Le roman au bac de français
Fiche sur le roman en 1ère - thème du roman
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Qu’est-ce que le roman ? Cours sur le roman
Le roman est un genre littéraire apparu vers le XIIe siècle et qui se caractérise par la narration de fictions.
Le roman est l’un des objets d’études en seconde et en première dans le cadre de la préparation du bac de français sous la dénomination suivante : « Le roman et le récit, du Moyen Âge au XXIe siècle ».
Le programme du roman au bac de français comprend l’étude d’une œuvre fixée au choix parmi :
- Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves
- Stendhal, Le Rouge et Noir
- Marguerite Yourcenar, Mémoires d’Hadrien
Au lycée, le roman effraie les uns par sa longueur et sa complexité tandis qu’il rassure les autres par sa facilité d’accès par rapport à d’autres genres littéraires. Tout est (presque) dit : le roman est ambivalent, complexe, nébuleux parfois. C’est ce qui en fait un genre particulièrement apprécié. Et c’est aussi ce qui justifie de le retrouver au programme du baccalauréat de français.
De plus, les élèves doivent également effectuer la lecture cursive d’au moins un roman ou d’un récit long appartenant à un autre siècle que celui de l’œuvre au programme.
Afin de se préparer au mieux au thème du roman pour le bac de français, les élèves doivent tout savoir sur les cours de français au lycée. Le commentaire de texte le jour de l’épreuve peut porter sur un extrait de roman ou de récit. Il conviendra de bien connaitre la méthodologie du commentaire de texte.
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Définition du roman
Dans une première approche, le plus simple pour définir le roman reste encore de s’en remettre aux définitions que proposent les dictionnaires de référence. Le Trésor de la langue française dispose ainsi : « œuvre littéraire en prose d’une certaine longueur, mêlant le réel et l’imaginaire, et qui, dans sa forme la plus traditionnelle, cherche à susciter l’intérêt, le plaisir du lecteur en racontant le destin d’un héros principal, une intrigue entre plusieurs personnages, présentés dans leur psychologie, leurs passions, leurs aventures, leur milieu social, sur un arrière-fond moral, métaphysique ; genre littéraire regroupant toutes les variétés de ces œuvres, particulièrement florissant au XIXème siècle ».
Le Grand Dictionnaire Encyclopédique de Larousse, lui, utilise d’autres termes tout aussi importants pour saisir ce qui fait la spécificité du roman : « Œuvre d’imagination constituée par un récit en prose d’une certaine longueur, dont l’intérêt est dans la narration d’aventures, l’étude des mœurs ou des caractères, l’analyse de sentiments et de passions, la représentation du réel ou de diverses données objectives ou subjectives ».
Origine du genre romanesque
Même s’il n’était pas encore perçu comme tel, le roman existe en fait depuis l’Antiquité. Les épopées de l’Odyssée et de l’Iliade(Homère) répondent à un grand nombre des critères mentionnés ci-dessus. Ces récits épiques se concentrent bien sur un personnage principal – un héros – qui doit traverser nombre de difficultés et autour duquel des intrigues folles se nouent.
Mais c’est plus tard, dès le XIIème siècle, que le terme « roman » s’installe en français. Il s’agit en fait dans un premier temps de la « lingua romana rustica », autrement dit la langue romane rustique. Rustique parce qu’opposée au latin, langue de la haute société, langue savante. Or c’est cette langue rustique, cette langue du « petit peuple », qui permet d’écrire et de transmettre des récits de fiction qui plaisent aux gens.
Au Moyen-âge, les figures de héros commencent à prendre une place tout à fait centrale dans ces récits et les lecteurs se divertissent en lisant leurs aventures, les rebondissements dans les épreuves auxquelles ils sont confrontés, en même temps qu’ils sont contraints de saisir les qualités morales des personnages présentés. Ces récits, de plus en plus longs, sont en même temps des textes qui savent porter un regard sur des sociétés qui deviennent progressivement plus complexes.
Connaître les caractéristiques du roman
Afin de se préparer au thème du roman pour le bac de français, vous devez impérativement connaître les caractéristiques du roman ainsi que le langage romanesque (narrateur, personnage, cadre spatio-temporel, incipit vs excipit, les focalisations, etc.)
En plus du roman, vous devez savoir analyser un texte de théâtre et connaître la poésie et la littérature afin de pouvoir les comparer au thème du roman au bac de français en faisant un rapprochement ou un contraste.
Toutes ces notions pourront également être retravaillées ou approfondies en terminale. En effet, certaines spécialités en terminale peuvent remplacer le français, notamment, les spécialités langues, littératures et cultures étrangères, histoire géographie, géopolitique et science politique, Littérature, langues et cultures de l’Antiquité, etc.
La fiction romanesque
Le caractère fictif des histoires narrées est un des éléments fondamentaux du roman, aux débuts de celui-ci du moins. Car il est incontestable que nombre de romanciers – et davantage encore de jeunes romanciers – se nourrissent de leur environnement immédiat, de leur expérience, en les changeant à peine, pour composer leur œuvre. La “mode” actuelle de l’autofiction en est l’un des principaux révélateurs. Mais la part d’inventivité, même infime, que le roman abrite constitue véritablement ce qui fait le sel de ce genre.
Les personnages du roman au bac de français
Par sa longueur, le roman se laisse la place et le temps de développer des personnages. C’est ainsi que ceux-ci entrent aussi dans la recette du roman et en deviennent le véritable liant. Presque toujours, est présenté un personnage principal. C’est autour de celui-ci que l’intrigue se construit. Les personnages secondaires gravitent autour de lui et sont ceux qui sont susceptibles de causer des torts au personnage principal ou, au contraire, de le faire avancer. Le roman est ainsi l’outil idéal pour sonder le caractère de ces figures fabriquées, de peindre avec plus ou moins grande précision leur personnalité, leur valeur morale et la catégorie sociale à laquelle ils appartiennent.
Depuis le Moyen-âge, le roman consacre véritablement la figure du héros, qui s’illustre par ses qualités physiques ou morales ; qui mérite en tout cas d’être au centre du récit dans la mesure où il est celui qui est confronté aux péripéties et qui y fait face. Mais dès le XIXème siècle, les anti-héros attirent tout autant l’attention. S’ils sont toujours au centre de l’intrigue, ils sont souvent habités par un ou plusieurs vices qu’il n’est plus possible d’ignorer.
Le narrateur peut être l’un des personnages du récit; quand c’est le cas, il est souvent le personnage principal. Cela change naturellement le regard porté sur les autres personnages et sur le déroulement de l’intrigue tant la notion de maîtrise de celle-ci s’invite dans l’analyse.
La narration dans le roman
Remettons-nous en encore une fois au Trésor de la langue française. La narration est un « récit développé dans une œuvre littéraire ; un exposé détaillé de la suite de faits et d’actions constituant l’intrigue d’une œuvre littéraire ». La narration est donc le fait, pour un narrateur, de raconter une histoire.
Il n’est pas toujours évident de saisir qui raconte l’histoire car les auteurs peuvent faire des choix variés de « points de vue narratifs » ; autrement dit, ils peuvent choisir librement de quel point de vue l’histoire qu’ils veulent transmettre sera racontée. Voici les différents types de narration :
- La narration interne (ou focalisation interne) : ici, le narrateur est un des personnages de l’histoire. Il a donc sa place dans l’intrigue. On lit le récit à travers son regard à lui et on connaît donc ses émotions, sa position sur les événements, ses intentions, ses pensées.
- La narration externe (ou focalisation externe) : ici, le narrateur ne fait pas partie de l’histoire ; il raconte l’histoire comme s’il était une caméra de cinéma qui ne fait rien d’autre que filmer, que suivre les événements. C’est ainsi qu’on ne peut entrer dans la tête des personnages. On ne sait rien de leurs sentiments, de leurs intentions, de leurs pensées. On ne fait que constater l’évolution de l’histoire.
- La narration omnisciente (ou focalisation zéro) : ici, le narrateur sait tout sur tout et sur tout le monde. Il connaît tous les sentiments des personnages, tous les événements (passés ou futurs), toutes les intentions. Il est en quelque sorte surpuissant. Le narrateur omniscient peut être dans ou hors de l’histoire.
Si le type de narration est important, c’est parce que c’est lui qui détermine le niveau d’information offert au lecteur. Pour tout roman, il faut prendre le temps de clairement déterminer le point de vue narratif et de saisir quelle conséquence celui-ci entraîne sur l’objectivité ou la subjectivité du récit.
Qu’est que l’intrigue d’un roman ?
L’intrigue est le cœur battant du roman au bac de français. C’est elle qui rend possible le développement du récit et de l’histoire. Si les personnages l’habitent, elle est structurée par des « éléments perturbateurs », généralement des faits ou des événements desquels découlent d’autres événements. L’élément perturbateur peut être un accident soudain, un décès, une rencontre, une disparition, un coup de foudre… autant de faits qui constituent un point de bascule. Le récit entre dans une nouvelle dimension, celle de la nécessaire résolution de la situation induite par ce moment de bascule.
L’intrigue des romans peut être plus ou moins travaillée et structurée. L’intrigue du roman policier, par exemple, est particulièrement complexe, tant cette complexité est nécessaire pour entretenir le suspense et la multiplicité des possibilités de dénouement.
Des romans plus classiques peuvent néanmoins faire le choix d’intrigues enchâssées, c’est-à-dire de la construction d’une intrigue dans une autre nécessitant des résolutions successives et liées les unes aux autres.
L’espace et le temps du roman au bac de français
L’espace et le temps doivent être analysés avec précision dans un roman. Ils font l’identité d’un récit. Car, bien sûr, toute histoire se déroule dans un lieu. Et il n’y a jamais rien d’anodin dans la façon dont les espaces sont présentés. Il convient toutefois ici de prendre garde à un détail important : comme pour toute dimension dans un roman, il faut distinguer le lieu de l’histoire et le lieu de la narration. S’il ne s’agit pas du ou des mêmes lieux, il faudra généralement en tirer un certain nombre de conséquences. De la même façon qu’il faut tirer des conséquences de la plus ou moins grande précision offerte à la description des espaces.
Ces remarques s’appliquent également naturellement au temps. Là encore, il convient de distinguer le temps de l’écriture – le temps premier –, le temps de la lecture et le temps de la narration. Quand l’écriture et la lecture appartiennent à notre monde, la narration, elle, est dans celui du roman.
Le romancier joue souvent avec le temps, pour construire son intrigue notamment. Les trois plus grands jeux avec le temps dans les romans sont les ellipses (on passe sur une période entière pour passer à un événement futur), les analepses (on retourne en arrière) et les prolepses (on avance vers le futur). Bien évidemment, libre à l’écrivain – et donc au narrateur – d’user de ces différentes possibilités à sa guise et de faire de la dimension temporelle un axe central de son récit.
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Les différentes formes de romans
Tous les romans ne se ressemblent pas. Aussi, pour mieux les comprendre, il peut être utile de les classer en différentes « formes » qui, du reste, ont souvent constitué des modes au fil des âges. Voici un rapide inventaire des formes de romans les plus courantes :
- Le roman historique. Il prend pour cadre des événements historiques réels – ainsi que des personnages historiques, bien souvent – tout en développant une intrigue fictive.
- Le roman picaresque. Il se concentre sur le picaro, un aventurier populaire, débrouillard, souvent vagabond, qui est confronté à une succession d’aventures.
- Le roman pastoral. Il tient ses origines de l’Antiquité et se concentre sur une histoire amoureuse construite dans un cadre campagnard et bucolique.
- Le roman d’analyse. Il étudie principalement les passions et la psychologie des Hommes et a un objectif moral.
- Le roman philosophique. Il permet de transmettre des questionnements d’ordre philosophique et, en particulier, la pensée des Lumières. Rousseau et Voltaire en sont les meilleurs représentants.
- Le roman de mœurs. Il met en scène des univers sociaux ou familiaux très variés qui, parfois, sont amenés à se contredire.
- Le roman utopique. Il propose une critique de la civilisation et propose un modèle de société idéale (et, ce faisant, d’organisation politique idéale).
- Le roman épistolaire. Il est construit au rythme de lettres échangées entre deux ou plus de deux personnages (souvent inventées par un seul et même auteur) ; c’est cet échange qui fait avancer l’intrigue.
- Le roman d’apprentissage. Il met en avant un personnage qui fait ses armes dans un monde qu’il découvre ; il s’agit alors de se concentrer sur les aspects sociaux et sentimentaux.
- Le roman-mémoires. Il est le roman d’un personnage qui raconte sa vie. Il peut se rapprocher de l’autofiction mais en aucun cas se confondre complètement avec elle.
- Le roman de science-fiction. Il permet d’imaginer l’environnement futur du monde, notamment d’un point de vue social et technologique.
- Le roman policier. Il est souvent construit autour de l’histoire d’un crime ou d’un délit qui oblige le récit à prendre la forme d’une enquête.
Les caractéristiques du roman au bac de français siècle par siècle
Chaque époque a ses modes. Le roman est nécessairement affecté par cette vérité toute simple. Ainsi, chaque siècle a vu la domination d’un type de roman. Voici un rapide panorama de ces grandes tendances :
- Au XIIIème siècle, le roman de chevalerie ; à cette époque, le roman est plus que jamais l’outil du récit de faits héroïques visant à plaire au peuple et à idéaliser la société féodale. Les épisodes merveilleux et imaginaires prédominent largement. Les objectifs moraux des textes diffusés sont manifestes.
- Au XVIème siècle, le roman picaresque ; à cette époque, la figure du héros vagabond prend de l’ampleur de la même façon que l’urbanité commence, tout doucement, à se développer. L’intérêt principal du picaro, pour le roman, est son caractère débrouillard. Le texte devient par son intermédiaire et là encore un moyen de faire passer un message moral en même temps qu’est tracée une histoire divertissante.
- Au XVIIème siècle, le roman précieux et le roman parodique ; ces deux grandes tendances occupent ce siècle si particulier. La psychologie et les sentiments entrent dans le roman précieux tandis que l’objet lui-même devient ce faisant un outil d’introspection. Ici les personnages sont ce que l’on appellerait aujourd’hui vulgairement des personnages « parfaits ». Par opposition, le roman parodique cherche à tourner en ridicule ces romans précieux – plutôt en vogue chez les nobles. Par une représentation comique ou moqueuse du monde, il s’agit véritablement des premiers romans de critique de « l’establishment » politique et social.
- Au XVIIIème siècle, le roman épistolaire, le roman libertin, le roman philosophique ; dans ce siècle, c’est l’individu qui se retrouve au centre de l’attention dans les romans. De fait, les thèmes de l’amour (parfois impossible), de la sexualité (parfois débridée), de la nécessaire compréhension de ce qui fait l’homme sont au cœur de nombre de créations.
- Au XIXème siècle, « le siècle du roman » ; le genre explose. Partout, on écrit des romans. Partout, on en lit. Si bien que ses caractéristiques se démultiplient. Pour mettre un peu d’ordre dans cette création florissante, on peut retenir les catégories suivantes :
- Le roman romantique : dans le sillage parfaitement tracé par Victor Hugo, le romantisme est véritablement le grand courant du siècle. Les sentiments, largement empruntés à la poésie et au drame, sont exaltés dans le roman romantique.
- Le roman réaliste : comme son nom l’indique, celui-ci tente de représenter la réalité sans rien en changer. La description très poussée est la caractéristique principale de ce type de roman. Flaubert ou Balzac en sont de bons représentants.
- Le roman naturaliste : Émile Zola a en quelque sorte inventé ce courant ; il s’agit ici de se fonder sur les découvertes scientifiques pour nourrir les œuvres littéraires. Les questions sociales prennent alors une place très importante dans cette perspective.
- Au XXème siècle, le roman marqué par les guerres ; le siècle du roman a ouvert la voie à des récits pleins d’imaginaire, de psychologie, de réalisme, mais les chocs des deux guerres mondiales viennent contrarier un genre qui avait peut-être trouvé son ton le plus naturel. En changement perpétuel, le roman s’adapte néanmoins. Le roman existentialiste est un premier courant fortement novateur. Largement axé sur l’introspection, l’analyse de l’angoisse, de la solitude et du sens de l’existence, il est particulièrement recherché en France. Le nouveau roman quant à lui apparaît dans la deuxième moitié du siècle : plus vraiment de logique ou de cohérence, liberté prise face à la vraisemblance, absence de personnages… autant d’éléments qui remettent en cause les fondements du genre. Le roman contemporain, enfin, semble revenir à des traits déjà vus au XIXème siècle tout en conservant les marques d’un XXème siècle bouleversant.
Quels sont les objectifs du roman ?
La longue histoire du roman nous a enseigné que ce genre est utile. Il poursuit des objectifs bien précis, à la fois pour l’auteur que pour le lecteur. Pour l’auteur, le roman est une merveilleuse opportunité de représentation du monde – la fameuse illusion référentielle. Par sa longueur et son sens du détail, le roman permet de se saisir des mots pour représenter et, ainsi, également faire passer des messages. Le roman devient alors l’instrument de création d’une vision de l’homme et du monde, plus que tout autre forme d’écrit. La prise de position politique, détaillée mais protégée par la fiction, est assurément au cœur de nombreux récits.
Pour le lecteur, le roman permet une formidable identification aux personnages ; celle-ci peut servir au simple divertissement mais tout aussi bien à la katharsis à l’origine du théâtre antique. En s’identifiant, le lecteur est poussé à réfléchir à sa propre posture dans le monde, à ses propres vices, à ses propres passions, à ses propres ambitions.
Pour toutes ces raisons, et au fil des âges, le roman a souvent été attaqué. Considéré comme impur, impudique et dangereux pour l’ordre social – et peut-être même pour l’ordre du monde – on lui a même intenté un certain nombre de procès (pensons, ici, au procès contre Flaubert, pour l’immoralité de Madame Bovary). Sa matérialité même est aujourd’hui remise en cause, tant le livre au format papier perd du terrain face à sa version électronique. Jusqu’à présent, le roman a cependant toujours su résister à ces assauts agressifs.
Quelles sont les attentes des examinateurs ?
Les examinateurs du bac de français attendent des candidats au bac de français des connaissances pointues sur le thème du roman, notamment les caractéristiques du roman et ce qui le distingue des autres genres littéraires.
Pour réussir les exercices portant sur le roman au bac de français, les élèves doivent tout connaître sur le roman, tout comme ils doivent tout savoir sur la poésie au bac de français afin de réussir les exercices portant sur le thème de la poésie par exemple. De même, ils doivent également tout savoir sur la littérature d’idées au bac de français et sur le théâtre au bac de français.
Les élèves doivent également utiliser les notions apprises en cours de français au collège et tout savoir sur les cours de français au lycée, qui sont toujours utiles dans des exercices comme le commentaire de texte ou encore la dissertation. De plus, à l’oral du bac de français l’examinateur peut poser des questions sur des notions apprises durant les années précédentes donc elles doivent être acquises.
Les réponses de l’élève doivent être articulées autour des problématiques posées. L’élève doit donc utiliser ces connaissances dans le but de démontrer quelque chose et non juste pour montrer ce qu’il connaît.
Comment se préparer au roman pour le bac de français ?
Comment appréhender le roman au bac de français ?
Pour le baccalauréat, il est important d’apprendre à aimer le roman. Cela passe naturellement par la lecture. Lire cinq ou six romans, même courts, tout au long de l’année de première est le meilleur conseil que l’on puisse donner.
C’est cette lecture qui permettra de mieux comprendre les cours sur le roman et même de mieux comprendre cette synthèse qui ne peut évidemment être exhaustive.
Prendre des cours particuliers de français
Afin de se préparer au thème du roman, l’une des options possibles pour les élèves est de prendre des cours particuliers. Les bénéfices des cours particuliers en français sont remarquables très rapidement, ainsi il n’est jamais trop tard pour en prendre, notamment durant l’année de première. Un professeur de français particulier guide ses élèves et leur donne des informations pour savoir comment travailler et progresser en français, travailler le thème du roman au bac de français et mémoriser les notions clés par exemple.
Ces cours particuliers sont également utiles après le bac de français pour par exemple réussir sa carrière grâce à une bonne maîtrise du français, car les fautes d’orthographe sont devenues si fréquentes que beaucoup se demandent si les Français ont un bon niveau d’orthographe.
L’enseignant particulier peut également montrer à ses élèves les outils pour s’améliorer en orthographe afin de continuer à travailler en autonomie, après le cours (par exemple le ebook de cours en ligne de français en CPGE pour les élèves de prépa qui souhaitent progresser en orthographe vu l’importance du français en CPGE). Ainsi, prendre des cours particuliers de français n’est jamais une perte de temps.
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