Problématique et plan de dissertation en culture générale
Méthode du plan de dissertation de culture générale en prépa HEC sur la violence
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Cours particuliers de français
La dissertation de culture générale sur le thème la violence en prépa HEC est souvent redoutée par les élèves. Le sujet proposé à la réflexion des élèves est souvent une phrase ou une question courte. La simplicité de ce sujet déstabilise parfois les étudiants qui ne maîtrisent pas assez la méthodologie de la dissertation.
Ainsi les copies les plus faibles ayant une note souvent en dessous de la moyenne se contentent parfois de réciter des éléments de cours sans véritable lien avec le sujet et sans réfléchir et analyser les termes du sujet. Au-delà de la logique démonstrative qui doit être au cœur de la dissertation, la problématique et le plan de la dissertation doivent être le fruit de cette analyse du sujet avec la mise en place d’un étonnement et d’un paradoxe.
Le travail sur les termes du sujet, la problématique et le plan qui en découlent, doit être le cœur du travail de réflexion de la dissertation. De nombreux élèves font appel à un prof pour des cours particuliers de français afin de comprendre les enjeux de la dissertation, de la problématisation, du plan, de l’analyse des termes du sujet, etc. Un prof à domicile ou en ligne peut vous guider et vous proposer divers sujets de dissertations et vous apporter une correction et vous aider dans la réflexion.
Ainsi, il est d’abord nécessaire de débuter par l’analyse des termes du sujet portant sur le thème de la violence. Par la suite, il est nécessaire de trouver une problématique puis de faire un plan détaillé de votre dissertation. Vous pouvez dès lors rédiger votre introduction et conclusion, ainsi que les transitions que vous souhaitez mettre entre chaque partie et sous-partie. N’oubliez pas d’y ajouter vos connaissances acquises tout au long de votre année d’étude en cours de culture générale de philosophie en prépa HEC.
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1. Problématisation de la dissertation de culture générale prépa HEC :
« La violence est une forme de faiblesse »
- Identifier le paradoxe
- Donner un sens au paradoxe
- Se concentrer sur le mot « forme » et dégager les idées qui en découlent
Il ne suffit pas d’accepter ce paradoxe tel quel sans l’analyser : a-t-il vraiment une valeur théorique ? En quoi la violence, qui se caractérise principalement par la force, peut-elle être en même temps faiblesse ? Cela amène en fait à réfléchir à ce que signifie la force. Celle-ci est dirigée vers les autres et implique un rapport de domination. Or c’est précisément cette domination qui est censée s’évaporer une fois le pacte social passé, pour la sécurité de tous et, aussi, pour laisser place à la force de l’intellect et du dialogue (on peut mentionner ici l’idéal démocratique du débat apaisé). Cela laisse penser que la force n’est toujours que relative et jamais absolue : c’est pour cela que la violence peut être considérée comme une faiblesse.
En somme, il faut ici se concentrer sur la relativité de la force – donc de la violence – et se fonder sur les connaissances relatives au pacte social pour avancer vers le problème théorique principal.
2. Problématisation et plan de dissertation en prépa ECG et ECT
« La violence engendre la violence »
- Identifier le caractère absurde du sujet
- Se concentrer sur l’étymologie du mot « engendrer », du grec genos, la naissance puis l’ethnie, la nation
- Sonder le caractère politique du sujet
- Si engendrer veut dire « donner naissance », identifier le caractère absurde dans le fait de donner naissance à la même chose que soi : impossible
- Contester le sujet, ne pas le prendre pour une vérité absolue
- La violence est un phénomène abstrait : peut-elle vraiment engendrer quelque chose ? Non. Donc il s’agit de voir qui est l’agent actif derrière la violence : l’être humain
- Le problème se situe soit dans la nature de la violence (problème large), soit dans le libre arbitre de l’individu (problème resserré)
« On ne se bat pas dans l’espoir du succès ; c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ».
- Se concentrer ici sur le mot beau et le définir philosophiquement :
- Ce qui plaît universellement sans concept (Kant)
- Ce qui est également bon (philosophie antique)
- Ne pas oublier le thème de la violence dans ce sujet
- Utile / inutile : réflexion sur l’objectif de la violence (atteinte)
- Si le problème est moral (beau/bon) ou plus simplement relatif à l’utilité de la violence (sa justification, en tout cas), le problème théorique principal se situe ici dans l’acceptation de la violence dans une société : quels sont les critères qui rendent la violence acceptable (seulement l’utilité, ou autre chose : ici, le beau, le panache ?)
Plan détaillé de dissertation sur la violence en prépa HEC
Voici le plan détaillé sur le thème de la violence en culture générale en prépa HEC :
- I. Une forme de violence sans pensée
- A. Une brutalité innée, par instinct plus que par pensée
- B. La violence comme fruit de pulsions et de la volonté de domination
- C. Une violence pathologique loin de la pensée
- II. Une violence pensée
- A. Une violence réfléchie, nécessaire à la société
- B. La violence internationale : la guerre
- C. La violence des faibles : une violence consciente, en réponse à la faiblesse, fruit de la pensée
- III. Une violence par la pensée : la violence morale, la violence sociale. La pensée peut être violence
- A. La violence symbolique
- B. Une violence sociale, une lutte, à laquelle on participe consciemment ou inconsciemment
- C. La violence : une pensée violente
Nous vous proposons également de lire notre dissertation complète corrigée sur le thème de la violence en prépa HEC.
N’hésitez pas à consulter ces articles :