Thème de français prépa 2021 : la force de vivre !
Pour 2020-2021, le thème des cours de francais et philo en prépa scientifique CPGE traitera de la force de vivre, thème très dans l’air du temps, Coronavirus oblige.
Une introduction au thème 2021 de la « force de vivre » est faite ici plus bas.
Pour vous aider au mieux dans vos années de prépa, nous avons également rédigé 3 autres articles, où sont étudiées et analysées des citations provenant des 3 ouvrages littéraires sur la Force de Vivre en prépa scientifique.
Découvrez dès maintenant les citations du Gai Savoir au programme de français en prepa, les citations des Contemplations en français en prepa et enfin les 3 citations de la supplication en prepa en français.
Les œuvres au programme du thème prépa 2021 pour la Force de Vivre
Voici les 3 œuvres au programme du thème de français en prepa en 2021 :
- La Supplication de Svetlana Alexievitch
- Le Gai Savoir, Avant-Propos + Livre 4 de Nietzsche
- Les Contemplations, Livres 4 et 5 de Victor Hugo
Il est très important de se procurer les bonnes éditions car d’une édition à une autre des différences subsistent surtout après traduction. Voici aussi sur le blog les raisons pour lesquelles il faut bien lire les œuvres au programmes chaque année et idéalement le faire l’été.
Les éditions recommandées pour les œuvres au programme 2020-2021
- La Supplication, « collection J’ai lu »
- Le Gai Savoir, GF, traduction Wotling
- Les contemplations, choix libre de l’édition.
Analyse du thème de la force de vivre
Bien évidemment, en période de crise pandémique, un tel titre résonne de manière particulière. La fragilité de la condition humaine, son exposition aux soubresauts d’un virus et d’un environnement hostile, la question du deuil, de la mort, s’affichent au premier plan des journaux et sites d’information. De nombreux écrivains, romanciers, philosophes, ont en profité pour disserter sur le sens de l’existence et la finitude humaine ; dans le même temps, pour rendre ces temps de confinement plus supportables, nombreux sont ceux à avoir trouvé une nouvelle « force » à travers des activités jusqu’ici inusitées (davantage de temps de lecture, concerts numériques à distance, moments de fraternité avec les voisins sur le balcon d’en face). Dans l’ensemble, cette période de crise pandémique a fait mesurer, à une proportion inédite de l’humanité, la valeur de la vie et des liens humains.
Sur un tout autre plan, et alors même que la crise pandémique faisait rage, la centrale de Tchernobyl, au cœur de l’ouvrage au programme La Supplication de Svetlana Alexievitch, est elle aussi revenue au premier plan de l’actualité en avril dernier – alors même qu’était commémoré le 34e « anniversaire » de l’explosion du réacteur numéro 4 (le 26 avril 1986). En effet, des incendies d’une violence extrême ont dévasté la « zone interdite » autour de Tchernobyl, échouant à quelques kilomètres seulement de la centrale. Les craintes d’un second accident, d’un nouveau nuage radioactif, ont été réactivées dans l’imaginaire collectif, témoignant de la place toujours centrale qu’y occupait Tchernobyl, au moins en Europe centrale et orientale. Par ailleurs, cet incendie, qui a dévasté des milliers d’hectares, a attiré l’attention sur la biodiversité foisonnante (mais aujourd’hui en péril) au sein d’une zone abandonnée par les humains, comme si la « force de vivre », après l’accident nucléaire, avait d’abord été celle des animaux, de la biodiversité, se réappropriant un espace laissé à leur disponibilité.
Cette entrée en matière par l’actualité ne doit cependant pas trop faire illusion : il ne faut certainement pas s’y attarder plus que de raison. Le programme de français-philo a été en effet choisi bien en amont, et multiplier les références à l’actualité serait contre-productif, dans la mesure où une telle approche détournerait une copie de l’analyse étroite du sujet – qui est la seule approche pertinente en la matière.
Analyse définitionnelle du thème de la force de vivre
La « force », une question morale mais aussi biologique et physique
Une analyse définitionnelle de ce thème est une étape indispensable, en particulier au commencement de ce travail de fond. Cette analyse permettra en effet de privilégier quelques pistes sur d’autres, de préférer tel ou tel angle de lecture au fil de l’année, d’être particulièrement attentif au moment de l’évocation de certains thèmes précis… Nous mettrons ainsi en lumière un paradoxe, à savoir que la « force de vivre » affirmée dans chacune des trois œuvres, n’a rien d’une évidence, et tient d’un combat, d’une lutte, plutôt que d’un acquis.
Il sera particulièrement utile, tout au long de l’analyse, de se demander pourquoi le jury a choisi tel mot plutôt qu’un autre (pourquoi « la force de vivre » et non « la force de la vie », pourquoi « la force de vivre » et non « la volonté de vivre » ?…) afin de mieux mettre en lumière les points à retenir.
Commençons donc cette analyse. Le thème de l’année est composé d’un article défini « La », d’un nom commun féminin « force », de la préposition « de », et d’un infinitif (« vivre ») ayant pour fonction « complément du nom force ».
Le nom commun « force » (du latin « fortis, e » : fort, solide, vigoureux) est tout d’abord en lui-même paradoxal. Avant de définir la « force physique », il désigne prioritairement (cf. la définition du Trésor) la force « morale » d’une personne, c’est-à-dire la « faculté morale, le pouvoir capable de produire tel effet » (c’est ainsi que l’on évoque des tableaux, des œuvres « d’une grande force », c’est-à-dire produisant des effets marqués sur son public). Par extension, Boileau, par exemple, dans son Art poétique, fait de force un synonyme de « capacité intellectuelle ». De même, en latin, le terme « fortes » a été substantivé pour signifier les hommes vigoureux, courageux, à l’inverse des hommes pusillanimes et craintifs.
La force physique regroupe bien sûr le second grand ensemble définitionnel du mot « force » (ce qui a donné en latin le terme « fortitudo, inis » : la force physique). Originellement en langue française, la force consiste dans « l’emploi de moyens violents pour contraindre la volonté des autres » (« par force e par vigur », peut-on lire dans la Chanson de Roland, l’un des tout premiers textes écrits en langue française).
En somme, le terme « force » regroupe deux grandes acceptions : la vigueur morale (résolution, détermination, volonté), ou la vigueur physique (puissance). Selon toute vraisemblance, la « force de vivre » peut d’abord ainsi signifier, prioritairement, « la résolution à vouloir vivre », la volonté de vivre, le courage moral qu’il faut trouver pour persister dans l’existence, pour déployer son être. Et comme nous le verrons, cette résolution à vivre n’a rien d’évident dans le cadre des trois œuvres au programme…
Mais pourquoi, dans ce cas, le sujet ne s’intitule pas « la volonté de vivre ? ». Sûrement parce que, ce faisant, les concepteurs ont voulu attirer l’attention sur le fait qu’il y avait également une dimension physique, biologique, et non simplement morale, au sujet. Nous pouvons avoir la volonté (force morale) de vivre, nous ne pouvons pas en avoir les moyens physiques (en raison d’une maladie, due à la radioactivité par exemple). Cette approche « biologique » sera particulièrement utile pour l’étude de La Supplication, étant donné que les souffrances des témoins sont aussi, bien sûr, liées aux multiples cancers et autres maladies développées à la suite de l’accident de Tchernobyl…
Conceptions philosophiques de la vie : la vie n’est pas l’existence
Cette approche biologique explique pourquoi le sujet s’intitule « La force de vivre » et non « La force d’exister ». L’existence, en philosophie, ne peut se résumer à la vie : elle est davantage. Exister vient en effet du latin « ex-sisto », « sortir de, provenir de ». Il y a une idée de surgissement, de dépassement de l’enveloppe originelle. Une même idée a ainsi traversé l’ensemble de la philosophie, et particulièrement la philosophie, justement, « existentialiste » : l’existence est davantage que la vie, elle la dépasse en conscience et en intelligence, et elle est proprement humaine.
Cette vision est partagée par Hegel, qui soutient la thèse suivante dans l’Esthétique : contrairement aux plantes et aux animaux, l’homme existe d’une manière bien propre, grâce à sa conscience de soi, il « se contemple et se représente à lui-même » et constitue ainsi, non seulement un être en soi, mais aussi un être pour soi. Dans la même veine, Sartre, dans son essai fondateur L’existentialisme est un humanisme, écrit qu’exister est un acte volontariste par excellence : c’est se confronter en permanence à des dilemmes et à des choix, c’est préférer tel engagement à tel autre, c’est en somme se dépasser soi-même et dépasser sa simple condition biologique, se porter au-delà d’elle (ex-sisto).
Le terme de « vie » et son dérivé « vivre » sont parallèlement, à première vue, moins complexes. La vie est d’abord un phénomène biologique, la persistance des facultés vitales qui permettent la vie. En ce sens biologique et quasiment « survivaliste », « vivre » a donné « vivres », c’est-à-dire la nourriture qui permet de subsister. C’est d’ailleurs pour critiquer la réduction sémantique du terme « vivre » que Socrate estimait que « l’important n’est pas de vivre mais de bien vivre ».
Nous voyons alors pourquoi le terme de « vivre » a été préféré à celui d’« exister ». Ce terme, a priori moins riche, permet en réalité d’attirer l’attention sur deux faits majeurs. D’abord, il s’agira aussi de s’intéresser à la vie non-humaine, celle de la nature retrouvée dans la Zone de Tchernobyl par exemple, celle de la nature que Victor Hugo admire dans les « Contemplations ». En creux, dans le Gai Savoir de Nietzsche, surgira également une critique de la vie « nihiliste », faite de l’abandon de la volonté de puissance nietzschéenne.
Le deuxième point que met en lumière le terme « vivre » est la condition précaire de cette existence biologique : les personnages, dans le deuil ou la maladie, s’efforcent avant tout de « vivre » et de « survivre », de persister biologiquement. Ce que permet in fine l’infinitif « vivre », c’est de rappeler la fragilité de la condition humaine, sa nature biologique, sa communauté de destins avec la nature et le règne du vivant ; cela permet d’attirer l’attention sur le corps autant que sur l’esprit – et l’un des fondements de la philosophie nietzschéenne est justement de réhabiliter le corps face à l’esprit. La « force de vivre » est ainsi celle de « survivre », dans une ambition moindre, mais bien compréhensible lorsque l’on est exposé à des ondes radioactives en permanence, ou lorsque l’on vient de perdre sa fille aimée (Victor Hugo dans Les Contemplations).
« De vivre » : la nécessité de relever l’usage de la forme infinitive
Continuons l’analyse en se demandant pourquoi la forme infinitive (« vivre ») a été choisie. L’usage d’un infinitif à la place d’un nom commun doit nous conduire sur cette piste : l’infinitif « vivre » insiste sur l’idée d’action, de mouvement, de dynamique, de persistance. Le fait de « vivre » est ainsi déterminé en tant qu’action dynamique et processus, en insistant sur le moment présent. Il ne s’agira pas de décrire une situation figée, mais des états psychologiques en constante évolution, dans une sorte de lutte face à la tentation de tout abandonner, l’action de survivre dans des conditions hostiles.
Cette approche est ainsi très pertinente pour La Supplication de Sveltana Alexievitch : l’infinitif « vivre » rend ici justice à cet effort permanent, constant, que doivent faire les survivants de Tchernobyl pour continuer à trouver un sens à l’existence. Cela fait aussi notamment écho à la volonté de puissance nietzschéenne, qui définit la vie comme un processus actif, incarné, concret, construit par une forte volonté, tourné vers l’action et la volonté de prendre des risques pour la vérité – ce que l’usage de l’infinitif permet de mieux mettre en valeur qu’un simple nom commun.
Il n’est ainsi pas innocent que le programme officiel ait choisi un infinitif plutôt qu’un nom commun, et il faudra l’avoir à l’esprit constamment…
L’usage de la préposition « de »
Avons-nous tout étudié dans cette analyse définitionnelle ? Presque : il s’agit de s’intéresser à un mot qui peut sembler innocent, mais qui est en réalité très porteur. Le nom commun « la force » est ainsi associé au complément du nom « de vivre », introduit par la préposition « de ».
Comme bien souvent dans l’analyse des sujets, il est nécessaire d’étudier le sens de ces petits mots de transitions qui n’ont pas l’air décisifs, mais dont les différents sens sont en réalité indispensables à interpréter. En l’occurrence, la préposition « de », en langue française, peut avoir plusieurs sens. Elle peut indiquer :
– La possession, l’appartenance, la dépendance (le livre de Paul) ;
– L’origine spatiotemporelle, héritée de l’ablatif latin « de » (je viens de Rome, une course de trois heures) ;
– Une précision sur la matière composant un objet (un meuble de bois) ou le contenu d’un objet (une tasse de café) ;
– Rapport du tout à l’ensemble (la main d’une personne) ;
– Et plus globalement, marquer le rapport, la relation, entre le complément du nom et le nom auquel il se rapporte.
Pour le thème qui nous préoccupe, l’association « la force de vivre » peut ainsi recouvrer plusieurs sens. Elle nous conduira ainsi à nous interroger sur :
– L’origine de cette force de vivre (l’amour de la vie, d’un proche ? L’humour ? La capacité à relativiser ? Le désir de puissance ? La peur de la mort ? Le combat pour la vérité ou la justice ? Le souvenir des jours heureux ? Ou bien au contraire, quelle est la part faite à la faiblesse, au fatalisme ?) ;
– Les liens de dépendance, d’interdépendances, de possible hiérarchie entre « la force » et l’infinitif « vivre ».
L’analyse aurait été différente si le sujet avait été par exemple « la force pour vivre » : dans ce cas, le travail durant l’année aurait été plus restreint, pour porter de manière plus cadrée sur les origines de cette force de vivre.
La fonction cathartique de la littérature et du récit au centre du projet
Pour trouver cette force de vivre et même de survivre, Victor Hugo se réfugie dans la poésie, Nietzsche construit une pensée philosophique en rupture avec son siècle, tandis que bien des personnages de La Supplication trouveront un exutoire dans l’art ou la culture, les souvenirs, ou la solitude. Ce programme permet ainsi de mettre en exergue la fonction cathartique de la littérature, du récit, de la culture, comme exutoire, comme échappatoire afin de supporter l’insupportable.
Cette fonction cathartique (de « catharsis », purgation) a été avec le plus de clarté dégagée par Aristote, dans son étude de la tragédie continue dans la Poétique. Pour Aristote, la tragédie est ainsi une « imitation faite par des personnages en action et non par le moyen d’une narration et qui par l’entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre ». En somme, en se confrontant à ses craintes par le récit, le spectateur arrive à les surmonter, les dépasser. La littérature, la culture, agissent comme un vaccin contre la peur et la crainte, en nous montrant ce que l’on redoute pour mieux le surmonter.
De même, Victor Hugo, en se confiant sur son deuil par écrit dans Les Contemplations, en y revenant longuement, parvient à le dépasser ou du moins à atténuer sa douleur ; de même, les témoins de La Supplication, en se confiant sur la catastrophe nucléaire et ses conséquences, retrouveront un certain élan de vivre.
« La force de vivre » : une assertion qui tient du paradoxe, voire de la mission impossible
La force de vivre… Malgré tout. Ainsi pourrait-on compléter l’énoncé du programme officiel pour chacune des trois œuvres au programme. Si nous avons déjà commencé à voir les contenus de ce paradoxe au cours de notre analyse définitionnelle, posons-les de manière plus claire encore, pour terminer ce premier tour d’horizon du programme.
Dans Les Contemplations de Victor Hugo, le poète doit s’efforcer de vivre malgré la douleur du deuil – il a appris le décès accidentel de sa fille Léopoldine, noyée dans la Seine. La question du deuil et de la mort est au centre de l’ouvrage ; les exutoires possibles (la religion en particulier) seront également étudiés en détail. Il s’agit ainsi de se demander comment le poète peut, malgré la mort de sa fille, malgré le noir qui l’entoure (l’objet du Livre IV, « Pauca meae », le livre du deuil »), retrouver une « force de vivre » (l’objet du Livre V, « En Marche », le livre de l’élan vital retrouvé).
Dans Le Gai Savoir de Nietzsche, il s’agira d’étudier, en premier lieu, la « faiblesse de vivre » qui est le propre du nihilisme, le grand ennemi du philosophe en son temps : ce nihilisme conduit à anémier l’existence, à privilégier la pitié sur la créativité, le ressentiment sur l’élan créateur. La « force de vivre » au contraire pour Nietzsche, cette volonté de puissance, consiste justement dans cette « gaya scienza », le gai savoir, dont il s’agira d’étudier les caractéristiques en détail. L’opposition « force/faiblesse », l’affirmation de ce « vouloir-vivre » contre la « volonté des faibles », guideront une bonne partie de l’étude de l’œuvre. Le paradoxe sera de voir comment justement trouver cette forte volonté de vivre, par la philosophie, alors même que tout l’esprit du siècle et de la société conduit à porter des valeurs inverses.
Enfin, dans La Supplication de Svetlana Alexievitch, le paradoxe est sans doute le plus éclatant de tous : comment trouver la force de vivre après Tchernobyl ? Comment vivre malgré le deuil, malgré la présence continue du réacteur numéro 4 jusqu’à l’intérieur de soi, dans ses cellules atteintes par la radioactivité et potentiellement cancéreuses ? Y a-t-il même une véritable vie, et si oui quelle sorte de vie, après la catastrophe écologique ultime ?
On le voit, le deuil, la mort, la religion, la fragilité de l’existence, mais aussi les exutoires et échappatoires pour y faire face (l’amour, la solidarité, le souvenir, l’art…) dialogueront tout au long de l’année. Les trois œuvres se répondent, et c’est cette conversation riche mais aussi paradoxale qu’il s’agira d’étudier au cours des prochains mois et futurs articles…
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Précis. Bien ciblé. Je l’ai exactement vu comme ça , le projet d’étude. Merci . Bon courage à tout le monde.
CPGE Tanger Maroc
C’est ce que j’attendais. Merci !
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des idées pour le sujet de dissertation suivant sur la force de vivre : » Ce n’est pas parce que la vie est bonne qu’il faut l’aimer, mais pour qu’elle le soit. » ? Merci d’avance
Bonjour Guillaume,
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