Les principaux genres du théâtre et leurs sous genres
La comédie, la tragédie et le drame dans le théâtre en 1ère
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Le genre théâtral au bac de français
Avec le roman et la poésie, le théâtre est un genre majeur de la littérature. Toutefois, il peut également se diviser en sous-genres. On distinguera ainsi la comédie, la tragédie et le drame, à l’intérieur desquels on peut encore identifier des genres plus singuliers. Cet article présente les sous-genres principaux.
Afin de réussir votre épreuve de français, vous devrez non seulement connaître les différents genres théâtraux, mais aussi les genres du récit au bac de français. Il est important de suivre assidûment vos cours de français au lycée tout au long de l’année et de prendre connaissance des épreuves au bac de français. Si vous ressentez le besoin de renforcer votre compréhension des genres littéraires et de perfectionner vos habiletés en analyse de texte, des cours à domicile de français peuvent être une excellente solution pour vous préparer de manière efficace et ciblée.
Vous devrez réviser les thèmes au programme, à savoir :
- La poésie au bac
- Le roman au bac de français
- Le théâtre au bac de français
- La littérature d’idées au bac de français
SUIVRE DES COURS PARTICULIERS DE FRANCAIS
Avoir des bases solides et exceller
La comédie et ses sous-genres
La comédie naît dans l’Antiquité pendant les fêtes célébrées en l’honneur de Dionysos sous la plume d’Aristophane, Plaute ou Térence Elle concurrence alors la tragédie, bien qu’elle soit d’emblée considérée comme un genre mineur. En effet, les personnages ne sont pas nobles et elle a pour simple fonction de divertir le public. Par conséquent, le dénouement est toujours heureux. Néanmoins, elle va connaître différentes évolutions selon les époques.
La farce
La farce est un genre très apprécié au Moyen-âge. D’abord limitée à un épisode comique au sein d’une pièce sérieuse, elle prend son indépendance à partir du XIVème siècle et devient une courte pièce, souvent composée en vers, qui consiste à faire rire le public par un comique grossier (langage vulgaire, insultes, références grivoises, comique corporel…) et des renversements de situation. En outre, il s’agit de mettre en scène des tours joués par des personnages d’extraction populaire. Ces derniers sont simples et caricaturaux : le mari cocu, la femme rusée, le vieil avare… La farce n’est pas une peinture de caractère, mais bien un théâtre d’action rythmé par les rebondissements.
Exemple : La farce de Maître Pathelin (vers 1465)
La farce se perpétue au XVIème siècle, et bien que le genre tombe en désuétude au XVIIème siècle car considéré comme trop vulgaire, il sera repris par Molière qui l’inscrit largement dans son théâtre, en écrivant des farces à proprement parler (comme Le Médecin volant en 1659) ou en réservant des épisodes farcesques dans des comédies plus complexes (comme dans le Malade imaginaire en 1673)
La commedia dell’ arte :
La commedia dell’arte apparaît en Italie au XVIème siècle et s’inspire des farces moyenâgeuses. Sur scène, les comédiens doivent improviser à partir d’un canevas d’intrigue : ils inventent les dialogues, mais aussi les lazzi, des plaisanteries burlesques ou grotesques qui n’ont rien à voir avec l’intrigue.
Les personnages de la commedia dell’arte sont des stéréotypes qui reviennent à chaque représentation : les jeunes amants, les valets malicieux ou paresseux, les vieillards avares ou libidineux… on les reconnait par leur masque, leur costume et leur attitude. Ainsi on peut identifier Arlequin et son costume bariolé, Polichinelle qui a un nez crochu et une bosse sur le dos, ou encore Matamore, un militaire bravache.
Ces personnages ne cesseront d’inspirer les auteurs de théâtre des siècles suivants : on retrouve l’influence de la commedia dell’Arte dans Les Fourberies de Scapin de Molière (1671), mais aussi le personnage d’Arlequin qui vient s’immiscer dans les Fausses confidences de Marivaux (1793).
La comédie de mœurs et la comédie de caractères
Au XVIIème siècle, la comédie prend un tour plus ambitieux. Tout en continuant à faire rire, elle cherche aussi à instruire en dénonçant les vices et les ridicules du siècle. La comédie de mœurs et la comédie de caractères se développent alors.
La comédie de caractères
La comédie de caractère cherche à dénoncer un défaut particulier du genre humain : l’avarice, la colère, l’hypocrisie, l’hypocondrie… Dès lors, Molière crée des comédies dont le personnage principal incarne un de ces défauts, souvent de façon caricaturale et ridicule. Ainsi, l’intérêt de la comédie ne relève plus de l’intrigue, mais de la peinture de ces personnages obsessionnels.
Exemples : Dans L’Avare, Harpagon incarne l’avarice ; dans Le Malade imaginaire, Argan représente l’hypocondrie.
La comédie de mœurs
Proche de la comédie de caractères par la relégation de l’intrigue au second plan, la comédie de mœurs ne vise plus les défauts d’un personnage en particulier, mais la critique de la société. Souvent satirique, elle se dote en plus d’une dimension morale : la comédie doit “corriger les mœurs par le rire”.
Exemples : Dans Les Précieuses ridicules, Molière critique la préciosité ; dans Le Tartuffe, il dénonce l’hypocrisie des faux dévots religieux.
La comédie ballet
Louis XIV était friand de spectacles complets qui intégraient, en plus du jeu théâtral, de la musique et de la danse. Ainsi en 1661, Molière et Jean-Baptiste Lully travaillent ensemble pour créer la première comédie-ballet : Les Fâcheux. La musique et la danse interviennent comme des intermèdes entre les scènes, mais Molière à l’idée de lier la musique à l’intrigue, en l’intégrant dans des scènes ou la musique semblait évidente, ou bien en gardant le même thème pour les intermèdes. Le genre disparut à la mort de Molière en 1673.
Le vaudeville
Au XVème siècle, le vaudeville est une chanson satirique. C’est pourquoi à ses débuts, la comédie-vaudeville désigne une comédie entrecoupée de chansons.
Aujourd’hui, le vaudeville renvoie à une comédie fondée sur un comique de situation, notamment des quiproquos et des situations grivoises, souvent des adultères. C’est pourquoi on l’appelle aussi le théâtre des “portes qui claquent”.
Les auteurs célèbres :
- Eugène Labiche (1815-1888)
- Georges Feydeau (1862-1921)
La tragédie et ses sous-genres
La tragédie est un genre théâtral créé dans l’Antiquité. Son principe a été théorisé par Aristote : il s’agit de développer une intrigue qui met en scène des personnages de rangs élevés (nobles, personnes de sang royal…) en proie à un destin auquel ils ne peuvent échapper : c’est la fatalité. La tragédie doit alors susciter terreur et pitié afin de purger les spectateurs de ces sentiments : c’est le principe de la catharsis. La tragédie peut aussi avoir une fonction morale en créant des héros admirables qui défendent les valeurs de l’honneur, du courage ou du devoir.
La tragédie grecque :
La tragédie grecque apparaît au Vème siècle à Athènes dans le cadre des fêtes religieuses en l’honneur de Dionysos. C’était alors l’occasion de concours tragiques au cours desquels les auteurs devaient présenter trois tragédies.
La tragédie grecque comporte un chœur, c’est-à-dire douze à quinze personnes dirigées par un chef de chœur (le coryphée). Le chœur danse et chante en lien avec l’action jouée, mais il n’est pas constitué de personnages à proprement parler : il représente la collectivité de la cité.
Les dialogues sont interprétés par des acteurs qui portent des masques expressifs et des costumes imposants. En effet, ils ont besoin de se grimer pour jouer plusieurs personnages à la fois, car ils ne sont que deux ou trois sur scène. Ce sont exclusivement des hommes.
La tragédie grecque est organisée en plusieurs parties :
- Le prologue : il expose les faits
- Le parodos : c’est l’entrée du chœur
- Alternance entre les parties chantée (stasimon) et les parties parlées (épisode).
- L’exodos : c’est le dénouement et la sortie du chœur.
Les auteurs célèbres :
- Eschyle
- Sophocle
- Euripide
La tragédie classique
Au XVIIème siècle, au moment du classicisme, la tragédie est remise à l’honneur, mais elle est alors particulièrement codifiée :
- Elle doit être écrite en vers (alexandrins)
- Elle doit respecter la règle des trois unités
- Elle doit respecter les règles de la bienséance et de la vraisemblance
Les règles du théâtre classique
La règle des trois unités :
- Unité de temps : l’action doit se dérouler en une journée maximum. Dans l’idéal, le temps de la représentation doit correspondre au temps de l’action.
- Unité de lieu : l’action doit se dérouler au même endroit, représenté par un même décor.
- Unité d’action : la pièce suit une seule et même intrigue qui organise les événements de l’exposition au dénouement. Il n’y a plus d’intrigues secondaires.
+ L’unité de ton : les genres ne doivent pas être mélangés. Il faut distinguer la comédie de la tragédie.
La règle de la bienséance
Le théâtre ne doit pas choquer le spectateur. Par conséquent, il ne faut pas représenter des scènes violentes ou érotiques sur scène. De plus, les personnages doivent s’exprimer dans un langage soutenu qui euphémise les épisodes sanglants ou grivois.
La règle de la vraisemblance
Les pièces doivent donner une impression de vérité : c’est la mimesis antique, c’est-à-dire l’imitation du réel. Ainsi, les personnages doivent suivre une certaine cohérence psychologique et les actions doivent être crédibles.
Elle doit être composée en 5 actes
La structure d’une tragédie
- L’exposition (acte I) : c’est la présentation du cadre spatio-temporel, des personnages et de l’intrigue aux spectateurs.
- Le nœud (acte III) : c’est le conflit majeur que les personnages doivent résoudre. Il est amené par des péripéties, c’est-à-dire des actions et des événements qui modifient le cours de l’intrigue.
- Le dénouement (acte V) : c’est la résolution du conflit ; tous les obstacles sont levés suite à de nouvelles péripéties. Dans la tragédie, le dénouement est malheureux.
Elle reprend un mythe ou un épisode de l’histoire antique.
Les auteurs célèbres
- Jean Racine (1639-1699)
Pierre Corneille (1606-1684)
Pierre Corneille n’a pas fait que des tragédies ! Ses tragédies les plus connues sont Horace (1640), Cinna (1641) et Polyeucte (1642)
La tragédie en tant que telle disparaît progressivement après le XVIIème siècle, à l’exception de Voltaire qui écrira un grand nombre de tragédies comme Zaïre en 1732 ou Oreste en 1750.
La tragi-comédie
La tragi-comédie est un genre de pièces propre au baroque, un mouvement du XVIIème siècle qui favorise les thèmes du mouvement, de l’illusion et de l’instabilité.
Ainsi, contrairement aux règles strictes du classicisme, la tragi-comédie relève du mélange des genres, et présente une intrigue complexe rythmée par les rebondissements et les coups de théâtres.
En outre, la tragi-comédie reprend le style et le ton de la tragédie en mettant en scène des personnages nobles. Toutefois, le dénouement est heureux comme dans une comédie. De plus, les péripéties s’enchainent rapidement ; il s’agit souvent d’événements romanesques invraisemblables et spectaculaires.
Exemple : Le Cid de Corneille (1636)
Les principaux sous-genres du drame
Le terme drame a longtemps été ambigu : d’abord utilisé pour désigner toute œuvre dramatique, il est ensuite utilisé au XVIIIème siècle pour évoquer une pièce qui ne relève ni de la comédie ni de la tragédie ou alors un genre mixte qui reprend ces deux genres théâtraux. En outre, le drame n’a pas de contraintes formelles précises, ce qui le distingue de la tragédie, mais il n’a pas non plus comme fonction principale de faire rire le spectateur, ce qui le distingue de la comédie. Ainsi le dénouement peut être heureux ou malheureux. Toutefois, malgré le caractère flou de ce terme, il est possible de distinguer plusieurs types de drame selon les époques.
Le drame bourgeois
Le drame bourgeois est un genre théâtral qui apparaît et se développe au XVIIIème siècle, notamment sous la plume de Diderot. Il s’agit de mettre en scène des situations graves et sérieuses de la vie quotidienne et familiale en gardant un effet de réalisme et une perspective morale.
Le drame bourgeois se rapproche de la comédie par ses personnages issus de la bourgeoisie, ses scènes parfois gaies et son écriture en prose, mais il garde le ton sérieux et le dénouement parfois malheureux de la tragédie. La pièce reste principalement dominée par une tonalité pathétique.
Exemple : Le Père de famille de Diderot (1758)
Le drame romantique
Apparu au XIXème siècle et théorisé par Victor Hugo, le drame romantique est d’abord un genre de la rupture : il s’oppose à la règle des trois unités et à celle de la bienséance ; il refuse également le réalisme du drame bourgeois et la dimension moralisatrice de l’art.
À l’inverse, le drame romantique va rechercher le mélange des genres, notamment le grotesque du comique et le sublime de la tragédie. Il veut également créer des personnages uniques et singuliers, souvent marginaux, qui se démarquent des personnages de théâtre stéréotypés.
Enfin, l’intrigue se déroule fréquemment sur une toile de fond historique.
Exemples : Lorenzaccio d’Alfred de Musset (1834) ; Hernani de Victor Hugo (1830)
Les auteurs célèbres :
- Victor Hugo (1802-1885)
- Alfred de Musset (1810-1857)
- Alexandre Dumas (1802-1870)
Le mélodrame
Le mélodrame est un genre théâtral populaire qui apparait au XVIIIème siècle mais se développe surtout au XIXème siècle. S’il a d’abord été une pièce rythmée par la musique comme son nom l’indique (melos = air, chant ; drama = action, drame), il finit par désigner un spectacle populaire qui mêle le tragique et le comique. Ainsi, on retrouve des aspects de la tragédie comme des drames familiaux et des victimes innocentes, mais aussi un comique souvent grossier et trivial.
L’intrigue du mélodrame est manichéenne et les personnages sont stéréotypés : un tyran vicieux, une héroïne innocente et son amant tout aussi candide, mais audacieux, un bêta… Grâce à la Providence, le traitre se retrouve toujours puni à la fin, ce qui donne une visée morale à la pièce.
Enfin le mélodrame préfère les coups de théâtre, l’emphase et la grandiloquence à la vraisemblance, car il s’adresse à des spectateurs qui recherchent des émotions et des sensations fortes.
Les auteurs célèbres :
- Guilbert de Pixerécourt (1773-1844)
- Louis-Charles Caigniez (1762-1842)
PRENDRE DES COURS PARTICULIERS DE FRANÇAIS
C’est reprendre le contrôle
Exercice d’entraînement avec correction sur le genre théâtral
Consigne de l’exercice sur le genre théâtral
Lisez ce résumé de pièce. De quel genre relève-t-il ? Justifiez.
La pièce se déroule en cinq actes et se passe à la Cour d’Espagne. Don Salluste, un ministre du roi d’Espagne est exilé à cause de la Reine. Il jure alors de se venger. Pour cela, il utilise Ruy Blas, un laquais qui est amoureux de la Reine. Don Salluste lui propose alors de lui faire quitter sa condition de valet en le faisant passer pour un grand d’Espagne, bien qu’il doive parallèlement rester un domestique à son service. Il lui intime également de plaire à la Reine et de s’en faire aimer. Le plan de Don Salluste fonctionne et Ruy Blas est nommé ministre d’État, ce qui ne manque pas de réveiller la jalousie des conseillers royaux. Ruy Blas surprend d’ailleurs ces derniers en train de s’approprier les revenus du royaume. Son sermon est entendu par la Reine qui le félicite de son intégrité. Au même moment, Don Salluste demande à Ruy Blas de passer la nuit dans une maison un peu en retrait et fait croire à la Reine que son ministre court un grave danger. La Reine se précipite alors pendant la nuit vers la maison de Ruy Blas. Don Salluste surprend leur entretien et révèle à la Reine que son ministre n’est qu’un laquais et menace de rendre public cet entretien nocturne. Fou de colère, Ruy Blas se lance sur Don Salluste et le tue, puis couvert de déshonneur, il décide de boire une fiole de poison et meurt après avoir obtenu le pardon de la Reine.
Lire aussi : analyser un texte de théâtre au bac de français
Correction de l’exercice sur le genre théâtral
Ce résumé reprend la pièce Ruy Blas de Victor Hugo (1838).
A priori celle-ci contient des éléments propres à la tragédie : en effet, la pièce se compose en 5 actes et se déroule dans une cour royale avec des personnages de haute extraction sociale. De plus, le dénouement est malheureux.
Toutefois, d’autres éléments ne relèvent pas de la tragédie classique : le personnage principal est un valet, or il s’agit d’un personnage typique de la comédie. Il n’est pas non plus question de fatalité : Ruy Blas est maître de son destin puisqu’il parvient à déjouer les plans de Don Salluste et choisit de se suicider. Enfin, il est peu probable que la règle des trois unités soit respectée : le résumé fait mention de plusieurs lieux (la cour d’Espagne, la maison en retrait) ; de même, ces actions ne peuvent se passer en une seule et même journée (la répudiation de Saluste, la transformation de Ruy Blas, sa nomination comme ministre, la découverte de la malhonnêteté des conseillers…). L’intrigue, en revanche, semble unique (la vengeance de Don Salluste contre la Reine), mais de nombreux épisodes ne relèvent pas directement de cette action et se présentent comme des épisodes secondaires (par exemple le sermon de Ruy Blas contre les conseillers).
Ainsi, on peut dire qu’il s’agit d’un drame romantique.
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