La poésie au bac de français
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La poésie au lycée
En seconde, le thème de la poésie est étudié du Moyen Âge au XVIIIe siècle, avec la lecture cursive d’un recueil ou d’une section de recueil ainsi que l’étude de textes rassemblés autour d’un thème ou d’une forme poétique.
En première générale, dans le cadre de la préparation du bac de français, l’étude de la poésie du XIXe siècle au XXIe siècle s’accompagne d’études d’œuvres :
- Victor Hugo, Les Contemplations, livres I à IV
- Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
- Guillaume Apollinaire, Alcools
N’hésitez pas à vous adresser à votre professeur en classe ou à un professeur particulier afin de tout savoir sur les cours de français au lycée.
Définition de la poésie
La voie la plus simple, pour définir au mieux la poésie, est de s’en remettre à la définition du Trésor de la langue française : « Genre littéraire associé à la versification et soumis à des règles prosodiques particulières, variables selon les cultures et les époques, mais tendant toujours à mettre en valeur le rythme, l’harmonie et les images ». Le terme est « emprunté, par l’intermédiaire du latin poesis, de même sens, du grec poiêsis, « action de faire/création », puis « composition d’œuvres poétiques », lui-même dérivé de poieîn (faire, créer).
Le dictionnaire le Robert propose une définition quelque peu différente, dès lors qu’elle ne retient pas comme absolument nécessaire le critère de la versification : « art du langage, visant à exprimer ou à suggérer par le rythme (vers ou prose), l’harmonie et l’image. / Manière propre à un poète, à une école, de pratiquer cet art ».
Mais la poésie n’est pas qu’un genre littéraire. Pour être complet, il convient de garder à l’esprit l’autre sens dont elle est porteuse. Le Trésor de la langue française et le Robert s’en font l’écho : « Ce qui, dans une œuvre d’art, un paysage, un objet, un être, suscite une émotion rare, d’ordre poétique (ex : La poésie qui émane des ruines, de la lagune de Venise) ». « Caractère de ce qui éveille l’émotion poétique ». « Aptitude à éprouver l’émotion poétique ».
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Origine du genre poétique
La poésie naît dans l’Antiquité. Il s’agit alors d’une sorte de chanson accompagnée à la lyre ; l’objectif de ce texte chanté est d’exprimer des sentiments forts, principalement amoureux. Pour ce faire, on se sert des aventures des héros mythiques et des dieux. La rythmique et la musicalité des textes ont été mis en place dans un objectif très précis : favoriser la mémorisation desdits textes.
L’Iliade et l’Odyssée sont les deux grands poèmes de l’Antiquité ; il s’agit de longs textes écrits en vers et répondant parfaitement à tous ces critères. Ces textes étaient chantés par un personnage central, l’aède, et écoutés par les citoyens de la cité. Ce n’est qu’après ces textes fondateurs que se sont développés des poèmes plus lyriques (odes religieuses, amoureuses ou satiriques notamment).
Les caractéristiques et vocabulaire de la poésie
Une écriture spécifique
La poésie force à une écriture ambivalente. En effet, elle nécessite un énorme effort d’imagination de la part du poète, celui-ci s’efforçant de créer des images, une langue travaillée, un rythme et une musicalité, un sens qui parfois le dépasse lui-même ; ce faisant néanmoins, l’auteur doit s’accommoder de cadres très précis et contrôlés, à la faveur de règles poétiques souvent anciennes et contraignantes.
Si la poésie est facilement reconnaissable en prenant ces règles pour critères (et nous les détaillerons ci-dessous), il n’est pas aussi aisé de qualifier un texte de « poétique » ; de fait, ce qualificatif est nettement moins facilement perceptible. Ce qui est certain, c’est que le poète propose un « langage accessible à tous les sens » dont l’objectif principal est de susciter une émotion forte et de transporter le lecteur vers un imaginaire auquel il n’aurait pas eu accès direct sans ledit poème.
Cette écriture de l’émotion doit donc être considérée une fois tous les critères suivants dûment analysés.
Les vers dans la poésie
Les vers sont un élément central du genre poétique. Le Trésor de la langue française les définit ainsi : « Segment d’énoncé constituant une unité d’ordre rythmique et phonique fondée sur des règles retenant soit la quantité, l’accentuation soit le nombre des syllabes, et marqué par une légère pause à la lecture et, dans le texte, par une disposition unilinéaire ». Le mot « vers » vient du latin « versus » qui signifie le sillon et, par voie de conséquence, la ligne en écriture. Le vers est donc dès l’origine le fait de « retourner à la ligne » ; c’est ainsi qu’on l’identifie. Il ne se confond pas avec la phrase qui, elle, peut s’étendre sur plusieurs vers. De même, plusieurs phrases peuvent être contenues dans un seul vers.
On appelle rejet le fait de terminer la phrase commencée par un vers au début du vers suivant. Le contre-rejet, à l’inverse, est le fait de faire courir une phrase commencée à la fin du vers précédent jusqu’à la fin du vers en cours.
Il existe plusieurs types de vers que l’analyse littéraire a pris soin de catégoriser au fil des siècles, pour mieux les reconnaître et pour en faire meilleur usage. C’est le nombre de syllabes qui détermine le type de vers auquel on est confronté. Voici les vers les plus fréquents en français :
- L’alexandrin : 12 syllabes (le plus fréquent dans la poésie classique)
- L’endécasyllabe : 11 syllabes (plus rare)
- Le décasyllabe : 10 syllabes
- L’ennéasyllable : 9 syllabes (plus rare)
- L’octosyllabe : 8 syllabes
- L’heptasyllabe : 7 syllabes
- Le pentasyllabe (plus rare)
Compter les syllabes est tout un art. Il faut être particulièrement vigilant aux « e » muets en français (qui ne se prononcent pas en fin de mot si le mot suivant commence par une voyelle mais qui se prononcent absolument si le mot suivant commence par une consonne !) et aux hiatus (quand deux voyelles entrent en contact à l’intérieur d’un mot ou d’un vers, ce qui peut donner lieu, selon la prononciation, à une ou deux syllabes).
Cet art de la métrique conduit à s’intéresser au rythme des vers, essentiel en poésie. Il signifie concrètement l’accentuation régulière des syllabes. Dans un vers, on fait tomber son intonation à la césure du vers et à la fin du vers. La césure est la « pause » dans le vers, une façon de le couper en deux. Dans l’alexandrin, la césure tombe à la moitié de celui-ci, au sixième vers ; cette coupure sépare deux parties du vers que l’on appelle les deux hémistiches.
L’accentuation des syllabes n’est pas toujours de la plus grande régularité ; il faut s’en remettre au style du poète pour comprendre quel rythme celui-ci a cherché à établir. Le plus souvent néanmoins, on constate une alternance parfaite d’accentuation et de désaccentuation.
Les rimes dans un poème
Le Trésor de la langue française définit la rime de la sorte : « Répétition à la fin de deux ou plusieurs vers de la dernière voyelle accentuée ainsi que des phonèmes qui éventuellement la suivent ou la précèdent ». Les « phénomènes » qu’évoque ici le dictionnaire sont les sons contenus dans l’accentuation finale. Le nombre de sons répétés détermine la « qualité » de la rime. Il existe ainsi trois niveaux :
– Un son en commun : on parle de rime pauvre
– Deux sons en commun : on parle de rime suffisante
– Trois sons en commun : on parle de rime riche.
Par ailleurs, il convient de noter que quand la rime se termine par un « e » muet, elle est dite « féminine » ; sinon, elle est masculine (ce qui n’a rien à voir avec le genre des mots utilisés).
Les rimes peuvent être disposées de différentes façons. Là aussi, un vocabulaire spécifique est utilisé. Voici les dispositions les plus fréquentes :
- Rimes plates (ou suivies) : AABB
- Rimes embrassées : ABBA
- Rimes croisées : ABAB
- Rimes redoublées : AAAA
Les strophes dans la poésie
Le Trésor de la langue française définit la strophe de la façon suivante : « Unité structurelle du discours versifié formée d’un nombre déterminé de vers caractérisés par leurs homophonies finales et, éventuellement, par leurs mètres ». Si l’on veut exprimer les choses plus simplement, la strophe est le « regroupement de vers en un paragraphe », séparé des autres paragraphes.
Il existe là encore différents types de strophes qu’il convient de savoir reconnaître :
- Strophe à deux vers : le distique
- Strophe à trois vers : le tercet
- Strophe à quatre vers : le quatrain
- Strophe à cinq vers : le quintile
- Strophe à six vers : le sizain
- Strophe à dix vers : le dizain
Souvent, l’agencement des strophes dans le poème détermine un type de poème particulier qui a été utilisé dans l’histoire de la poésie. Ainsi, le sonnet est un des types les plus célèbres et immédiatement reconnaissable à sa structure en deux quatrains et deux tercets. La ballade, elle, contient trois strophes et un refrain. L’ode, particulièrement appréciée de Lamartine, se fonde sur plusieurs groupes de trois strophes de même longueur.
Il existe également bien sûr un grand nombre de types de poèmes ne répondant pas à une structure aussi régulière en termes de strophes et qui ont de ce fait des caractéristiques plus libres.
La poésie en prose
Attention ! Si l’on parle beaucoup de vers en parlant de poésie, cela ne signifie en aucun cas que la poésie en prose n’existe pas. Si elle n’a pas été largement utilisée aux débuts du genre, elle n’en est pas moins importante dans la période plus récente. Ici, pas de rimes, pas de strophes, pas de régularité dans les phrases ; il s’agit en fait d’un récit assez court, là encore caractérisé par de nombreuses images et une force d’émotion. Le rythme joue également un rôle significatif.
Des registres différents de la poésie
La poésie, comme tout texte de littérature, peut s’articuler autour de différents registres. Trois grandes catégories se dégagent.
- Le registre satirique est un des plus importants du genre ; les poètes engagés en font largement usage pour faire passer un message politique ou social. La versification et les rimes servent alors très largement l’humour dont le poète fait usage pour s’exprimer.
- Le registre épique est également relativement important ; il regroupe les poèmes qui font le récit des épreuves et des exploits de héros ; ces textes racontent donc la violence, les luttes, le courage, la bravoure. Les textes d’Homère sont de parfaits exemples de poèmes épiques.
- Le registre lyrique est le plus répandu. Lyrique parce que, dans la Rome antique, on accompagnait les poèmes à la lyre, notamment quand ceux-ci parlaient d’amour. De fait, la poésie lyrique est la poésie des sentiments forts (le sentiment amoureux, la tristesse, la jalousie, le bonheur…) du poète. Dès lors, l’utilisation de la première personne permet généralement de reconnaître ce registre, de même que les hyperboles, les exclamations, l’expression des émotions. Au sein du registre lyrique, on peut également noter le registre élégiaque (une sorte de sous-registre) : il s’agit ici surtout de la poésie de la complainte amoureuse. Le courant romantique est particulièrement adepte de ce registre.
Les différentes formes de poésie à travers les âges
Dans l’Antiquité, la naissance de la poésie
La poésie naît dans l’Antiquité grecque. Elle est le récit chanté d’aventures de héros. On se sert des vers et de la rythmique pour mieux mémoriser les textes. Très vite, le registre lyrique apparaît tant le genre se prête à l’expression des émotions fortes.
Dans l’Antiquité romaine, on s’inspire largement de la façon de faire grecque et on incorpore volontiers la poésie au théâtre. La langue latine permet une rigueur particulière sur le rythme et la métrique. Virgile, Ovide, Horace et Juvénal sont de grands noms de la poésie latine.
Le Moyen-âge, une période de transition
Le Moyen-âge est véritablement une période de transition pour la poésie. Car si les récits oraux de chevalerie conservent du terrain, on commence à écrire des vers, notamment des ballades, notamment pour exprimer des sentiments amoureux. La poésie courtoise est en plein essor et la poésie s’affirme alors comme genre romantique (au sens non-littéraire du terme).
Au XVIème siècle, un genre qui se reconstitue
Au moment de la Renaissance, les poètes de la Pléiade (au premier titre desquels Ronsard et du Bellay) mettent le français à l’honneur. En s’inspirant du travail des poètes italiens, ils popularisent le sonnet et la poésie devient alors un genre incontournable de la littérature. La puissance des sonnets composés par ces deux poètes en particulier fait de la France un pays de poésie désormais tout à fait cardinal.
Au XVIIème siècle, la prédominance des courants baroque et classique
L’origine du mot « baroque » se situe dans la langue italienne : on parle de « pierre irrégulière ». Le mouvement baroque est ainsi tout résumé. Il se concentre sur l’instabilité du monde, sur la mort notamment ; il est très à la mode au tournant des XVIème et XVIIème siècles, période par ailleurs particulièrement trouble en France. L’écriture poétique baroque tend donc également à refléter elle-même cette instabilité en prenant ses libertés avec la rythmique et la métrique.
Le classicisme, qui se développe dans le courant du XVIIème siècle, est en somme tout l’inverse du baroque. Il est une recherche des premiers codes de la poésie, une recherche de rigueur, de clarté, de mesure, de régularité ; les règles doivent être respectées pour ne pas polluer le message porté.
Au XVIIIème et XIXème siècle, la poésie obligée de se réinventer
Aux XVIIIème et XIXème siècle, la poésie est concurrencée par la prédominance absolue des idées des Lumières sur le terrain littéraire puis par le succès fulgurant du roman. C’est pourtant justement dans le roman et dans son courant romantique que la poésie va puiser la force nécessaire pour développer son propre courant romantique : c’est, d’une certaine façon, assez logique. Il s’agit de se concentrer sur l’individu et sa subjectivité. Les sentiments prennent une place considérable tandis qu’on prend de la distance par rapport aux règles classiques, jugées trop restrictives.
Baudelaire est un des plus grands poètes du XIXème siècle, symbole de cette réinvention. Il ne renie pas les formes classiques (il est par exemple attaché au sonnet) mais sait jouer avec elles en créant de nouvelles images et de nouvelles associations d’idées. Ses poèmes en prose ouvrent la voie à une poésie renouvelée.
Au XXème siècle, une poésie nouvelle à l’épreuve de l’Histoire
Au XXème siècle, les règles formelles ne sont globalement plus respectées. Les poètes jouissent d’une grande liberté. Dans un siècle frappé par deux guerres mondiales d’une violence inouïe, la poésie doit être cet espace de liberté et de dépassement. Les sonorités, les mots et leurs sens, les images sont réinventés, réexaminés pour à la fois rendre hommage aux siècles de poésie écoulés et se dresser à la hauteur de l’Histoire. Apollinaire, Aragon, Jacques Prévert ou les poètes surréalistes comme André Breton ou Robert Desnos sont d’éminents représentants de la poésie française au XXème siècle.
Quelles sont les attentes des examinateurs au bac en poésie ?
Les examinateurs du bac de français s’attendent premièrement à ce que vous connaissiez le genre littéraire de la poésie, tout comme vous devez tout savoir sur le roman au bac de français. Pour cela vous devez montrer vos connaissances en argumentant sans pour autant « balancer » tout ce que vous savez sans aucune articulation, voire sans aucun rapport.
Vous devez ensuite montrer en quoi le texte présenté est un poème et détaillé ses caractéristiques en utilisant les outils littéraires de la poésie.
Vous devez également parler du contexte de l’écriture du poème : pour cela il convient de connaître l’auteur et le siècle d’écriture du poème, le mouvement littéraire concerné afin de le replacer dans son contexte historique. Vous devez également être capable de le rapprocher de poèmes et poètes similaires ou, au contraire, le mettre en contraste avec des poètes ou poèmes opposés.
N’hésitez pas non plus à faire référence aux fonctions de la poésie ainsi qu’au statut du poète.
Attention à l’orthographe ! Cela est valable non seulement pour le thème de la poésie, mais aussi pour tous les autres thèmes, et ce, quelque soit l’exercice. Si les fautes d’orthographes sont devenues tellement fréquentes de nos jours que beaucoup se demandent si les Français ont un bon niveau en orthographe, cela n’en reste pas moins pénalisant, surtout lors des épreuves du bac de français.
Comment réviser la poésie au bac de français ?
Réviser les outils littéraires de la poésie
Le plus important, au baccalauréat, est de réussir à expliquer pourquoi la forme poétique s’imposait à l’auteur pour exprimer ce qu’il avait à exprimer. C’est ainsi que le cœur de votre travail sera de montrer le lien entre l’utilisation de la langue particulière qu’est la langue poétique et le message porté par le texte.
Il est important de connaître par cœur les principaux outils littéraires utilisés par les poètes comme pour le théâtre afin d’être capable d’analyser un poème au bac de français. Ainsi, que ce soit les figures de style, les types de rimes, de vers ou de strophes, les champs lexicaux, les registres et mouvements littéraires par exemple, il est indispensable de les connaître sur le bout des doigts. Comme pour la littérature d’idées au bac de français, connaitre les auteurs et leurs époques est primordial.
Connaître les poètes français les plus célèbres
Pour le baccalauréat, il faut évidemment d’abord et avant tout lire beaucoup de poésie, et aimer cela. Il convient par ailleurs de revenir un peu en arrière et de faire l’effort d’apprendre des poésies par cœur, comme à l’école primaire. Cet exercice de mémorisation est excellent, non seulement pour la culture générale, mais d’abord et avant tout parce qu’il entraîne l’oreille.
La réussite de la poésie au bac de français requiert de connaître les poètes français les plus célèbres, qui sont également ceux dont les poèmes sont les plus susceptibles de tomber au bac de français. Ainsi, on peut citer par exemple Victor Hugo, Jean de la Fontaine, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, Paul Eluard, Louis Aragon, Alfred de Musset, etc.
Beaucoup trop nombreux pour tous être cités ici, il convient au moins de connaître le siècle et le mouvement littéraire qui leur sont associés afin de pouvoir plus facilement analyser leurs poèmes et leur contexte.
Prendre des cours particuliers de français
Les cours particuliers sont une solution très efficace afin de progresser en poésie, que ce soit pour réussir l’épreuve écrite ou l’épreuve orale du bac de français. En effet, les bénéfices des cours particuliers de français sont visibles à court terme et un professeur particulier saura vous orienter dans vos révisions dans le but de savoir comment travailler et progresser en français.
Ces cours ne vous serviront pas qu’au bac de français, mais aussi plus tard au cours de votre carrière professionnelle, car pour réussir sa carrière professionnelle il est important d’avoir une bonne maîtrise du français. De plus, tous ces éléments vous seront également utiles si vous souhaitez poursuivre une spécialité en terminale en lien avec le français. Les spécialités littéraires en terminale qui peuvent être choisies, sont par exemple, Langues, littératures et cultures étrangères, Humanités, littérature et philosophie ou encore la spécialité Arts : histoire des Arts, théâtre, arts plastiques, arts du spectacle.
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