Parcours associé sur la poésie au bac de français - Les Fleurs du Mal
Parcours associé L’alchimie poétique : la boue et l’or
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Le parcours associé à la poésie pour le bac de français
Tout au long des cours de français au lycée, les élèves étudient différents genres littéraires : la poésie au bac de français, le roman, la littérature d’idées ainsi que le théâtre au bac de français. Il est attendu des élèves qu’ils sachent analyser un texte de poésie au bac de français, mais également un texte théâtral, un texte de roman et un texte argumentatif.
Pour la dissertation écrite et dans le cadre de l’épreuve orale de français, l’étude des œuvres complètes est désormais associée à un parcours de réflexion. Les Fleurs du mal doivent donc être lues à travers le prisme de l’alchimie poétique, principe que Baudelaire revendique lui-même dans le poème qui devait servir d’épilogue à la deuxième édition des Fleurs du mal. S’adressant à Paris, il écrit :
« Ô vous, soyez témoins que j’ai fait mon devoir
Comme un parfait chimiste et comme une âme sainte.
Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence,
Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or. »
La “boue” est “l’or” mentionnés dans le sujet du parcours sont donc des termes empruntés au poète lui-même. Mais à quoi renvoie l’alchimie poétique ? Comment explique-t-elle l’œuvre de Baudelaire, mais aussi celle d’autres poètes ? C’est ce que nous tâcherons d’expliquer dans ce cours.
Si vous souhaitez explorer ces concepts poétiques de manière plus détaillée et recevoir des conseils personnalisés pour analyser les œuvres de Baudelaire et d’autres poètes, envisager des cours à domicile de français peut être une excellente démarche. Ces cours sur mesure vous offriront l’occasion d’approfondir votre compréhension de la poésie.
Lire aussi : la méthodologie de la dissertation au bac de français et la méthode du commentaire de texte au bac de français.
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L’alchimie poétique au bac de français
Qu’est-ce que l’alchimie ?
Initialement, l’alchimie n’a rien de poétique. Il s’agit d’une ancienne pratique visant à transformer des métaux de faible valeur (plomb, fer…) en métaux nobles (or, argent…) ou à fabriquer des philtres d’immortalité grâce à la pierre philosophale. La légende court qu’au XIVᵉ siècle, l’alchimiste Nicolas Flamel aurait réussi à percer le secret de cette pierre, mais la discipline finit par tomber en désuétude au XVIIIème siècle.
L’alchimie poétique
Par analogie, l’alchimie poétique consiste à transformer le laid en beau grâce à la langue et au style. Le poète est un alchimiste, car il sait nous révéler la beauté cachée du monde et des choses : “Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence” écrit ainsi Baudelaire dans son projet d’épilogue. Au vers suivant, il précise : “Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or”. Les termes antithétiques “boue” et “or” confirment bien que l’alchimie poétique s’appuie sur un principe d’opposition : le poète va chercher ses sujets dans la fange, puis les façonne par une langue poétique jusqu’à en faire une œuvre d’art grâce à son pouvoir de métamorphose.
Cette conception de la poésie rompt avec la tradition classique qui ne choisit comme source d’inspiration poétique que des sujets beaux, dignes et élevés, comme l’amour, la guerre ou la nature. L’alchimie appartient donc à la modernité poétique qui se développe à partir du XIXᵉ siècle.
L’alchimie poétique chez Baudelaire
Une oeuvre fondée sur des oppositions
De la même manière que l’alchimie est fondée sur l’opposition entre le laid et le beau, le recueil de Baudelaire fonctionne principalement avec un principe d’antithèses, à commencer par le titre. En effet, alors que “les fleurs” représentent la nature idéalisée et une forme de la beauté, elles sont associées au “mal”, terme qui renvoie à la laideur morale. Plus encore, la préposition “du” sous-entend que les fleurs naissent du mal lui-même, comme si ce dernier était le terreau d’une beauté plus haute et plus élevée. À l’orée de son recueil, Baudelaire nous informe donc de son projet poétique : transformer le mal en objet de poésie.
Ainsi, la structure de son œuvre continue de vaciller entre deux pôles. D’une part, elle ne cesse d’alterner entre le spleen et l’idéal, c’est-à-dire entre la noirceur des profondeurs (“Du fond du gouffre obscur où mon cœur est tombé” – De profundis Clamavi) et les hauteurs azurées du rêve (“Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées – Élévation). D’autre part, elle part de la naissance évoquée dans le premier poème Bénédiction (“Lorsque, par un décret des puissances suprêmes / Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, / Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes / Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié”) pour aller jusqu’à la mort, titre de la dernière partie du recueil et sujet du dernier poème Le Voyage (“Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! Levons l’ancre ! / Ce pays nous ennuie, ô Mort ! Appareillons !”).
Enfin, le jeu de contrastes est aussi présent à l’intérieur même des poèmes, qui reposent sur de nombreuses oppositions, comme dans le poème Réversibilité : “Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine”. Or ce principe d’antithèses se révèle constituer en réalité le propre même de la Beauté dans le poème Hymne à la Beauté : “Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, / O Beauté ? Ton regard, infernal et divin, / Verse confusément le bienfait et le crime”. Toutefois, l’acte poétique consiste finalement à dépasser ces antithèses pour favoriser plutôt le principe de création d’un monde nouveau, comme le supposent les derniers vers des Fleurs du mal : “Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau !”.
La ville : lieu de la “boue” et de la marginalité
Contrairement aux poètes romantiques qui chantent la nature, Baudelaire décide de faire de la ville le lieu privilégié de son inspiration poétique, comme il l’affirme dans le poème Paysage à l’orée de la section “Tableaux parisiens” : “Je veux, pour composer chastement mes églogues, / Coucher auprès du ciel, comme les astrologues […] Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; / Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité”.
Dans la ville de Paris, le poète s’intéresse moins à la beauté des bâtiments qu’à la faune misérable et marginale : “Je guette, obéissant à mes humeurs fatales / Des êtres singuliers, décrépits et charmants” (Les petites vieilles). Baudelaire nous met donc sous les yeux des êtres d’une laideur sans nom : “Contemple-les, mon âme ; ils sont vraiment affreux !” (Les aveugles) ; “Ces monstres disloqués furent jadis des femmes” (Les petites vieilles) ; “Il n’était pas voûté, mais cassé, son échine / Faisant avec sa jambe un parfait angle droit” (Les sept vieillards). Toutefois, la ville est un lieu de métamorphose “où tout, même l’horreur, tourne aux enchantements”. Ainsi, c’est dans cette fange des faubourgs que se révèle la Beauté, qu’elle apparaît derrière un manteau mité ou une robe trouée, comme dans le poème A une mendiante rousse, qui peut se lire comme un art poétique : “Blanche fille aux cheveux roux / Dont la robe par ses trous / Laisse voir la pauvreté / Et la beauté”.
L’alchimie par la poésie
Si le poète arrive à transformer le laid en beau, c’est bien grâce à son regard de poète. Baudelaire se compare ainsi au soleil qui sait éclairer d’une nouvelle lumière la pauvreté et la laideur, qui “ennoblit le sort des choses les plus viles” : “Il fait s’évaporer les soucis vers le ciel, / Et remplit les cerveaux et les ruches de miel. / C’est lui qui rajeunit les porteurs de béquilles / Et les rend gais et doux comme des jeunes filles” (Le soleil). Ce changement de regard est notamment porté par les images qui émaillent les poèmes, afin de transposer l’horreur dans une nouvelle perspective. Ainsi, dans Une charogne, le cadavre puant est comparé à “une fleur” ou “une vague”, objets courants de la poésie. Enfin, le poète est celui qui sait déchiffrer le monde, cette “forêt de symboles”, car il est capable de créer des “correspondances” entre ce qui a priori n’a pas de lien, jusqu’à ce que “les parfums, les couleurs et les sons se répondent”, formant ainsi un nouveau langage.
La métamorphose passe alors par le travail sur la langue. En effet, si Baudelaire choisit des sujets repoussants, il les magnifie en les enrobant d’une versification élaborée. Ses poèmes sont majoritairement des sonnets en alexandrins composés en rimes riches. Ainsi, dans le poème A une madone, c’est bien grâce à ses qualités poétiques qu’il peut embellir le coin le plus “noir de [son] cœur” : “Avec mes Vers polis, treillis d’un pur métal / Savamment constellé de rimes de cristal, / Je ferai pour ta tête une énorme Couronne”. À la manière des Parnassiens, le poète est donc un orfèvre qui modèle la boue jusqu’à en faire ce “pur métal” qu’est l’or.
Baudelaire, un alchimiste triste ?
Baudelaire serait donc un alchimiste, mais pourrait-il être aussi un alchimiste triste, comme il le revendique dans son poème Alchimie de la douleur : “Tu me rends l’égal de Midas / Le plus triste des alchimistes / Par toi je change l’or en fer / Et le paradis en enfer” ?
Le processus serait alors inversé : au lieu de changer la boue en or, Baudelaire aurait un pouvoir de corrosion et de corruption et transformerait le beau en laid. Ainsi, dans le Spleen LXXVIII, le mal triomphe sans espoir de transformation vers un idéal :”Et de longs corbillards, sans tambours ni musique / Défilent lentement dans mon âme ; l’Espoir / Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique / Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir”. D’ailleurs, le critique Gustave Bourdin du Figaro ne voit dans le recueil du poète que de la boue et pas d’or : “L’odieux y coudoie l’ignoble ; le repoussant s’y allie à l’infect. […] jamais on assista à une semblable revue de démons, de fœtus, de diables, de chloroses, de chats et de vermine.”
En outre, il ne faut pas oublier qu’en 1857, Baudelaire est sur le banc des accusés d’un procès qui le charge pour outrage à la religion et outrage à la morale publique à cause des Fleurs du mal. Il sera d’ailleurs condamné à supprimer six poèmes de l’œuvre avant d’être réhabilité en 1949.
Les poèmes à connaître par cœur pour le bac de français :
- Élévation
- Correspondances
- L’Idéal
- Hymne à la beauté
- Une charogne
- À une madone
- Spleen LXXVII
- Alchimie de la douleur
- Le soleil
- À une mendiante rousse
- Les sept vieillards
- Les petites vieilles
- Les aveugles
En vue de la dissertation, pensez à vous faire votre propre recueil de poèmes et de citations.
L’alchimie poétique chez les autres poètes
Victor Hugo
Dans son recueil Les Contemplations (1856), Victor Hugo reprend le principe de l’alchimie poétique en traitant dans sa poésie des sujets bas. Ainsi, dans son poème J’aime l’araignée, il prend la défense de l’araignée et de l’ortie “parce qu’on les hait”, “parce qu’elles sont maudites, chétives / Noirs êtres rampants”. Il tend alors à montrer que ces personnages affreux ne doivent pas être délaissés, mais qu’au contraire, ils réclament aussi de l’attention et de la tendresse : “Pour peu qu’on leur jette un œil moins superbe / tout bas, loin du jour / La vilaine bête et la mauvaise herbe / Murmurent : Amour !”. Ce poème revêt dès lors une dimension politique en appelant à la considération de ceux qui sont méprisés et en transformant l’araignée et l’ortie en allégorie des figures populaires à la destinée misérable.
Tristan Corbière
Dans son recueil poétique Les Amours jaunes (1873), Tristan Corbière reprend le motif animal dans son poème Le Crapaud dans lequel il présente le poète comme un crapaud, un “rossignol de la boue” qui suscite l’ “horreur”. Dans ce court poème qui a la forme d’un sonnet inversé, Tristan Corbière se moque de la poésie romantique et lyrique, en prenant à rebours le cadre romantique (“Un chant”, “une nuit”, “la lune”) et en faisant du chant lyrique un chant horrible. Ainsi, à l’inverse de Baudelaire qui présente le poète comme un albatros, un “prince des nuées” et donc un habitant du ciel, Tristan Corbière montre le poète comme un habitant de la boue, qui “s’en va, froid, sous la pierre”.
Rimbaud
Dans les Cahiers de Douais (1870), le jeune Arthur Rimbaud fait le portrait d’une femme “belle hideusement” dans un sonnet qu’il intitule Vénus Anadyomène. Ce titre renvoie à la figure mythique de Vénus, la déesse de la beauté, sortant de l’eau. Ici, il s’agit bien d’une femme sortant de l’eau, mais loin d’être belle, elle a “des déficits assez mal ravaudés”. Ainsi, le blason du corps de la femme repris à la tradition poétique classique est loin d’être glorieux : “le col gras et gris, les larges omoplates / qui saillent ; le dos court qui rentre et qui ressort” ; “L’échine est un peu rouge, et le tout sent un goût / Horrible étrangement”. Plus encore, Rimbaud va même jusqu’à mentionner son “ulcère à l’anus” qui rime ironiquement avec le nom de “Vénus”. Par cette accumulation de la laideur, Rimbaud cherche à s’opposer au lyrisme traditionnel et à détruire les canons de beauté classiques, favorisant l’esthétique de la boue à l’encontre de celle de l’or.
Exercice sur l’alchimie poétique – bac de français
Consigne : observez ce poème de Jules Laforgue. En quoi renvoie-t-il à l’alchimie poétique ?
C’était un très-au vent d’octobre paysage,
que découpe, aujourd’hui dimanche, la fenêtre,
avec sa jalousie en travers, hors d’usage,
où sèche, depuis quand ! Une paire de guêtres
tachant de deux mals blancs ce glabre paysage.
Un couchant mal bâti suppurant du livide ;
le coin d’une buanderie aux tuiles sales ;
en plein, le val-de-grâce, comme un qui préside ;
cinq arbres en proie à de mesquines rafales
qui marbrent ce ciel crû de bandages livides.
Puis les squelettes de glycines aux ficelles,
en proie à des rafales encor plus mesquines !
ô lendemains de noce ! ô brides de dentelles !
Montrent-elles assez la corde, ces glycines
recroquevillant leur agonie aux ficelles !
Ah ! Qu’est-ce que je fais, ici, dans cette chambre !
Des vers. Et puis, après ! ô sordide limace !
Quoi ! La vie est unique, et toi, sous ce scaphandre,
tu te racontes sans fin, et tu te ressasses !
Seras-tu donc toujours un qui garde la chambre ?
Ce fut un bien au vent d’octobre paysage…
“Complainte d’un autre dimanche”, Les Complaintes, Jules Laforgue (1885)
Correction de l’exercice sur l’alchimie poétique – bac de français
Consigne : observez ce poème de Jules Laforgue. En quoi renvoie-t-il à l’alchimie poétique ?
Ce poème de Jules Laforgue peut nous faire penser aux spleens baudelairiens par le paysage morne qu’il peint et cette impression de désespoir qui se dégage.
Le sujet du poème est annoncé dès le premier vers : il s’agit de peindre un paysage, renvoyant ainsi à la tradition poétique classique qui met la nature au centre de ses créations. Pour autant, ce paysage n’est pas magnifié, au contraire, il ne s’agit que d’un “glabre paysage”, systématiquement rabaissé. Ainsi, le poète insiste sur sa saleté avec la “jalousie en travers hors d’usage”, les “tuiles sales” et les guêtres “tâchant de deux mals blancs” qui semblent faire des salissures sur le paysage. Plus encore, ce dernier est comparé à une blessure purulente : ainsi le “couchant suppur[e] du livide” et le ciel est déchiré par des “bandages livides”. La mention du Val-de-Grâce, qui est un hôpital, confirme cette dimension maladive. Enfin, c’est le thème de la mort qui domine dans la fin du poème : les glycines sont associées à des “squelettes”, à une “corde” qui peut rappeler celle des pendus. Le mot “agonie” est d’ailleurs prononcé à la fin de la troisième strophe. Ainsi, le paysage n’est pas source de beauté : au contraire, c’est un paysage morne, laid et douloureux qui est peint ici.
Celui-ci semble s’accorder au poète lui-même qui se dévalorise et s’accuse de sa propre passivité alors que “la vie est unique”. Ainsi, il se compare à une “sordide limace”, ce qui place de terme “des vers”, rejeté au début du deuxième vers de la troisième strophe non pas dans le registre poétique, mais bien dans l’imaginaire des bestioles grouillant dans la terre : nous sommes loin des cieux de l’idéal poétique, mais bien proche du bas, du prosaïque. Ainsi, l’entreprise poétique pour Jules Laforgue n’est pas une entreprise noble. Au contraire, au lieu de produire un chant lyrique, il se reproche de “racont[er] sans fin” et de “ressasse[er]”. En outre, le dernier vers du poème qui reprend le premier montre bien la structure circulaire et répétitive du poème.
Enfin, le lyrisme est également cassé par une syntaxe boiteuse, qui semble faire écho au caractère maladif du poème. Les deux premiers vers par exemple sont heurtés dans leur construction : “c’est un très au vent d’octobre paysage / que découpe aujourd’hui dimanche, la fenêtre”. L’enjambement au troisième vers ajoute à cette boiterie. Ainsi, bien que le poète utilise des alexandrins, on reconnait peu leur rythme habituel. De plus, les sonorités sont également agressives et discordantes : on retrouve beaucoup de [k] et de [r] ainsi que de nombreuses nasalisations.
Le poème de Jules Laforgue serait donc plutôt celui d’un alchimiste triste qui transforme l’or en fer. Il nous livre ainsi un paysage triste et l’image d’un poète désespéré sans laisser place à une perspective plus heureuse, ce qui peut nous rappeler le Spleen LXXVII de Baudelaire.
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