détourne de son rôle en interrompant le récit plutôt que de le poursuivre : “Vous voyez, lecteur, que je suis en beau chemin, et qu’il ne tiendrait qu’à moi de vous faire attendre un an, deux ans, trois ans, le récit des amours de Jacques”. Néanmoins, cette intervention permet de soulever plusieurs possibles narratifs : “Qu’est-ce qui m’empêcherait de marier le maître et de le faire cocu ? d’embarquer Jacques pour les îles ? d’y conduire son maître ?”. Le narrateur crée ainsi un certain suspens.
Enfin, le pacte de lecture n’est pas clair non plus. En effet, le récit semble débuter et se conclure comme un roman puisqu’il y a bien un narrateur qui, malgré certaines adresses à un lecteur fictif, raconte une histoire, comme l’attestent les temps du récit et l’utilisation de la troisième personne (“Jacques commença l’histoire de ses amours. C’était l’après-dîner…”). D’ailleurs, la situation d’un maître chevauchant avec son valet rappelle les romans picaresques à la manière de Don Quichotte. Toutefois, le milieu de l’extrait s’organise ensuite en dialogues, ce qui renvoie à une scène de théâtre. De plus, la hiérarchie maître/valet fait référence à la comédie, notamment lorsque le maître se met “dans une colère terrible et tombant à grands coups de fouet sur son valet”.
Bien que le début de Jacques le fataliste ne respecte pas les codes de l’incipit, il n’en est pas moins séduisant. C’est justement cette originalité qui pique la curiosité du lecteur, d’autant plus avec ce narrateur peu conventionnel qui retient des informations ou crée du suspens, nous donnant davantage envie de savoir la suite des aventures de Jacques et son maître.
Exercice sur l’incipit
Consigne de l’exercice : lisez cet incipit. De quel type d’incipit s’agit-il ? Justifiez
La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches, avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s’étendent sur la pente d’une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications, bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.
Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c’est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids d’octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois ; c’est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants, plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à bois qui ont enrichi cette petite ville. C’est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse, que l’on doit l’aisance générale qui, depuis la chute de Napoléon, a fait rebâtir les façades de presque toutes les maisons de Verrières.
Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830)
Correction de l’exercice sur l’incipit
Consigne de l’exercice : lisez cet incipit. De quel type d’incipit s’agit-il ? Justifiez
Cet incipit du Rouge et du Noir de Stendhal est un bel exemple d’incipit statique. En effet, celui-ci ne commence par aucune action, mais bien par la description de la ville de Verrière, dans laquelle se passe le début du roman. On a donc une situation géographique extrêmement précise, ainsi que l’explication du contexte économique de la ville. Ce début de roman laisse également sous-entendre que le récit se déroule après la défaite de Napoléon. En outre, il faudra attendre plusieurs paragraphes pour arriver à la présentation d’un personnage : le maire de Verrière, M. de Rênal.
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